Une commission présidée par Zouaoui Benhamadi décidera, finalement, de l'allocation des ressources financières dégagées pour cette manifestation. Elle gérera un budget dépassant les 514 milliards de centimes. Une commission présidée par Zouaoui Benhamadi décidera, finalement, de l'allocation des ressources financières dégagées pour cette manifestation. Elle gérera un budget dépassant les 514 milliards de centimes. Les marchés entrant dans le cadre de l'organisation et de l'exécution de la 2ème édition du Festival culturel panafricain passeront selon la procédure de gré à gré. La décision a été officialisée le 21 janvier dernier par arrêté interministériel signé entre le ministère de la Culture et celui des Finances. Le dit arrêté a été publié dans le Journal Officiel. Désormais, les travaux, services, études et fournitures sont dispensés des procédures d'appels d'offres. Ainsi, sont concernés par la dispense, énumère l'arrêté interministériel, « les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'acquisition de fournitures et d'équipements techniques, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à la production, l'édition, la réédition, la traduction, la diffusion et la duplication d'œuvres littéraires, artistiques et audiovisuelles, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'organisation de manifestations telles que les expositions, festivals, colloques, évènements de masse, cérémonies d'ouverture et de clôture » Outre les aspects immatériels, la levée de l'obligation d'appels d'offres concerne « les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'hébergement, le transport et la restauration des participants, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs aux études de travaux de réfection et de réhabilitation des espaces retenus par le comité national pour accueillir les manifestations culturelles » L'arrêté se conclut par l'extension de ladite mesure à «tout marché conclu en vue de la préparation, l'organisation et le déroulement des opérations dans le cadre de la manifestation « Festival culturel panafricain 2009 ». Le passage au gré à gré se fera sur la base d'une simple consultation que mènera la commission installée à l'effet de suivre les préparatifs de cette manifestation. Une commission présidée par l'ancien DG de la Radio nationale, Zouaoui Benhamadi. Cette dernière décidera, finalement, de l'allocation des ressources financières dégagées pour cette manifestation. Elle gérera un budget dépassant les 514 milliards de centimes. Pas plus tard que dimanche dernier, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, avait annoncé la création d'un fonds doté de 5,14 milliards de DA en prévision du 2ème Panaf que devrait accueillir Alger entre le 5 et le 20 juillet prochain. « Nous avons besoin d'environ un demi milliard de DA pour garantir une bonne préparation de cette rencontre », a-t-elle souligné lors d'une conférence de presse consacrée à l'évaluation des préparatifs avant d'ajouter que son département « mène des négociations avec certaines sociétés pour investir dans cette manifestation et garantir son bon déroulement sans entraves financières ». Pas moins de 60 % de l'enveloppe financière ont été mobilisés pour la réalisation d'un village d'artistes dans la commune de Zéralda (forêt de Khaloufi) pouvant accueillir près de 2.500 personnes. D'après la ministre, le taux d'avancement des travaux a atteint 70 %. Pour donner un ordre de grandeur des infrastructures mobilisées, il est utile de préciser que les théâtres, les maisons de jeunes, les salles de cinéma, les places publiques et écoles artistiques des wilayas d'Alger, de Blida et de Boumerdes seront exploitées durant les deux semaines de festivités. Une aubaine pour ces structures de recevoir un coup de lifting salutaire. Sur le plan de l'hébergement, les organisateurs réserveront les structures hôtelières relevant de l'Etat ainsi que les cités universitaires. Des structures qui ont accueilli dans un passé récent des événements de la dimension du Festival mondial de la jeunesse ou encore les Jeux africains. Le reste du montant, soit 1,5 milliard de DA, sera dédié à la réalisation des différentes œuvres artistiques spécifiques à cette manifestation, avait-elle encore précisé. A se fier aux propos de la ministre, les pays africains participants, au nombre de 44 à ce jour, devront mettre la main à la poche. Ils contribueront au financement de ce rendez-vous en s'acquittant des frais de déplacement de leurs délégations qui restent «des plus coûteux». Par ailleurs, un second arrêté interministériel a dispensé l'ensemble des marchés afférents au Panaf 2009 de la constitution de la caution de bonne exécution. Pour rappel, le 2ème Festival culturel panafricain s'attend à recevoir quelque 8.000 personnes (artistes, intellectuels, créateurs, officiels et journalistes) représentant différents pays membres de l'Union africaine (UA) et des régions abritant des communautés africaines, à l'instar des Etats-Unis, de l'Amérique latine et des Caraïbes. M. M. M. M. Les marchés entrant dans le cadre de l'organisation et de l'exécution de la 2ème édition du Festival culturel panafricain passeront selon la procédure de gré à gré. La décision a été officialisée le 21 janvier dernier par arrêté interministériel signé entre le ministère de la Culture et celui des Finances. Le dit arrêté a été publié dans le Journal Officiel. Désormais, les travaux, services, études et fournitures sont dispensés des procédures d'appels d'offres. Ainsi, sont concernés par la dispense, énumère l'arrêté interministériel, « les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'acquisition de fournitures et d'équipements techniques, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à la production, l'édition, la réédition, la traduction, la diffusion et la duplication d'œuvres littéraires, artistiques et audiovisuelles, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'organisation de manifestations telles que les expositions, festivals, colloques, évènements de masse, cérémonies d'ouverture et de clôture » Outre les aspects immatériels, la levée de l'obligation d'appels d'offres concerne « les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs à l'hébergement, le transport et la restauration des participants, les marchés conclus avec tout opérateur public ou privé relatifs aux études de travaux de réfection et de réhabilitation des espaces retenus par le comité national pour accueillir les manifestations culturelles » L'arrêté se conclut par l'extension de ladite mesure à «tout marché conclu en vue de la préparation, l'organisation et le déroulement des opérations dans le cadre de la manifestation « Festival culturel panafricain 2009 ». Le passage au gré à gré se fera sur la base d'une simple consultation que mènera la commission installée à l'effet de suivre les préparatifs de cette manifestation. Une commission présidée par l'ancien DG de la Radio nationale, Zouaoui Benhamadi. Cette dernière décidera, finalement, de l'allocation des ressources financières dégagées pour cette manifestation. Elle gérera un budget dépassant les 514 milliards de centimes. Pas plus tard que dimanche dernier, la ministre de la Culture, Khalida Toumi, avait annoncé la création d'un fonds doté de 5,14 milliards de DA en prévision du 2ème Panaf que devrait accueillir Alger entre le 5 et le 20 juillet prochain. « Nous avons besoin d'environ un demi milliard de DA pour garantir une bonne préparation de cette rencontre », a-t-elle souligné lors d'une conférence de presse consacrée à l'évaluation des préparatifs avant d'ajouter que son département « mène des négociations avec certaines sociétés pour investir dans cette manifestation et garantir son bon déroulement sans entraves financières ». Pas moins de 60 % de l'enveloppe financière ont été mobilisés pour la réalisation d'un village d'artistes dans la commune de Zéralda (forêt de Khaloufi) pouvant accueillir près de 2.500 personnes. D'après la ministre, le taux d'avancement des travaux a atteint 70 %. Pour donner un ordre de grandeur des infrastructures mobilisées, il est utile de préciser que les théâtres, les maisons de jeunes, les salles de cinéma, les places publiques et écoles artistiques des wilayas d'Alger, de Blida et de Boumerdes seront exploitées durant les deux semaines de festivités. Une aubaine pour ces structures de recevoir un coup de lifting salutaire. Sur le plan de l'hébergement, les organisateurs réserveront les structures hôtelières relevant de l'Etat ainsi que les cités universitaires. Des structures qui ont accueilli dans un passé récent des événements de la dimension du Festival mondial de la jeunesse ou encore les Jeux africains. Le reste du montant, soit 1,5 milliard de DA, sera dédié à la réalisation des différentes œuvres artistiques spécifiques à cette manifestation, avait-elle encore précisé. A se fier aux propos de la ministre, les pays africains participants, au nombre de 44 à ce jour, devront mettre la main à la poche. Ils contribueront au financement de ce rendez-vous en s'acquittant des frais de déplacement de leurs délégations qui restent «des plus coûteux». Par ailleurs, un second arrêté interministériel a dispensé l'ensemble des marchés afférents au Panaf 2009 de la constitution de la caution de bonne exécution. Pour rappel, le 2ème Festival culturel panafricain s'attend à recevoir quelque 8.000 personnes (artistes, intellectuels, créateurs, officiels et journalistes) représentant différents pays membres de l'Union africaine (UA) et des régions abritant des communautés africaines, à l'instar des Etats-Unis, de l'Amérique latine et des Caraïbes. M. M. M. M.