Les prix du pétrole ont clôturé en hausse jeudi à New York, soutenus, notamment, des signes de stabilisation de la demande d'essence aux Etats-Unis. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en avril a fini à 45,22 dollars, en hausse de 2,72 dollars par rapport à son cours de clôture de mercredi. Le prix du baril de brut texan, référence du marché new-yorkais, accumule une hausse de près de 7 dollars sur les trois dernières séances (soit +17%). Le marché continuait de réagir aux chiffres hebdomadaires des stocks pétroliers aux Etats-Unis, premier pays consommateur d'or noir dans le monde, publiés mercredi par le département à l'Energie. Les réserves de brut, qui étaient montées très rapidement à des niveaux plus vus depuis des années ces dernières semaines, ont progressé moins fortement qu'attendu. Mais le marché a surtout été surpris par la baisse des stocks d'essence, de plus de 3 millions de barils. La consommation d'essence des Américains a même progressé sur les quatre dernières semaines, par rapport à la même période l'an dernier. Les prix du pétrole ont clôturé en hausse jeudi à New York, soutenus, notamment, des signes de stabilisation de la demande d'essence aux Etats-Unis. Sur le New York Mercantile Exchange (Nymex), le baril de «light sweet crude» pour livraison en avril a fini à 45,22 dollars, en hausse de 2,72 dollars par rapport à son cours de clôture de mercredi. Le prix du baril de brut texan, référence du marché new-yorkais, accumule une hausse de près de 7 dollars sur les trois dernières séances (soit +17%). Le marché continuait de réagir aux chiffres hebdomadaires des stocks pétroliers aux Etats-Unis, premier pays consommateur d'or noir dans le monde, publiés mercredi par le département à l'Energie. Les réserves de brut, qui étaient montées très rapidement à des niveaux plus vus depuis des années ces dernières semaines, ont progressé moins fortement qu'attendu. Mais le marché a surtout été surpris par la baisse des stocks d'essence, de plus de 3 millions de barils. La consommation d'essence des Américains a même progressé sur les quatre dernières semaines, par rapport à la même période l'an dernier.