Les participants au colloque maghrébin sur le rite malékite dont les travaux ont pris fin jeudi à Ain Defla ont plaidé pour la création d'un prix national pour les meilleures études jurisprudentielles sur les rites malékite et ibadhite. Il s'agit de perpétuer le legs scientifique et religieux national et d'opérer une complémentarité et un rapprochement entre les différentes écoles de jurisprudence à travers tout le territoire national, ont souligné les participants. Dans ce contexte, l'enseignant Yahia Boutridine a indiqué que la création d'un prix national est à même de favoriser l'esprit compétitif et d'encourager la recherche scientifique auprès des enseignants, chercheurs et chouyoukh de zaouïas dans la perspective de faire toute la lumière sur cet important legs que nous ont laissé les Uléma des rites malékite et ibadhite à travers des livres et des manuscrits rarissimes. Le prix contribuerait également à rapprocher les différentes écoles de jurisprudence notamment celles des deux rites en question, a précisé M. Boutridine qui a mis l'accent sur les efforts louables des Uléma des deux rites et leurs efforts pour préserver l'unité nationale depuis la période coloniale jusqu'à ce jour. L'école malékite algérienne et son rôle dans la diffusion du rite malékite à travers tous les pays du Maghreb arabe ont été au centre des débats organisés, trois jours durant, pour faire connaître les préceptes de tolérance des rites malékite et ibadhite et leurs Uléma. Intervenant à la clôture du colloque, le secrétaire général du ministère des Affaires religieuses, M. Ali Hammi a souligné que le colloque sur le rite malékite sera à l'avenir un colloque international auquel prendront part des Uléma et penseurs du monde musulman arabe et d'autres pays étrangers qui viendront enrichir cette école séculaire. Les participants au colloque maghrébin sur le rite malékite dont les travaux ont pris fin jeudi à Ain Defla ont plaidé pour la création d'un prix national pour les meilleures études jurisprudentielles sur les rites malékite et ibadhite. Il s'agit de perpétuer le legs scientifique et religieux national et d'opérer une complémentarité et un rapprochement entre les différentes écoles de jurisprudence à travers tout le territoire national, ont souligné les participants. Dans ce contexte, l'enseignant Yahia Boutridine a indiqué que la création d'un prix national est à même de favoriser l'esprit compétitif et d'encourager la recherche scientifique auprès des enseignants, chercheurs et chouyoukh de zaouïas dans la perspective de faire toute la lumière sur cet important legs que nous ont laissé les Uléma des rites malékite et ibadhite à travers des livres et des manuscrits rarissimes. Le prix contribuerait également à rapprocher les différentes écoles de jurisprudence notamment celles des deux rites en question, a précisé M. Boutridine qui a mis l'accent sur les efforts louables des Uléma des deux rites et leurs efforts pour préserver l'unité nationale depuis la période coloniale jusqu'à ce jour. L'école malékite algérienne et son rôle dans la diffusion du rite malékite à travers tous les pays du Maghreb arabe ont été au centre des débats organisés, trois jours durant, pour faire connaître les préceptes de tolérance des rites malékite et ibadhite et leurs Uléma. Intervenant à la clôture du colloque, le secrétaire général du ministère des Affaires religieuses, M. Ali Hammi a souligné que le colloque sur le rite malékite sera à l'avenir un colloque international auquel prendront part des Uléma et penseurs du monde musulman arabe et d'autres pays étrangers qui viendront enrichir cette école séculaire.