Les journées d'information organisées au sein des cours de différentes wilayas du pays, au profit des médiateurs de justice, ont été clôturées jeudi à l'issue de deux jours de travaux portant sur les nouveautés du code de procédure civil et administratif qui entreront en application prochainement. A Tizi Ouzou, par exemple, le procureur général près la cour s'est adressé aux 33 médiateurs assermentés présents à ces journées affirmant qu'ils ne sont pas tenus par l'obligation de résultats. «Si vous arrivez à régler entre 10 et 15 % des plaintes déposées au niveau des tribunaux, nous pouvons considérer la mission de médiation comme étant une réussite», a-t-il dit . A Béjaïa, une quarantaine de médiateurs seront recrutés au sein des secteurs de l'enseignement supérieur, des affaires religieuses, de l'administration publique et parmi les auxiliaires de justice, a indiqué le président de la cour qui a défini la médiation comme «une méthode alternative de résolution des conflits». A ses yeux, cette méthode « n'est rien d'autre qu'un rapprochement entre les personnes». Durant ces journées d'étude, plusieurs magistrats ont expliqué que le médiateur de justice est appelé à travailler sous la direction du juge territorialement compétent et qu'il aura pour mission de renforcer «l'ancrage de l'Etat de droit et de la loi». La création de cette fonction qui s'inscrit dans la poursuite de l'édification d'un Etat fort et moderne, ont souligné les magistrats, procureurs de la République et présidents de cour qui ont animé ces travaux, doit jouer un rôle dans le cadre de la stratégie nouvelle du système judiciaire. Les magistrats, chargés de la présentation de communications, ont animé les débats et expliqué les principes fondamentaux de l'organisation judiciaire algérienne, en exposant les textes contenus dans le décret exécutif portant sur les modalités et conditions de nomination des médiateurs juridiques. Les travaux ont permis aux participants d'aborder, notamment les techniques d'élaboration des procès-verbaux et le paiement des honoraires du médiateur judiciaire. Les journées d'information organisées au sein des cours de différentes wilayas du pays, au profit des médiateurs de justice, ont été clôturées jeudi à l'issue de deux jours de travaux portant sur les nouveautés du code de procédure civil et administratif qui entreront en application prochainement. A Tizi Ouzou, par exemple, le procureur général près la cour s'est adressé aux 33 médiateurs assermentés présents à ces journées affirmant qu'ils ne sont pas tenus par l'obligation de résultats. «Si vous arrivez à régler entre 10 et 15 % des plaintes déposées au niveau des tribunaux, nous pouvons considérer la mission de médiation comme étant une réussite», a-t-il dit . A Béjaïa, une quarantaine de médiateurs seront recrutés au sein des secteurs de l'enseignement supérieur, des affaires religieuses, de l'administration publique et parmi les auxiliaires de justice, a indiqué le président de la cour qui a défini la médiation comme «une méthode alternative de résolution des conflits». A ses yeux, cette méthode « n'est rien d'autre qu'un rapprochement entre les personnes». Durant ces journées d'étude, plusieurs magistrats ont expliqué que le médiateur de justice est appelé à travailler sous la direction du juge territorialement compétent et qu'il aura pour mission de renforcer «l'ancrage de l'Etat de droit et de la loi». La création de cette fonction qui s'inscrit dans la poursuite de l'édification d'un Etat fort et moderne, ont souligné les magistrats, procureurs de la République et présidents de cour qui ont animé ces travaux, doit jouer un rôle dans le cadre de la stratégie nouvelle du système judiciaire. Les magistrats, chargés de la présentation de communications, ont animé les débats et expliqué les principes fondamentaux de l'organisation judiciaire algérienne, en exposant les textes contenus dans le décret exécutif portant sur les modalités et conditions de nomination des médiateurs juridiques. Les travaux ont permis aux participants d'aborder, notamment les techniques d'élaboration des procès-verbaux et le paiement des honoraires du médiateur judiciaire.