Des revendications tournent, principalement, autour de l'application dans l'immédiat de l'accord passé entre le ministère de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique concernant le versement de la rétribution des activités hospitalières. Des revendications tournent, principalement, autour de l'application dans l'immédiat de l'accord passé entre le ministère de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique concernant le versement de la rétribution des activités hospitalières. Le mouvement de grève des hospitalo-universitaires dans les CHU reprend aujourd'hui, et pour trois jours. «Toutes les activités de consultation, de prévention, d'examens, d'exploration biologique et d'imagerie ne seront pas assurées. Nous n'assurerons que le service minimum et les urgences continueront évidemment à assurer leur service», expliquent les syndicalistes. Pour rappel, la reprise des grèves cycliques de trois jours a été décidée lors de la dernière assemblée générale des deux syndicats initiateurs du mouvement de protestation, à savoir, le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM), et le Syndicat national des maîtres assistants en sciences médicales (SNMASM) en date du 27 avril écoulé, où il a été décidé de reprendre le mouvement des grèves cycliques, et ce, en dépit de la décision de justice qui a tranché, auparavant, en faveur du ministère de la Santé en déclarant l'illégalité de la grève. Après s'être soumis au verdict rendu par la justice, les deux syndicats décident de reprendre le mouvement de grève. Contacté par Midi Libre, le Pr Djidjeli, secrétaire général du SNPDSM, nous confirmera «le maintien de la grève dans les CHU, pour les 11, 12, et 13 du mois en cours, à travers tout le territoire national». Quant à l'issue de ce mouvement de grève cyclique, le Pr Djidjeli nous confie qu'«une assemblée générale qui réunira les deux syndicats (SNPDSM et SNMASM) se tiendra le 13 mai, pour décider de la suite du mouvement de protestation». Le professeur syndicaliste, qui revient sur la genèse de ce mouvement de protestation pour le Midi Libre, estime que «la grève cyclique ne prendra fin que si les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique répondent favorablement aux revendications légitimes des professeurs et docents en sciences médicales». Des revendications qui tournent, principalement, et comme rapporté dans nos précédentes éditions, autour de l'application dans l'immédiat de l'accord passé en commun entre le ministère de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique concernant le versement de la rétribution des activités hospitalières. Autre revendication, selon notre interlocuteur, qui n'en est pas moins importante : la reconnaissance des syndicats autonomes que sont le SNPDSM et le SNMASM par les autorités, en tant que partenaires sociaux à part entière, et «surtout l'ouverture d'un dialogue franc et sérieux», dira un syndicaliste. A noter aussi que les syndicats autonomes des hospitalo-universitaires, boycottent toujours les examens dans les facultés de médecine au grand dam des étudiants qui, eux aussi, ont fait part de leur ras-le-bol et de leur inquiétude, en organisant des sit-in de protestation dans l'enceinte de l'université. Le mouvement de grève des hospitalo-universitaires dans les CHU reprend aujourd'hui, et pour trois jours. «Toutes les activités de consultation, de prévention, d'examens, d'exploration biologique et d'imagerie ne seront pas assurées. Nous n'assurerons que le service minimum et les urgences continueront évidemment à assurer leur service», expliquent les syndicalistes. Pour rappel, la reprise des grèves cycliques de trois jours a été décidée lors de la dernière assemblée générale des deux syndicats initiateurs du mouvement de protestation, à savoir, le Syndicat national des professeurs et docents en sciences médicales (SNPDSM), et le Syndicat national des maîtres assistants en sciences médicales (SNMASM) en date du 27 avril écoulé, où il a été décidé de reprendre le mouvement des grèves cycliques, et ce, en dépit de la décision de justice qui a tranché, auparavant, en faveur du ministère de la Santé en déclarant l'illégalité de la grève. Après s'être soumis au verdict rendu par la justice, les deux syndicats décident de reprendre le mouvement de grève. Contacté par Midi Libre, le Pr Djidjeli, secrétaire général du SNPDSM, nous confirmera «le maintien de la grève dans les CHU, pour les 11, 12, et 13 du mois en cours, à travers tout le territoire national». Quant à l'issue de ce mouvement de grève cyclique, le Pr Djidjeli nous confie qu'«une assemblée générale qui réunira les deux syndicats (SNPDSM et SNMASM) se tiendra le 13 mai, pour décider de la suite du mouvement de protestation». Le professeur syndicaliste, qui revient sur la genèse de ce mouvement de protestation pour le Midi Libre, estime que «la grève cyclique ne prendra fin que si les ministères de la Santé et de l'Enseignement supérieur et de la Recherche scientifique répondent favorablement aux revendications légitimes des professeurs et docents en sciences médicales». Des revendications qui tournent, principalement, et comme rapporté dans nos précédentes éditions, autour de l'application dans l'immédiat de l'accord passé en commun entre le ministère de la Santé et celui de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique concernant le versement de la rétribution des activités hospitalières. Autre revendication, selon notre interlocuteur, qui n'en est pas moins importante : la reconnaissance des syndicats autonomes que sont le SNPDSM et le SNMASM par les autorités, en tant que partenaires sociaux à part entière, et «surtout l'ouverture d'un dialogue franc et sérieux», dira un syndicaliste. A noter aussi que les syndicats autonomes des hospitalo-universitaires, boycottent toujours les examens dans les facultés de médecine au grand dam des étudiants qui, eux aussi, ont fait part de leur ras-le-bol et de leur inquiétude, en organisant des sit-in de protestation dans l'enceinte de l'université.