Des jeunes chômeurs de la commune de Ben-Mhidi ont barré vers midi la RN 44 reliant la capitale de l'acier Annaba au chef-lieu d'El Tarf. Les contestataires ont utilisé des objets hétéroclites et brûlé des pneus pour empêcher les usagers de se rendre dans plusieurs localités d'El Tarf. Les automobilistes ont fait un détour de plusieurs kilomètres en se rabattant sur un raccourci Chatt- Sbaa- Boutheldja. Les protestataires dénoncent les pratiques peu orthodoxes des chargés du recrutement de la société nippone Coojal qui refusent d'engager ces jeunes en désespoir. La route n'a été rouverte à la circulation qu'après que les jeunes aient élu des assurances de réserver un quota aux ouvriers de cette localité. Notons que la route à ce niveau a été maintes fois bloquée par des demandeurs d'emploi. Plusieurs d'entre eux interpellés par les services de sécurité ont été traduits devant la juridiction de première intance de Dréan dans la wilaya d'El Tarf. Trois ont été condamnés le mois écoulé. Des jeunes chômeurs de la commune de Ben-Mhidi ont barré vers midi la RN 44 reliant la capitale de l'acier Annaba au chef-lieu d'El Tarf. Les contestataires ont utilisé des objets hétéroclites et brûlé des pneus pour empêcher les usagers de se rendre dans plusieurs localités d'El Tarf. Les automobilistes ont fait un détour de plusieurs kilomètres en se rabattant sur un raccourci Chatt- Sbaa- Boutheldja. Les protestataires dénoncent les pratiques peu orthodoxes des chargés du recrutement de la société nippone Coojal qui refusent d'engager ces jeunes en désespoir. La route n'a été rouverte à la circulation qu'après que les jeunes aient élu des assurances de réserver un quota aux ouvriers de cette localité. Notons que la route à ce niveau a été maintes fois bloquée par des demandeurs d'emploi. Plusieurs d'entre eux interpellés par les services de sécurité ont été traduits devant la juridiction de première intance de Dréan dans la wilaya d'El Tarf. Trois ont été condamnés le mois écoulé.