Les bus à destination de Mila, Ferdjioua, Rouached, Redjas, Ahmed Rachedi et devant transiter par Zéghaia, le jour du souk hebdomadaire, chaque lundi, malgré le nombre important d'usagers, ne peuvent, en aucun cas, prendre des passagers à partir du marché (au niveau de la RN 79), car c'est interdit. Seuls les transporteurs assurant la desserte Zeghaia-Redjas-Mila et autres directions, dans les deux sens, en ont le droit. Les personnes qui font leurs emplettes les lundis au marché de Zéghaia souffrent le martyre et ne savent plus à quel saint se vouer, car voir un bus, pratiquement vide, passer sans s'arrêter, alors que des centaines de personnes attendent un hypothétique moyen de transport , c'est vraiment déplorable et inacceptable pour le commun des mortels. Les lundis, des centaines de personnes, chargées de provisions, rentrent carrément à pied (Mila 9 km, Redjas 6 km), ou se dirigent avers les sorties est et ouest du village, loin du marché, pour attendre les bus venant des agglomérations citées précédemment et qui, en dehors de la «zone interdite» : (souk), les embarquent sans crainte de se faire harceler par les propriétaires des lignes Zéghaia toutes directions, dans les deux sens. Ainsi, les voyageurs ont le choix entre patienter de longues heures, ou faire le guet un peu plus loin. Au fait, une trentaine de bus peut-elle assurer le transport de tout un marché ? Là est toute la question. Les bus à destination de Mila, Ferdjioua, Rouached, Redjas, Ahmed Rachedi et devant transiter par Zéghaia, le jour du souk hebdomadaire, chaque lundi, malgré le nombre important d'usagers, ne peuvent, en aucun cas, prendre des passagers à partir du marché (au niveau de la RN 79), car c'est interdit. Seuls les transporteurs assurant la desserte Zeghaia-Redjas-Mila et autres directions, dans les deux sens, en ont le droit. Les personnes qui font leurs emplettes les lundis au marché de Zéghaia souffrent le martyre et ne savent plus à quel saint se vouer, car voir un bus, pratiquement vide, passer sans s'arrêter, alors que des centaines de personnes attendent un hypothétique moyen de transport , c'est vraiment déplorable et inacceptable pour le commun des mortels. Les lundis, des centaines de personnes, chargées de provisions, rentrent carrément à pied (Mila 9 km, Redjas 6 km), ou se dirigent avers les sorties est et ouest du village, loin du marché, pour attendre les bus venant des agglomérations citées précédemment et qui, en dehors de la «zone interdite» : (souk), les embarquent sans crainte de se faire harceler par les propriétaires des lignes Zéghaia toutes directions, dans les deux sens. Ainsi, les voyageurs ont le choix entre patienter de longues heures, ou faire le guet un peu plus loin. Au fait, une trentaine de bus peut-elle assurer le transport de tout un marché ? Là est toute la question.