Le ministre d'Etat, ministre l'Intérieur et des Collectivités locales, a exprimé son contentement suite au dénouement de l'affaire du diplomate Hasseni. «Nous ne pouvons que nous féliciter du dénouement de cette affaire, car elle commençait à peser sur l'atmosphère de nos relations» a indiqué Nouredine Yazid Zerhouni lors d'une conférence de presse animée à Biskra en marge de la visite du président de la République. Finalement et très tardivement, la justice française, au niveau concerné, a compris qu'elle faisait fausse route», a-t-il en effet soutenu. C'est la première réaction d'un haut responsable algérien depuis que la Cour d'appel de Paris a prononcé son verdict, avant-hier vendredi. Sur demande de la défense du diplomate, la Cour a décidé la levée du contrôle judiciaire auquel était soumis depuis le mois d'août 2008 Mohamed Ziane Hasseni. A l'évidence et comme l'attestent si bien les propos du ministre, cette affaire a jeté le froid dans les relations entre l'Algérie et la France. L'on se rappelle que le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a effectué un voyage en France pour essayer de résoudre cette question avec les autorités françaises non sans avoir haussé le ton. Djamel Ould Abbas, le ministre de la Solidarité nationale, qui a rencontré le diplomate en France avant ce verdict a lui aussi estimé que cette «affaire est une épine dans les relations entre les deux pays». Pour l'avocat du diplomate «c'est un très grand pas qui a été franchi par le juge de la chambre d'instruction qui a répondu favorablement à notre demande de levée du contrôle judiciaire dont a fait l'objet notre client». Pour Me Khaled Lasbeur "le dossier est en train d'évoluer positivement car de nombreuse zones d'ombre ont été dissipées après la présentation de toutes les pièces d'innocence de notre client». K. H. Le ministre d'Etat, ministre l'Intérieur et des Collectivités locales, a exprimé son contentement suite au dénouement de l'affaire du diplomate Hasseni. «Nous ne pouvons que nous féliciter du dénouement de cette affaire, car elle commençait à peser sur l'atmosphère de nos relations» a indiqué Nouredine Yazid Zerhouni lors d'une conférence de presse animée à Biskra en marge de la visite du président de la République. Finalement et très tardivement, la justice française, au niveau concerné, a compris qu'elle faisait fausse route», a-t-il en effet soutenu. C'est la première réaction d'un haut responsable algérien depuis que la Cour d'appel de Paris a prononcé son verdict, avant-hier vendredi. Sur demande de la défense du diplomate, la Cour a décidé la levée du contrôle judiciaire auquel était soumis depuis le mois d'août 2008 Mohamed Ziane Hasseni. A l'évidence et comme l'attestent si bien les propos du ministre, cette affaire a jeté le froid dans les relations entre l'Algérie et la France. L'on se rappelle que le ministre des Affaires étrangères, Mourad Medelci, a effectué un voyage en France pour essayer de résoudre cette question avec les autorités françaises non sans avoir haussé le ton. Djamel Ould Abbas, le ministre de la Solidarité nationale, qui a rencontré le diplomate en France avant ce verdict a lui aussi estimé que cette «affaire est une épine dans les relations entre les deux pays». Pour l'avocat du diplomate «c'est un très grand pas qui a été franchi par le juge de la chambre d'instruction qui a répondu favorablement à notre demande de levée du contrôle judiciaire dont a fait l'objet notre client». Pour Me Khaled Lasbeur "le dossier est en train d'évoluer positivement car de nombreuse zones d'ombre ont été dissipées après la présentation de toutes les pièces d'innocence de notre client». K. H.