Djahid Younsi a rappelé à la jeunesse, du moins celle concernée par les obligations du service national, que «son programme propose la réduction de la durée du service national à six mois avec une période d'instruction de 45 jours». Djahid Younsi a rappelé à la jeunesse, du moins celle concernée par les obligations du service national, que «son programme propose la réduction de la durée du service national à six mois avec une période d'instruction de 45 jours». Toute une panoplie de mesures en faveur des jeunes a été déclinée, hier, à Relizane par le candidat à l'élection présidentielle du mouvement El-Islah, Djahid Younsi. Ce dernier a rappelé à la jeunesse, du moins celle concernée par les obligations du service national, que «son programme propose la réduction de la durée du service national à six mois avec une période d'instruction de 45 jours». Pour lui, l'armée ne peut être qu'une armée professionnelle moderne. Ratissant large, Djahid Younsi, ne semble pas avoir oublié dans son programme l'autre partie des jeunes subissant le chômage de plein fouet. Auprès de cette dernière, il s'engage et promet s'il est élu, «de lancer un important projet de création de centaines de milliers de pépinières de micro et petites entreprises au niveau communal. Tous les jeunes pourront en profiter, du jeune qualifié aux diplômés des universités en passant par les jeunes issus des centres de formation professionnelle». Un vrai changement qui ne peut être réalisé selon le candidat d'El-Islah «sans la ferme volonté de tous les Algériens». Il dira également, «tout Algérien qui croit au changement doit voter le jour du scrutin ou alors assumer ses responsabilités face au statu quo s'il décide de ne pas se rendre aux urnes». Un choix qu'il faut assumer à l'avenir, laisse-t-il entendre. Il assure ne pas être de ceux qui se focalisent sur le taux de participation, il n'accorde pas d'intérêt particulier à ce détail de l'élection présidentielle. Le plus important pour lui est d'opérer le changement «libre et démocratique». Ce changement est possible, soutient-ilà condition explique-t-il, que «tout Algérien qui croit au changement traduise ses paroles en actes». La défense des constantes nationale et le projet de société ont été aussi évoqués par le candidat du mouvement El-Islah. Le projet qu'il présente est selon lui, «en harmonie avec les constantes nationales». Il s'insurge contre les projets importés de l'étranger comme certains l'ont fait... Son projet n'est ni capitaliste-libéral, ni trotskiste, mais un projet, qui vise, s'exclame-t-il «à restituer à l'Islam et à la langue arabe leurs places naturelles et à promouvoir la langue amazighe». Nous n'appartenons, dit-il «à aucun clan et nous ne travaillons pour aucune secte, notre seul parti est l'Algérie et nous voulons semer l'espoir». Un espoir qu'il espère bien voir fleurir le 9 avril. Toute une panoplie de mesures en faveur des jeunes a été déclinée, hier, à Relizane par le candidat à l'élection présidentielle du mouvement El-Islah, Djahid Younsi. Ce dernier a rappelé à la jeunesse, du moins celle concernée par les obligations du service national, que «son programme propose la réduction de la durée du service national à six mois avec une période d'instruction de 45 jours». Pour lui, l'armée ne peut être qu'une armée professionnelle moderne. Ratissant large, Djahid Younsi, ne semble pas avoir oublié dans son programme l'autre partie des jeunes subissant le chômage de plein fouet. Auprès de cette dernière, il s'engage et promet s'il est élu, «de lancer un important projet de création de centaines de milliers de pépinières de micro et petites entreprises au niveau communal. Tous les jeunes pourront en profiter, du jeune qualifié aux diplômés des universités en passant par les jeunes issus des centres de formation professionnelle». Un vrai changement qui ne peut être réalisé selon le candidat d'El-Islah «sans la ferme volonté de tous les Algériens». Il dira également, «tout Algérien qui croit au changement doit voter le jour du scrutin ou alors assumer ses responsabilités face au statu quo s'il décide de ne pas se rendre aux urnes». Un choix qu'il faut assumer à l'avenir, laisse-t-il entendre. Il assure ne pas être de ceux qui se focalisent sur le taux de participation, il n'accorde pas d'intérêt particulier à ce détail de l'élection présidentielle. Le plus important pour lui est d'opérer le changement «libre et démocratique». Ce changement est possible, soutient-ilà condition explique-t-il, que «tout Algérien qui croit au changement traduise ses paroles en actes». La défense des constantes nationale et le projet de société ont été aussi évoqués par le candidat du mouvement El-Islah. Le projet qu'il présente est selon lui, «en harmonie avec les constantes nationales». Il s'insurge contre les projets importés de l'étranger comme certains l'ont fait... Son projet n'est ni capitaliste-libéral, ni trotskiste, mais un projet, qui vise, s'exclame-t-il «à restituer à l'Islam et à la langue arabe leurs places naturelles et à promouvoir la langue amazighe». Nous n'appartenons, dit-il «à aucun clan et nous ne travaillons pour aucune secte, notre seul parti est l'Algérie et nous voulons semer l'espoir». Un espoir qu'il espère bien voir fleurir le 9 avril.