Des crises de colère ou d'autres émotions fortes décuplent le risque de provoquer une arythmie cardiaque potentiellement mortelle chez certaines personnes fragiles du coeur, selon une petite étude de chercheurs américains publiées lundi. Cette recherche conduite par la docteur Rachel Lampert de l'Université Yale à New Haven (Connecticut, est) a porté sur 62 patients souffrant de maladies de coeur. Cette recherche a commencé trois mois après qu'un défibrillateur cardiaque fût implanté sur toutes ces personnes. Cet appareil détecte des troubles dangereux du rythme cardiaque et induit un choc électrique pour restaurer des battements normaux du coeur. Les participants à cette étude ont été soumis à un exercice consistant à raconter une récente expérience qui les a mis hors d'eux tandis que les chercheurs testaient l'onde dite T dans leur électrocardiogramme. L'onde T, qui correspond à la repolarisation ventriculaire, mesure l'instabilité électrique dans le coeur. Ces cardiologues ont ensuite suivi ce groupe de patients pendant trois ans pour voir lesquels auraient des attaques d'arythmie cardiaque ou un arrêt du coeur nécessitant un choc électrique de leur défibrillateur implanté. Des crises de colère ou d'autres émotions fortes décuplent le risque de provoquer une arythmie cardiaque potentiellement mortelle chez certaines personnes fragiles du coeur, selon une petite étude de chercheurs américains publiées lundi. Cette recherche conduite par la docteur Rachel Lampert de l'Université Yale à New Haven (Connecticut, est) a porté sur 62 patients souffrant de maladies de coeur. Cette recherche a commencé trois mois après qu'un défibrillateur cardiaque fût implanté sur toutes ces personnes. Cet appareil détecte des troubles dangereux du rythme cardiaque et induit un choc électrique pour restaurer des battements normaux du coeur. Les participants à cette étude ont été soumis à un exercice consistant à raconter une récente expérience qui les a mis hors d'eux tandis que les chercheurs testaient l'onde dite T dans leur électrocardiogramme. L'onde T, qui correspond à la repolarisation ventriculaire, mesure l'instabilité électrique dans le coeur. Ces cardiologues ont ensuite suivi ce groupe de patients pendant trois ans pour voir lesquels auraient des attaques d'arythmie cardiaque ou un arrêt du coeur nécessitant un choc électrique de leur défibrillateur implanté.