De violents affrontements ont éclaté, lundi, entre les supporters du RC Kouba et ceux du NA Hussein Dey à la fin du match, comptant pour la 25e journée de D1, qui a opposé ce dernier aux Constantinois de l'AS Khroub sur la pelouse du stade Benhaddad de Kouba. Les heurts auraient fait une trentaine de blessés dont plusieurs dans un état grave, selon des sources hospitalières. Des témoins confirment que les affrontements n'ont rien à voir avec le résultat du match, du moment que les Nahdistes n'affrontaient pas les Koubéens mais que ce seraient plutôt des rivalités latentes entre deux quartiers voisins qui se connaissent ... très bien. D'autres affirment que la violence des stades s'est invitée au sein des quartiers d'Alger. Un fléau qui, malheureusement, prend des proportions de plus en plus alarmantes et que les autorités doivent traiter dans le fond. La maison de la presse de Kouba n'a pas été épargnée par ces violences, elle a fait à son tour l'objet de jets de bouteilles vides, les émeutiers ont même tenté, à un moment, de forcer le portail si ce n'était l'intervention des agents de police arrivés en renfort pour mettre fin à l'assaut des énergumènes. De violents affrontements ont éclaté, lundi, entre les supporters du RC Kouba et ceux du NA Hussein Dey à la fin du match, comptant pour la 25e journée de D1, qui a opposé ce dernier aux Constantinois de l'AS Khroub sur la pelouse du stade Benhaddad de Kouba. Les heurts auraient fait une trentaine de blessés dont plusieurs dans un état grave, selon des sources hospitalières. Des témoins confirment que les affrontements n'ont rien à voir avec le résultat du match, du moment que les Nahdistes n'affrontaient pas les Koubéens mais que ce seraient plutôt des rivalités latentes entre deux quartiers voisins qui se connaissent ... très bien. D'autres affirment que la violence des stades s'est invitée au sein des quartiers d'Alger. Un fléau qui, malheureusement, prend des proportions de plus en plus alarmantes et que les autorités doivent traiter dans le fond. La maison de la presse de Kouba n'a pas été épargnée par ces violences, elle a fait à son tour l'objet de jets de bouteilles vides, les émeutiers ont même tenté, à un moment, de forcer le portail si ce n'était l'intervention des agents de police arrivés en renfort pour mettre fin à l'assaut des énergumènes.
