En signe de solidarité avec leur collègue qui vient d'être poursuivi en justice par le directeur de la Protection civile de la wilaya de Constantine, pas moins de 80 syndicalistes relevant du même secteur ont observé hier, dimanche, une journée de protestation devant le siège de l'UGTA. Les syndicalistes de la Protection civile ont décidé donc de sortir de leur silence afin d'apporter leur soutien au pompier sanctionné pour des motifs qu'ils estiment non fondés. Ce syndicaliste, indique-t-on, a été suspendu de ses fonctions suite à un échange d'insultes avec le directeur à propos d'un sujet d'ordre disciplinaire. Le directeur reprochait à ce pompier sa conduite frêle et frivole, ajoute-t-on. Les protestataires menacent de ne pas s'arrêter là, au cas où la tutelle concernée ne daigne pas réviser sa décision prise à l'encontre du syndicaliste en question. « Notre mouvement sera progressif. La sortie du directeur est révélatrice de beaucoup de mépris vis-à-vis de la corporation syndicaliste » clament-ils. Les contestataires ne conçoivent pas l'affaire sous son angle particulier. Ils interprètent la réaction du directeur comme étant une atteinte pure et simple qui les blesse à leur honneur et leur dignité. En résumé, les protestataires sont convaincus que leur collègue a été sanctionné injustement et de manière expéditive. Ils rejettent en détail et dans la globalité les motifs « supposés » retenus à l'encontre de leur collègue. Ils demandent, de ce fait, à la tutelle de lever ce qu'ils appellent l'arbitraire qui a frappé un fonctionnaire « certes belliqueux mais innocent ». « On ne sanctionne pas son subalterne par le biais de la justice. Dans les tutelles qui se respectent une telle affaire ne dépassera pas le périmètre de l'administration concernée », disent-ils. Pour les pompiers syndicalistes, il s'agit d'une injustice criante que la tutelle est appelée à rectifier. A moins que… En signe de solidarité avec leur collègue qui vient d'être poursuivi en justice par le directeur de la Protection civile de la wilaya de Constantine, pas moins de 80 syndicalistes relevant du même secteur ont observé hier, dimanche, une journée de protestation devant le siège de l'UGTA. Les syndicalistes de la Protection civile ont décidé donc de sortir de leur silence afin d'apporter leur soutien au pompier sanctionné pour des motifs qu'ils estiment non fondés. Ce syndicaliste, indique-t-on, a été suspendu de ses fonctions suite à un échange d'insultes avec le directeur à propos d'un sujet d'ordre disciplinaire. Le directeur reprochait à ce pompier sa conduite frêle et frivole, ajoute-t-on. Les protestataires menacent de ne pas s'arrêter là, au cas où la tutelle concernée ne daigne pas réviser sa décision prise à l'encontre du syndicaliste en question. « Notre mouvement sera progressif. La sortie du directeur est révélatrice de beaucoup de mépris vis-à-vis de la corporation syndicaliste » clament-ils. Les contestataires ne conçoivent pas l'affaire sous son angle particulier. Ils interprètent la réaction du directeur comme étant une atteinte pure et simple qui les blesse à leur honneur et leur dignité. En résumé, les protestataires sont convaincus que leur collègue a été sanctionné injustement et de manière expéditive. Ils rejettent en détail et dans la globalité les motifs « supposés » retenus à l'encontre de leur collègue. Ils demandent, de ce fait, à la tutelle de lever ce qu'ils appellent l'arbitraire qui a frappé un fonctionnaire « certes belliqueux mais innocent ». « On ne sanctionne pas son subalterne par le biais de la justice. Dans les tutelles qui se respectent une telle affaire ne dépassera pas le périmètre de l'administration concernée », disent-ils. Pour les pompiers syndicalistes, il s'agit d'une injustice criante que la tutelle est appelée à rectifier. A moins que…