La cour pénale d'Alger a prononcé, hier, son verdict concernant le procès du policier faisant partie de la garde présidentielle, jugé pour tentative de vol, agression avec arme à feu,(pistolet de service) et pour avoir frappé et blessé un citoyen avec préméditation. L'affaire remonte au 31 juillet 2006 au moment où l'accusé est entré dans une bijouterie située à la rue Didouche-Mourad sous le pretexte d'acheter une bague de fiancailles. Le bijoutier lui proposera différents modèles avant de voir le prétendu client lui placer un pistolet sur la tempe. Devant le refus de la victime de céder à la menace et refusant de lui remettre les bijoux qu'il prétendait vouloir offrir à sa fiancée, les deux hommes en viendront aux mains. Le bijoutier arrivera à bousculer le policier et à lui faire perdre l'équilibre, ce dernier commencera à tirer des balles en l'air, histoire d'intimider sa victime mais finira par se blesser lui-même. Le bijoutier aura le reflexe de prendre son fusil de chasse et de tirer sur l'accusé, qui recevra les plombs dans l'abdomen. Les coups de feu échangés ont fini par atttirer un agent de la circulation qui interviendra mais ne pourra pas maitriser le forcené; il a fallu l'arrivée d'une équipe de policiers en renfort pour pouvoir enfin arrêter l'energumène qui sera transporté aux urgences de l'hôpital avant d'être transféré en prison. Les policiers, après avoir fouillé le sac que l'accusé avait en sa possession y ont trouvé des gants, du scotch et une corde, ce qui confirme la préméditation du crime par l'accusé. L'accusé a nié en bloc toutes les accusations portées contre lui, et affirmera qu'il s'était présenté dans la bijouterie pour simplement y acheter des cadeaux pour sa future femme. Son mariage aurait du être fêté un mois avant le procès. Le procureur général a requis la perpétuité, le juge quant à lui prononcera 16 ans de prison ferme, sans possibilité de recours. La cour pénale d'Alger a prononcé, hier, son verdict concernant le procès du policier faisant partie de la garde présidentielle, jugé pour tentative de vol, agression avec arme à feu,(pistolet de service) et pour avoir frappé et blessé un citoyen avec préméditation. L'affaire remonte au 31 juillet 2006 au moment où l'accusé est entré dans une bijouterie située à la rue Didouche-Mourad sous le pretexte d'acheter une bague de fiancailles. Le bijoutier lui proposera différents modèles avant de voir le prétendu client lui placer un pistolet sur la tempe. Devant le refus de la victime de céder à la menace et refusant de lui remettre les bijoux qu'il prétendait vouloir offrir à sa fiancée, les deux hommes en viendront aux mains. Le bijoutier arrivera à bousculer le policier et à lui faire perdre l'équilibre, ce dernier commencera à tirer des balles en l'air, histoire d'intimider sa victime mais finira par se blesser lui-même. Le bijoutier aura le reflexe de prendre son fusil de chasse et de tirer sur l'accusé, qui recevra les plombs dans l'abdomen. Les coups de feu échangés ont fini par atttirer un agent de la circulation qui interviendra mais ne pourra pas maitriser le forcené; il a fallu l'arrivée d'une équipe de policiers en renfort pour pouvoir enfin arrêter l'energumène qui sera transporté aux urgences de l'hôpital avant d'être transféré en prison. Les policiers, après avoir fouillé le sac que l'accusé avait en sa possession y ont trouvé des gants, du scotch et une corde, ce qui confirme la préméditation du crime par l'accusé. L'accusé a nié en bloc toutes les accusations portées contre lui, et affirmera qu'il s'était présenté dans la bijouterie pour simplement y acheter des cadeaux pour sa future femme. Son mariage aurait du être fêté un mois avant le procès. Le procureur général a requis la perpétuité, le juge quant à lui prononcera 16 ans de prison ferme, sans possibilité de recours.