La station d'épuration des eaux usées de Sidi Mérouane sera opérationnelle dès le mois de juillet. Située à quelques encablures du barrage de Béni Haroun, les eaux traitées iront se déverser dans la cuvette du barrage, pour ensuite être acheminées vers les villes et villages, via des réseaux de canalisation. La station d'épuration des eaux usées de Sidi Mérouane sera opérationnelle dès le mois de juillet. Située à quelques encablures du barrage de Béni Haroun, les eaux traitées iront se déverser dans la cuvette du barrage, pour ensuite être acheminées vers les villes et villages, via des réseaux de canalisation. La station d'épuration des eaux usées de Sidi Mérouane sera opérationnelle dès le mois de juillet. Ceci après plusieurs essais, tous concluants, qui se sont étalés sur une période de plus de cinq mois (de février à ce jour). Cette station aura pour tâche le traitement de plus de 60.000 m3 d'eaux usées provenant de Ras El Bir, une mechta en amont de Sidi Merouane, elle a nécessité 22 kilomètres de canalisations, 7 stations de pompage et a permis la création de 100 postes d'emploi au grand bonheur des résidants de la wilaya. Ce projet a coûté 2,075 milliards de dinars. Située à quelques encablures du barrage de Béni Haroun, les eaux traitées iront se déverser dans la cuvette du barrage, pour ensuite être acheminées vers les villes et villages, via des réseaux de canalisation. Décantation, traitement biologique à faible charge et désodorisation biologique sont les diverses étapes du processus de traitement des eaux. Les boues, quant à elles, une fois déshydratées et séchées à l'air libre seront transformées en engrais et destinées à la vente, après stockage dans des hangars. L'entreprise française, réalisatrice de ce projet, continuera, malgré l'achèvement de tous les travaux, à gérer la station durant deux années. Elle se chargera également de former le personnel qui dirigera et exploitera la station, après son départ dans deux ans . D'une capacité de 20.550 m3 /jour, à l'horizon 2015, implantée sur le territoire de la commune de Sidi Mérouane, elle s'étend sur une superficie de 16 ha et contribuera à la protection du barrage contre les diverses pollutions pouvant contaminer les eaux de Béni Haroun. C'est la deuxième station de la wilaya après celle de oued Athmania. Avant la fin de l'année en cours, selon toute vraisemblance, les travaux de réalisation de quatre autres stations, à Oued Endja, Ferdjioua, Rouached et Amira Arrès seront entamés et traiteront les eaux usées des agglomérations de Ferdjioua, Zeghaia, Redjas, Ahmed Rachedi, Rouached, Terai Beinen, Amira Arrès et Tassala Lemtai. La station d'épuration des eaux usées de Sidi Mérouane sera opérationnelle dès le mois de juillet. Ceci après plusieurs essais, tous concluants, qui se sont étalés sur une période de plus de cinq mois (de février à ce jour). Cette station aura pour tâche le traitement de plus de 60.000 m3 d'eaux usées provenant de Ras El Bir, une mechta en amont de Sidi Merouane, elle a nécessité 22 kilomètres de canalisations, 7 stations de pompage et a permis la création de 100 postes d'emploi au grand bonheur des résidants de la wilaya. Ce projet a coûté 2,075 milliards de dinars. Située à quelques encablures du barrage de Béni Haroun, les eaux traitées iront se déverser dans la cuvette du barrage, pour ensuite être acheminées vers les villes et villages, via des réseaux de canalisation. Décantation, traitement biologique à faible charge et désodorisation biologique sont les diverses étapes du processus de traitement des eaux. Les boues, quant à elles, une fois déshydratées et séchées à l'air libre seront transformées en engrais et destinées à la vente, après stockage dans des hangars. L'entreprise française, réalisatrice de ce projet, continuera, malgré l'achèvement de tous les travaux, à gérer la station durant deux années. Elle se chargera également de former le personnel qui dirigera et exploitera la station, après son départ dans deux ans . D'une capacité de 20.550 m3 /jour, à l'horizon 2015, implantée sur le territoire de la commune de Sidi Mérouane, elle s'étend sur une superficie de 16 ha et contribuera à la protection du barrage contre les diverses pollutions pouvant contaminer les eaux de Béni Haroun. C'est la deuxième station de la wilaya après celle de oued Athmania. Avant la fin de l'année en cours, selon toute vraisemblance, les travaux de réalisation de quatre autres stations, à Oued Endja, Ferdjioua, Rouached et Amira Arrès seront entamés et traiteront les eaux usées des agglomérations de Ferdjioua, Zeghaia, Redjas, Ahmed Rachedi, Rouached, Terai Beinen, Amira Arrès et Tassala Lemtai.