Le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et le Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) ont repris leur mouvement de contestation comme décidé lors de leur assemblée générale tenue lundi dernier au Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha-Bacha d'Alger-centre. Le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et le Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) ont repris leur mouvement de contestation comme décidé lors de leur assemblée générale tenue lundi dernier au Centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha-Bacha d'Alger-centre. Hier, la grève des professeurs, maîtres de conférences et maîtres-assistants en sciences médicales a repris pour la seconde semaine consécutive. Une grève cyclique de trois jours observée dans toutes les villes sièges de facultés de médecine du pays. Le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et le Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) ont repris leur mouvement de contestation comme décidé lors de leur assemblée générale tenue lundi dernier au centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha-Bacha d'Alger-centre. Ainsi, pour la deuxième semaine consécutive, toutes les activités de soins et de prévention, les consultations ainsi que les examens d'exploration biologique et d'imagerie ne sont pas assurées. Seules les urgences continuent à être prises en charge normalement. Pour l'enseignement en sciences médicales, il a été décidé du boycott illimité de tous les examens et concours à dater d'hier. Cette action concerne les examens de graduation et de post-graduation, les DEMS, les concours de résidanat de professorat, de docentat de maîtrise d'assistanat ainsi que les jurys de thèse. Après le «succès» de la grève durant la semaine dernière, les deux syndicats, initiateurs de ce mouvement, s'attendent à la même mobilisation. Pour rappel, la radicalisation du mouvement de contestation des praticiens hospitalo-universitaires est due au non-aboutissement du décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. En effet, après la dernière grève ouverte touchant l'enseignement en sciences médicales, entamée le 3 janvier 2009 et le préavis de grève déposé pour les activités de soins, les autorités de tutelle se sont engagées, en attendant l'ouverture des discussions sur le régime indemnitaire, à défendre et à faire aboutir un projet de décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour cela, ce décret devait suivre une «procédure d'urgence» pour répondre rapidement à leurs attentes. Trois mois après, rien n'a été encore publié. A ce sujet, le président du SNPDSM, le Pr. N. Djidjeli, dira: «Si nous sommes contactés aujourd'hui pour des propositions faites par la tutelle ou bien pour l'application de ce décret, nous gèlerons séance tenante notre action.» Néanmoins, dans la situation actuelle, rien ne montre que l'heure de l'apaisement est arrivée. Du fait, que la tutelle n'a toujours pas réagi. Hier, la grève des professeurs, maîtres de conférences et maîtres-assistants en sciences médicales a repris pour la seconde semaine consécutive. Une grève cyclique de trois jours observée dans toutes les villes sièges de facultés de médecine du pays. Le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM) et le Syndicat national des maîtres-assistants en sciences médicales (SNMASM) ont repris leur mouvement de contestation comme décidé lors de leur assemblée générale tenue lundi dernier au centre hospitalo-universitaire (CHU) Mustapha-Bacha d'Alger-centre. Ainsi, pour la deuxième semaine consécutive, toutes les activités de soins et de prévention, les consultations ainsi que les examens d'exploration biologique et d'imagerie ne sont pas assurées. Seules les urgences continuent à être prises en charge normalement. Pour l'enseignement en sciences médicales, il a été décidé du boycott illimité de tous les examens et concours à dater d'hier. Cette action concerne les examens de graduation et de post-graduation, les DEMS, les concours de résidanat de professorat, de docentat de maîtrise d'assistanat ainsi que les jurys de thèse. Après le «succès» de la grève durant la semaine dernière, les deux syndicats, initiateurs de ce mouvement, s'attendent à la même mobilisation. Pour rappel, la radicalisation du mouvement de contestation des praticiens hospitalo-universitaires est due au non-aboutissement du décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. En effet, après la dernière grève ouverte touchant l'enseignement en sciences médicales, entamée le 3 janvier 2009 et le préavis de grève déposé pour les activités de soins, les autorités de tutelle se sont engagées, en attendant l'ouverture des discussions sur le régime indemnitaire, à défendre et à faire aboutir un projet de décret réévaluant la rétribution des activités de santé des hospitalo-universitaires. Pour cela, ce décret devait suivre une «procédure d'urgence» pour répondre rapidement à leurs attentes. Trois mois après, rien n'a été encore publié. A ce sujet, le président du SNPDSM, le Pr. N. Djidjeli, dira: «Si nous sommes contactés aujourd'hui pour des propositions faites par la tutelle ou bien pour l'application de ce décret, nous gèlerons séance tenante notre action.» Néanmoins, dans la situation actuelle, rien ne montre que l'heure de l'apaisement est arrivée. Du fait, que la tutelle n'a toujours pas réagi.