Les nouveaux riches et la maffia qui contrôle le commerce et accapare des terres et la propriété collective, sont dans le collimateur de Louisa Hanoune qui a la ferme volonté et l'audace d'appliquer la devise «d'où tiens-tu cela ?» Les nouveaux riches et la maffia qui contrôle le commerce et accapare des terres et la propriété collective, sont dans le collimateur de Louisa Hanoune qui a la ferme volonté et l'audace d'appliquer la devise «d'où tiens-tu cela ?» La candidate à l'élection présidentielle du 9 avril, la secrétaire générale du Parti des travailleurs se propose en cas de succès à l'élection présidentielle, d'ouvrir plusieurs chantiers tant sur le plan politique qu'économique. Intervenant, hier, sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale, la pasionaria du PT estime que «c'est le moment d'opérer une rupture avec l'ancien système». Un système qui, selon elle «aliène la souveraineté nationale et met en péril les intérêts de la nation», soulignant que le programme de son parti s'inscrit contre la politique d'ajustement structurel, les privatisations et les accords de partenariat. Elle souligne toutefois qu'avant d'opérer une réforme économique, il y a lieu de «réfléchir d'abord à une réforme politique », afin de «restituer la parole au peuple pour qu'il puisse élire lui-même ses représentants et se doter d'institutions démocratiques lui permettant d'exercer sa souveraineté». La patronne du PT, fidèle à ses principes, n'a pas manqué de tirer à boulets rouges sur les «politiques menées depuis 1988» qui selon elle «se sont avérées infructueuses», estimant que «pour construire une économie viable, il est nécessaire de relancer le secteur industriel». Elle dénonce la politique de privatisation qui, affirme-t-elle, «est la cause de la hausse du chômage», plaidant pour « la relance de l'industrie avec des investissements publics, protéger la production publique et privée en gelant l'accord d'association avec l'Union européenne (UE) ainsi que l'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ». Selon elle, le capitalisme est en faillite, c'est pourquoi elle prône une autre approche sur le plan économique. Pour elle, l'«avenir appartient au socialisme», soulignant que ce modèle lié à la démocratie, « est en mesure d'assurer la protection de l'économie nationale, en créant des investissements locaux, avec la contribution des secteurs public et privé ». Elle estime qu'il faut redéfinir les priorités pour que notre économie ne dépende plus des aléas du prix du brut, prônant l'utilisation de toutes les ressources et richesses nationales. Les nouveaux riches et la maffia qui contrôle le commerce et accaparent des terres et la propriété collective, sont dans le collimateur de Louisa Hanoune qui a la ferme volonté et l'audace d'appliquer la devise «d'où tiens-tu cela ?» Le même traitement sera réservé à ceux qui ont dilapidé les deniers publics et la propriété de la nation. Ils rendront des comptes, a-t-elle assuré relevant que pour s'enrichir, ces gens-là «ont utilisé les biens publics et puisé dans les caisses de l'Etat». Enfin, concernant l'Ecole algérienne, elle dit basta «à l'importation des politiques qui ne sont pas conformes à nos besoins», faisant siennes les revendications des enseignants qui leur permettent «l'exercice de leurs droits». La candidate à l'élection présidentielle du 9 avril, la secrétaire générale du Parti des travailleurs se propose en cas de succès à l'élection présidentielle, d'ouvrir plusieurs chantiers tant sur le plan politique qu'économique. Intervenant, hier, sur les ondes de la chaîne III de la radio nationale, la pasionaria du PT estime que «c'est le moment d'opérer une rupture avec l'ancien système». Un système qui, selon elle «aliène la souveraineté nationale et met en péril les intérêts de la nation», soulignant que le programme de son parti s'inscrit contre la politique d'ajustement structurel, les privatisations et les accords de partenariat. Elle souligne toutefois qu'avant d'opérer une réforme économique, il y a lieu de «réfléchir d'abord à une réforme politique », afin de «restituer la parole au peuple pour qu'il puisse élire lui-même ses représentants et se doter d'institutions démocratiques lui permettant d'exercer sa souveraineté». La patronne du PT, fidèle à ses principes, n'a pas manqué de tirer à boulets rouges sur les «politiques menées depuis 1988» qui selon elle «se sont avérées infructueuses», estimant que «pour construire une économie viable, il est nécessaire de relancer le secteur industriel». Elle dénonce la politique de privatisation qui, affirme-t-elle, «est la cause de la hausse du chômage», plaidant pour « la relance de l'industrie avec des investissements publics, protéger la production publique et privée en gelant l'accord d'association avec l'Union européenne (UE) ainsi que l'adhésion à l'Organisation mondiale du commerce (OMC) ». Selon elle, le capitalisme est en faillite, c'est pourquoi elle prône une autre approche sur le plan économique. Pour elle, l'«avenir appartient au socialisme», soulignant que ce modèle lié à la démocratie, « est en mesure d'assurer la protection de l'économie nationale, en créant des investissements locaux, avec la contribution des secteurs public et privé ». Elle estime qu'il faut redéfinir les priorités pour que notre économie ne dépende plus des aléas du prix du brut, prônant l'utilisation de toutes les ressources et richesses nationales. Les nouveaux riches et la maffia qui contrôle le commerce et accaparent des terres et la propriété collective, sont dans le collimateur de Louisa Hanoune qui a la ferme volonté et l'audace d'appliquer la devise «d'où tiens-tu cela ?» Le même traitement sera réservé à ceux qui ont dilapidé les deniers publics et la propriété de la nation. Ils rendront des comptes, a-t-elle assuré relevant que pour s'enrichir, ces gens-là «ont utilisé les biens publics et puisé dans les caisses de l'Etat». Enfin, concernant l'Ecole algérienne, elle dit basta «à l'importation des politiques qui ne sont pas conformes à nos besoins», faisant siennes les revendications des enseignants qui leur permettent «l'exercice de leurs droits».