Le ministre des Affaires étrangères a fait la promotion de la réconciliation nationale au sommet de la Ligue arabe à Doha. Le ministre des Affaires étrangères a fait la promotion de la réconciliation nationale au sommet de la Ligue arabe à Doha. Affirmant que la réconciliation nationale algérienne est devenue une référence évidente et précieuse pour tous les Arabes et pour les pays connaissant des problèmes d'instabilité, il précise que "la réconciliation nationale algérienne est devenue une référence évidente et précieuse pour tous les Arabes et pour les pays connaissant des problèmes d'instabilité". C'est vrai que les Irakiens, embourbés dans une spirale de violence infernale, avaient mis en œuvre une politique de réconciliation, notamment avec les anciens baâthistes de Saddam Hussein et entre les différentes factions composant la société irakienne (sunnites, chiîtes, kurdes). Tout récemment encore, on a vu le président afghan Hamid Karzaï tendre la main aux Talibans modérés pour les inviter à déposer les armes et à participer au processus démocratique en cours en Afghanistan. En outre, M. Mourad Medelci pense également aux dirigeants palestiniens du Hamas et du Fatah, qui ont entamé des discussions pour une réconciliation nationale dans la capitale égyptienne, à l'effet de former un gouvernement d'union nationale, d'organiser des élections présidentielles et législatives, mais surtout de superviser la reconstruction de la bande de Ghaza, en ruine après la lâche agression israélienne. Concernant justement ce dernier point de la réconciliation palestinienne, M. Medelci a noté une nette progression sur ce volet, tout en souhaitant qu'elle devienne dans les semaines à venir, "une réconciliation globale" entre les Palestiniens, en vue de former un gouvernement palestinien avec un programme "politique bien défini". Il a également déclaré que l'allocution du président Abdelaziz Bouteflika a été adoptée comme document de travail par le sommet arabe de Doha, un sommet dont les résultats sont tout de même décevants, puisqu'on note l'absence des principaux dirigeants arabes. En outre, mise à part une union sacrée des pays arabes autour du président soudanais Omar al Bachir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, les dirigeants arabes ne sont pas arrivés à se mettre d'accord sur les principaux points à l'ordre du jour. C'est, bien entendu, la question palestinienne qui continue à diviser les Arabes, certains, comme l'Egypte et l'Arabie saoudite soutenant le président Mahmoud Abbas, alors que d'autres, comme la Syrie et le Qatar, soutenant plutôt le Hamas. Reste que pour ce qui est de l'initiative arabe de paix, le ministre algérien des Affaires étrangères a souligné que cette question "a fait l'objet de larges consultations visant une position arabe unifiée", ajoutant que le sommet de Doha "a défini les conditions de relance de l'initiative". Les pays arabes "sont attachés à la paix en tant qu'option stratégique alors que l'entité sioniste ne fait que la mépriser», a-t-il précisé. Qu'est-ce à dire, sinon que les Palestiniens, qui ont été affaiblis par la dernière offensive sanglante des Israéliens, sont à la recherche d'une alternative, mais surtout de resserrer les rangs . Pour cela, ils comptent sur le soutien de la communauté internationale face au gouvernement israélien de Benyamin Netanyahu qui s'oppose à la création de l'Etat auquel ils aspirent. En effet, la nouvelle donne issue des élections israéliennes ne milite pas en faveur d'un règlement rapide de la question palestinienne et de la création d'un Etat palestinien souverain avec Jérusalem comme capitale. Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui préconise un règlement négocié du conflit avec Israël au grand dam de ses rivaux radicaux du Hamas au pouvoir à Ghaza, a affirmé justement au sommet arabe de Doha que "le monde doit être placé face à ses responsabilités en ce qui concerne le conflit israélo-arabe". Notant que les élections israéliennes de février s'étaient traduites par "un renforcement des éléments les plus extrémistes", il a affirmé que toute négociation future avec Israël serait inutile "s'il n'accepte pas la création d'un Etat palestinien indépendant en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza". Il a appelé les dirigeants arabes à entrer en contact avec le Quartette international sur le Proche-Orient,"notamment l'administration (américaine) du président (Barack) Obama pour amener Israël à se plier à l'option de la paix". Affirmant que la réconciliation nationale algérienne est devenue une référence évidente et précieuse pour tous les Arabes et pour les pays connaissant des problèmes d'instabilité, il précise que "la réconciliation nationale algérienne est devenue une référence évidente et précieuse pour tous les Arabes et pour les pays connaissant des problèmes d'instabilité". C'est vrai que les Irakiens, embourbés dans une spirale de violence infernale, avaient mis en œuvre une politique de réconciliation, notamment avec les anciens baâthistes de Saddam Hussein et entre les différentes factions composant la société irakienne (sunnites, chiîtes, kurdes). Tout récemment encore, on a vu le président afghan Hamid Karzaï tendre la main aux Talibans modérés pour les inviter à déposer les armes et à participer au processus démocratique en cours en Afghanistan. En outre, M. Mourad Medelci pense également aux dirigeants palestiniens du Hamas et du Fatah, qui ont entamé des discussions pour une réconciliation nationale dans la capitale égyptienne, à l'effet de former un gouvernement d'union nationale, d'organiser des élections présidentielles et législatives, mais surtout de superviser la reconstruction de la bande de Ghaza, en ruine après la lâche agression israélienne. Concernant justement ce dernier point de la réconciliation palestinienne, M. Medelci a noté une nette progression sur ce volet, tout en souhaitant qu'elle devienne dans les semaines à venir, "une réconciliation globale" entre les Palestiniens, en vue de former un gouvernement palestinien avec un programme "politique bien défini". Il a également déclaré que l'allocution du président Abdelaziz Bouteflika a été adoptée comme document de travail par le sommet arabe de Doha, un sommet dont les résultats sont tout de même décevants, puisqu'on note l'absence des principaux dirigeants arabes. En outre, mise à part une union sacrée des pays arabes autour du président soudanais Omar al Bachir, qui fait l'objet d'un mandat d'arrêt de la Cour pénale internationale, les dirigeants arabes ne sont pas arrivés à se mettre d'accord sur les principaux points à l'ordre du jour. C'est, bien entendu, la question palestinienne qui continue à diviser les Arabes, certains, comme l'Egypte et l'Arabie saoudite soutenant le président Mahmoud Abbas, alors que d'autres, comme la Syrie et le Qatar, soutenant plutôt le Hamas. Reste que pour ce qui est de l'initiative arabe de paix, le ministre algérien des Affaires étrangères a souligné que cette question "a fait l'objet de larges consultations visant une position arabe unifiée", ajoutant que le sommet de Doha "a défini les conditions de relance de l'initiative". Les pays arabes "sont attachés à la paix en tant qu'option stratégique alors que l'entité sioniste ne fait que la mépriser», a-t-il précisé. Qu'est-ce à dire, sinon que les Palestiniens, qui ont été affaiblis par la dernière offensive sanglante des Israéliens, sont à la recherche d'une alternative, mais surtout de resserrer les rangs . Pour cela, ils comptent sur le soutien de la communauté internationale face au gouvernement israélien de Benyamin Netanyahu qui s'oppose à la création de l'Etat auquel ils aspirent. En effet, la nouvelle donne issue des élections israéliennes ne milite pas en faveur d'un règlement rapide de la question palestinienne et de la création d'un Etat palestinien souverain avec Jérusalem comme capitale. Le président palestinien Mahmoud Abbas, qui préconise un règlement négocié du conflit avec Israël au grand dam de ses rivaux radicaux du Hamas au pouvoir à Ghaza, a affirmé justement au sommet arabe de Doha que "le monde doit être placé face à ses responsabilités en ce qui concerne le conflit israélo-arabe". Notant que les élections israéliennes de février s'étaient traduites par "un renforcement des éléments les plus extrémistes", il a affirmé que toute négociation future avec Israël serait inutile "s'il n'accepte pas la création d'un Etat palestinien indépendant en Cisjordanie et dans la bande de Ghaza". Il a appelé les dirigeants arabes à entrer en contact avec le Quartette international sur le Proche-Orient,"notamment l'administration (américaine) du président (Barack) Obama pour amener Israël à se plier à l'option de la paix".