Le sort des membres des groupes d‘autodéfense et des anciens moudjahidine ont été abordés, hier, par Fawzi Rebaïne, candidat du parti AHD 54 à l‘élection présidentielle. Depuis Chechar (Khenchela), où il a animé un meeting populaire, s‘est dit déterminé qu‘en cas de victoire à «améliorer les conditions sociales des groupes d‘autodéfense et à les réhabiliter dans leur dignité, en reconnaissance à leur rôle dans la lutte contre le terrorisme». Estimant que l‘allocation accordée à cette catégorie ainsi qu‘aux victimes du terrorisme est «minime et ne suffit pas à satisfaire leurs besoins particulièrement dans cette conjoncture difficile », Ali Fawzi Rebaïne, a affirmé, toujours s‘il est élu, qu‘ «il promulguera un statut particulier pour les groupes d‘autodéfense ». Abordant la question des moudjahidine, il évoque des moudjahidine et chouhada tombés au champ d‘honneur durant la Guerre de libération nationale, et a appelé les jeunes à exiger «la levée de l‘ambiguïté entretenue sur certaines questions de l‘histoire de la Révolution que d‘aucuns tentent d‘occulter pour dissimuler leur passé». Le candidat de AHD 54 n‘a pas manqué de tirer à boulets rouges sur l‘ONM (organisations des moudjahidine) et l‘ONEC (celle des enfants de moudjahidine). Selon lui, ces organisations, «ne servent que leurs propres intérêts sans accorder le moindre égard aux catégories qu‘elles représentent», soulignant que ces catégories «restent confrontées à des problèmes sociaux complexes particulièrement certains moudjahidine, veuves de chahid et enfants de chahid». Il s‘indigne que «l‘on ne se souvient d‘eux que dans certaines occasions sans oeuvrer à améliorer leurs conditions». Très critique envers ces organisations censées défendre les droits moraux et sociaux de ces catégories de la population, Ali Fawzi Rebaïne s‘insurge sur le fait que la loi sur le chahid et le moudjahid «ait été exploitée par certaines organisations pour obtenir des privilèges personnels et matériels sans nul souci pour les catégories moyennes de moudjahidine, enfants de chouhada et veuves de chahid». Il a, par ailleurs, indiqué que les méthodes actuelles de traitement du dossier des disparus sont «inefficaces», estimant que c‘est à la justice d‘en décider. Le dossier est, selon lui, «très délicat et ne peut être traité par une décision politique». Enfin, le leader de AHD 54 a invité les citoyens à voter massivement pour «opérer le changement et la rupture», afin «d‘engager l‘alternative que le parti AHD 54 est capable de concrétiser». Le sort des membres des groupes d‘autodéfense et des anciens moudjahidine ont été abordés, hier, par Fawzi Rebaïne, candidat du parti AHD 54 à l‘élection présidentielle. Depuis Chechar (Khenchela), où il a animé un meeting populaire, s‘est dit déterminé qu‘en cas de victoire à «améliorer les conditions sociales des groupes d‘autodéfense et à les réhabiliter dans leur dignité, en reconnaissance à leur rôle dans la lutte contre le terrorisme». Estimant que l‘allocation accordée à cette catégorie ainsi qu‘aux victimes du terrorisme est «minime et ne suffit pas à satisfaire leurs besoins particulièrement dans cette conjoncture difficile », Ali Fawzi Rebaïne, a affirmé, toujours s‘il est élu, qu‘ «il promulguera un statut particulier pour les groupes d‘autodéfense ». Abordant la question des moudjahidine, il évoque des moudjahidine et chouhada tombés au champ d‘honneur durant la Guerre de libération nationale, et a appelé les jeunes à exiger «la levée de l‘ambiguïté entretenue sur certaines questions de l‘histoire de la Révolution que d‘aucuns tentent d‘occulter pour dissimuler leur passé». Le candidat de AHD 54 n‘a pas manqué de tirer à boulets rouges sur l‘ONM (organisations des moudjahidine) et l‘ONEC (celle des enfants de moudjahidine). Selon lui, ces organisations, «ne servent que leurs propres intérêts sans accorder le moindre égard aux catégories qu‘elles représentent», soulignant que ces catégories «restent confrontées à des problèmes sociaux complexes particulièrement certains moudjahidine, veuves de chahid et enfants de chahid». Il s‘indigne que «l‘on ne se souvient d‘eux que dans certaines occasions sans oeuvrer à améliorer leurs conditions». Très critique envers ces organisations censées défendre les droits moraux et sociaux de ces catégories de la population, Ali Fawzi Rebaïne s‘insurge sur le fait que la loi sur le chahid et le moudjahid «ait été exploitée par certaines organisations pour obtenir des privilèges personnels et matériels sans nul souci pour les catégories moyennes de moudjahidine, enfants de chouhada et veuves de chahid». Il a, par ailleurs, indiqué que les méthodes actuelles de traitement du dossier des disparus sont «inefficaces», estimant que c‘est à la justice d‘en décider. Le dossier est, selon lui, «très délicat et ne peut être traité par une décision politique». Enfin, le leader de AHD 54 a invité les citoyens à voter massivement pour «opérer le changement et la rupture», afin «d‘engager l‘alternative que le parti AHD 54 est capable de concrétiser».