Après une première tentative, qui a tourné court jeudi passé, la commission de surveillance de l'élection présidentielle de la wilaya d'Alger a été finalement installée hier. Bastandji Mohamed Redha, qui a été désigné coordinateur de cette commission, a cette fois-ci eu les faveurs de l'ensemble des représentants des partis politiques et des candidats alors que jeudi dernier ce n'était pas le cas. En effet ce jour-là la majorité des membres de la commission, refusant le «diktat» de l'administration de la wilaya d'Alger qui voulait leur «imposer» Bastandji ont opposé une fin de non recevoir en exigeant de passer au vote,si nécessaire. Selon des membres de la commission ce «refus» n'exprimait pas un quelconque camouflet à l'encontre de cet «authentique moudjahid à la conduite irréprochable mais c'est plutôt la démarche qui n'a pas suscitée l'adhésion». Face à cette situation de «blocage» Mohamed Teguia a préféré reporter la séance. Et apparemment les esprits se sont apaisés puisque la même personnalité a été désignée à l'unanimité des membres. Hakim Meziane, qui a eu à assumer les charges de coordinateur de cette commission par deux fois par le passé, a retiré, hier, sa candidature. Le wali d'Alger, Addou Mohamed Kebir, qui a assisté à la cérémonie en compagnie de Mohamed Teguia, le coordinateur de la Commission politique nationale, a, en faisant référence au couac de jeudi, tenu à présenter ses excuses en déclarant «j'assume cette responsabilité». Après une première tentative, qui a tourné court jeudi passé, la commission de surveillance de l'élection présidentielle de la wilaya d'Alger a été finalement installée hier. Bastandji Mohamed Redha, qui a été désigné coordinateur de cette commission, a cette fois-ci eu les faveurs de l'ensemble des représentants des partis politiques et des candidats alors que jeudi dernier ce n'était pas le cas. En effet ce jour-là la majorité des membres de la commission, refusant le «diktat» de l'administration de la wilaya d'Alger qui voulait leur «imposer» Bastandji ont opposé une fin de non recevoir en exigeant de passer au vote,si nécessaire. Selon des membres de la commission ce «refus» n'exprimait pas un quelconque camouflet à l'encontre de cet «authentique moudjahid à la conduite irréprochable mais c'est plutôt la démarche qui n'a pas suscitée l'adhésion». Face à cette situation de «blocage» Mohamed Teguia a préféré reporter la séance. Et apparemment les esprits se sont apaisés puisque la même personnalité a été désignée à l'unanimité des membres. Hakim Meziane, qui a eu à assumer les charges de coordinateur de cette commission par deux fois par le passé, a retiré, hier, sa candidature. Le wali d'Alger, Addou Mohamed Kebir, qui a assisté à la cérémonie en compagnie de Mohamed Teguia, le coordinateur de la Commission politique nationale, a, en faisant référence au couac de jeudi, tenu à présenter ses excuses en déclarant «j'assume cette responsabilité».