La candidate à l'élection présidentielle estime qu'il est nécessaire d'opérer une réforme radicale qui restitue «la parole au peuple» et le «droit de choisir ses représentants démocratiquement élus à tous les niveaux». L'actuelle APN n'est pas une vraie assemblée, «elle est à dissoudre». La candidate à l'élection présidentielle estime qu'il est nécessaire d'opérer une réforme radicale qui restitue «la parole au peuple» et le «droit de choisir ses représentants démocratiquement élus à tous les niveaux». L'actuelle APN n'est pas une vraie assemblée, «elle est à dissoudre». «Il y a un problème de légitimité à tous les niveaux» a lancé, hier, Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), au cours de l'émission «En toute franchise» de la Radio nationale. «Il est temps de mettre un terme à toutes les politiques et institutions qui ont empêché le pays de sortir de la crise», a-t-elle martelé. La candidate à l'élection présidentielle du 09 avril prochain estime qu' «il se pose un problème de légitimité», d'où, selon elle, «il est nécessaire d'opérer une réforme radicale» qui restitue «la parole au peuple» et le «droit de choisir ses représentants démocratiquement élus à tous les niveaux». L'actuelle APN (Assemblée populaire nationale), qui, selon la numéro du PT, «veut plaire à l'Exécutif», n'est pas une vraie assemblée, «elle est à dissoudre», fait-elle remarquer. Elle propose l'élection d'une Assemblée constituante qui s'appuie sur la mobilisation populaire pour lutter contre le caractère maffieux qui s'est développé dans le pays. L'assemblée constituante permet, explique t-elle, «de contrôler l'action du gouvernement», de «le changer» si le besoin se fait sentir de «révoquer les élus» à quelque niveau que ce soit, s'ils sont défaillants, citant l'exemple du Venezuela, de l'Equateur et de la Bolivie. Elle souhaite que le prochain scrutin populaire soit «transformé en référendum pour procéder à une véritable réforme politique». A la questin de savoir où se situe le PT, Louisa Hanoune s'exclame : «Dans la rupture !» Elle estime en qu' «il faut réhabiliter la politique», soulignant que «c'est le moment de prendre un tournant» et de clarifier les contradictions générées par le bicéphalisme et le bicaméralisme qui règnent au sommet de l'Etat. Ça suffit ! s'est encore exclamée Louisa Hanoune développant les grands axes de sa campagne électorale. «Il ne faut pas insulter l'intelligence du peuple», a-t-elle tambouriné, arguant que «maintenant que la sécurité s'est beaucoup améliorée, il faut ouvrir tous les dossiers politiques et ceux sensibles», pour mieux, selon elle, «tourner la page». Elle estime par ailleurs que «la révision de la loi électorale est une priorité» pour donner plus de gages de transparence pour les élections pour «une population en détresse et une jeunesse désespérée», soulignant que son parti a obtenu, en réalité, lors des dernières législatives, «plus de 40 sièges pour 1.080.000 voix». «Malheureusement, a-t-elle déploré ,«il y a eu, des trucages, une fraude massive», qualifiant ces faits de «scandaleux». Pour elle, la Commission nationale de surveillance des élections n'a jamais empêché la fraude, relevant que «dans les pays démocratiques, il n'y a pas de commission de surveillance» et qu' «il faut maintenant moraliser toute la vie politique», et «mettre un terme à la gabegie généralisée et à la corruption». La secrétaire patronne du PT estime que le président candidat, au-delà des «engagements électoraux» qu'il a pris, doit décider et légiférer sur les mesures qu'il a décidées, proposant «la redéfinition des politiques économique et sociale». Selon elle, Il faut tout reconstruire. «Il y a un problème de légitimité à tous les niveaux» a lancé, hier, Louisa Hanoune, secrétaire générale du PT (Parti des travailleurs), au cours de l'émission «En toute franchise» de la Radio nationale. «Il est temps de mettre un terme à toutes les politiques et institutions qui ont empêché le pays de sortir de la crise», a-t-elle martelé. La candidate à l'élection présidentielle du 09 avril prochain estime qu' «il se pose un problème de légitimité», d'où, selon elle, «il est nécessaire d'opérer une réforme radicale» qui restitue «la parole au peuple» et le «droit de choisir ses représentants démocratiquement élus à tous les niveaux». L'actuelle APN (Assemblée populaire nationale), qui, selon la numéro du PT, «veut plaire à l'Exécutif», n'est pas une vraie assemblée, «elle est à dissoudre», fait-elle remarquer. Elle propose l'élection d'une Assemblée constituante qui s'appuie sur la mobilisation populaire pour lutter contre le caractère maffieux qui s'est développé dans le pays. L'assemblée constituante permet, explique t-elle, «de contrôler l'action du gouvernement», de «le changer» si le besoin se fait sentir de «révoquer les élus» à quelque niveau que ce soit, s'ils sont défaillants, citant l'exemple du Venezuela, de l'Equateur et de la Bolivie. Elle souhaite que le prochain scrutin populaire soit «transformé en référendum pour procéder à une véritable réforme politique». A la questin de savoir où se situe le PT, Louisa Hanoune s'exclame : «Dans la rupture !» Elle estime en qu' «il faut réhabiliter la politique», soulignant que «c'est le moment de prendre un tournant» et de clarifier les contradictions générées par le bicéphalisme et le bicaméralisme qui règnent au sommet de l'Etat. Ça suffit ! s'est encore exclamée Louisa Hanoune développant les grands axes de sa campagne électorale. «Il ne faut pas insulter l'intelligence du peuple», a-t-elle tambouriné, arguant que «maintenant que la sécurité s'est beaucoup améliorée, il faut ouvrir tous les dossiers politiques et ceux sensibles», pour mieux, selon elle, «tourner la page». Elle estime par ailleurs que «la révision de la loi électorale est une priorité» pour donner plus de gages de transparence pour les élections pour «une population en détresse et une jeunesse désespérée», soulignant que son parti a obtenu, en réalité, lors des dernières législatives, «plus de 40 sièges pour 1.080.000 voix». «Malheureusement, a-t-elle déploré ,«il y a eu, des trucages, une fraude massive», qualifiant ces faits de «scandaleux». Pour elle, la Commission nationale de surveillance des élections n'a jamais empêché la fraude, relevant que «dans les pays démocratiques, il n'y a pas de commission de surveillance» et qu' «il faut maintenant moraliser toute la vie politique», et «mettre un terme à la gabegie généralisée et à la corruption». La secrétaire patronne du PT estime que le président candidat, au-delà des «engagements électoraux» qu'il a pris, doit décider et légiférer sur les mesures qu'il a décidées, proposant «la redéfinition des politiques économique et sociale». Selon elle, Il faut tout reconstruire.