L'UGTA met en exergue la nécessité de favoriser la «concertation dans la réalisation des objectifs communs, une affirmation à travers laquelle se dessine en filigrane la volonté de l'UGTA à adresser un message au gouvernement pour lui signifier sa disponibilité à tenir la tripartite préalablement annoncée. L'UGTA met en exergue la nécessité de favoriser la «concertation dans la réalisation des objectifs communs, une affirmation à travers laquelle se dessine en filigrane la volonté de l'UGTA à adresser un message au gouvernement pour lui signifier sa disponibilité à tenir la tripartite préalablement annoncée. Le secrétariat national de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) s'est dit, hier, disponible à «entamer un dialogue avec le gouvernement et surtout à enrichirs cette constante de pourparlers autour de l'amélioration de la situation des travailleurs». Dans un communiqué rendu public, à l'issue de la réunion de son secrétariat national, l'UGTA met en exergue la nécessité de favoriser la «concertation dans la réalisation des objectifs communs». C'est là une affirmation à travers laquelle se dessine en filigrane la volonté de l'UGTA à adresser un message au gouvernement pour lui signifier sa disponibilité à tenir la tripartite préalablement annoncée. «Le secrétariat national est disponible pour entamer une concertation pour la réalisation des objectifs communs et la résolution des épreuves communes», précise-t-on dans ce communiqué. Dans ce contexte, la centrale syndicale s'est dite convaincue que «seule la conjugaison des efforts constitue le garant du développement économique et social et du bien-être des travailleurs». Dans une déclaration à la presse, mardi passé, M. Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'UGTA, avait affirmé que jusqu'à présent «la Centrale syndicale n'a pas encore fixé le taux qui sera discuté dans le cadre de cette tripartite durant laquelle sera revu le seuil du SNMG». Cette question sera, précise-t-il, «tranchée consensuellement, à la faveur de la concertation qui sera engagée avec le patronat et le gouvernement». Cette tripartite se tiendra, faut-il le rappeler en application de la décision du chef de l'Etat de revoir à la hausse le salaire national minimum garanti (SNMG). Le 24 février écoulé, M. Abdelaziz Bouteflika avait, dans un discours prononcé devant un parterre de travailleurs et de syndicalistes, à l'occasion de la célébration du double événement qu'est le 38ème anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et le 54ème de la création de l'UGTA, annoncé une augmentation du SNMG avant la fin de l'année, lors d'une tripartite dont la date sera prochainement décidée. Une multitude d'autres décisions en relation directe avec le monde du travail avaient été également annoncées dans son discours. Il avait, notamment, promis de consolider au niveau des différents régimes indemnitaires le statut général de la Fonction publique à travers la promulgation des statuts particuliers parachevés. Le Président avait également plaidé pour le renforcement des entreprises nationales en introduisant des systèmes servant à «sauver celles qui sont actuellement au bord de la faillite». Des décisions qui avaient été accueillies ardemment par la Centrale syndicale qui comptait parmi les fervents soutiens de la candidature de Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat. D'ailleurs, dans son communiqué rendu public, hier, l'UGTA n'a pas manqué de se féliciter du « travail accompli par l'ensemble des travailleuses, des travailleurs, des instances et structures syndicales» pendant la campagne électorale de la présidentielle du 9 avril. Il rend hommage, à cet effet, à l'ensemble des travailleurs pour leur «niveau de mobilisation en faveur du candidat Abdelaziz Bouteflika et pour leur engagement durant la campagne électorale". «La réélection triomphale du président de la République constitue, pour nous, un motif supplémentaire d'espoir pour les travailleurs qui aspirent légitimement à l'amélioration de leurs conditions de vie et de travail», souligne le communiqué. Le secrétariat national de l'Union générale des travailleurs algériens (UGTA) s'est dit, hier, disponible à «entamer un dialogue avec le gouvernement et surtout à enrichirs cette constante de pourparlers autour de l'amélioration de la situation des travailleurs». Dans un communiqué rendu public, à l'issue de la réunion de son secrétariat national, l'UGTA met en exergue la nécessité de favoriser la «concertation dans la réalisation des objectifs communs». C'est là une affirmation à travers laquelle se dessine en filigrane la volonté de l'UGTA à adresser un message au gouvernement pour lui signifier sa disponibilité à tenir la tripartite préalablement annoncée. «Le secrétariat national est disponible pour entamer une concertation pour la réalisation des objectifs communs et la résolution des épreuves communes», précise-t-on dans ce communiqué. Dans ce contexte, la centrale syndicale s'est dite convaincue que «seule la conjugaison des efforts constitue le garant du développement économique et social et du bien-être des travailleurs». Dans une déclaration à la presse, mardi passé, M. Abdelmadjid Sidi Saïd, secrétaire général de l'UGTA, avait affirmé que jusqu'à présent «la Centrale syndicale n'a pas encore fixé le taux qui sera discuté dans le cadre de cette tripartite durant laquelle sera revu le seuil du SNMG». Cette question sera, précise-t-il, «tranchée consensuellement, à la faveur de la concertation qui sera engagée avec le patronat et le gouvernement». Cette tripartite se tiendra, faut-il le rappeler en application de la décision du chef de l'Etat de revoir à la hausse le salaire national minimum garanti (SNMG). Le 24 février écoulé, M. Abdelaziz Bouteflika avait, dans un discours prononcé devant un parterre de travailleurs et de syndicalistes, à l'occasion de la célébration du double événement qu'est le 38ème anniversaire de la nationalisation des hydrocarbures et le 54ème de la création de l'UGTA, annoncé une augmentation du SNMG avant la fin de l'année, lors d'une tripartite dont la date sera prochainement décidée. Une multitude d'autres décisions en relation directe avec le monde du travail avaient été également annoncées dans son discours. Il avait, notamment, promis de consolider au niveau des différents régimes indemnitaires le statut général de la Fonction publique à travers la promulgation des statuts particuliers parachevés. Le Président avait également plaidé pour le renforcement des entreprises nationales en introduisant des systèmes servant à «sauver celles qui sont actuellement au bord de la faillite». Des décisions qui avaient été accueillies ardemment par la Centrale syndicale qui comptait parmi les fervents soutiens de la candidature de Abdelaziz Bouteflika pour un troisième mandat. D'ailleurs, dans son communiqué rendu public, hier, l'UGTA n'a pas manqué de se féliciter du « travail accompli par l'ensemble des travailleuses, des travailleurs, des instances et structures syndicales» pendant la campagne électorale de la présidentielle du 9 avril. Il rend hommage, à cet effet, à l'ensemble des travailleurs pour leur «niveau de mobilisation en faveur du candidat Abdelaziz Bouteflika et pour leur engagement durant la campagne électorale". «La réélection triomphale du président de la République constitue, pour nous, un motif supplémentaire d'espoir pour les travailleurs qui aspirent légitimement à l'amélioration de leurs conditions de vie et de travail», souligne le communiqué.