A travers l'entrée dans ce système, il sera possible aux autres membres de disposer de données statistiques actualisées sur l'économie algérienne. A travers l'entrée dans ce système, il sera possible aux autres membres de disposer de données statistiques actualisées sur l'économie algérienne. L'Algérie devient le 95e pays membre du Fonds monétaire international (FMI) à intégrer le Système général de diffusion des données (General data dissemination system-GDDS) relevant de cette institution multilatérale, rapporte l'APS reprenant un communiqué de presse disponible sur le site Internet de l'organisation. Le communiqué du FMI explique que l'intégration au GDDS autorise «la publication d'informations complètes sur l'Algérie qui seront diffusées dans le FMI Bulletin Board réservé aux pays ayant adhéré à ce dispositif de statistiques». A travers l'entrée dans ce système, il sera possible aux autres membres de disposer de données statistiques actualisées sur l'économie algérienne. Autrement dit, l'Algérie fournit à ses partenaires actuels et potentiels un tableau de bord fait de statistiques récentes pour leur donner plus de visibilité, les aider à prendre les bonnes décisions et partant, piloter les relations socio-économiques sur des bases rationnelles. En effet, ce dispositif porte sur la publication des informations de chaque pays membre du SGDD portant essentiellement sur la comptabilité nationale, la production industrielle, l'indice des prix, le chômage, le secteur financier, la dette, les taux d'intérêt, la balance des paiements, le commerce extérieur et les données socio-démographiques (santé, éducation, pauvreté...). Pour l'institution de Bretton Woods, cette décision est «une étape majeure dans le développement de son système statistique ». Pour le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohammed Laksaci, «l'Algérie s'est engagée à se doter d'un système statistique national conforme aux meilleures pratiques internationales», est-il rapporté dans le communiqué du FMI. Le premier responsable de la Banque d'Algérie expliquera la participation de l'Algerie à ce système disant, «le SGDD du FMI constitue un excellent cadre pour le développement des systèmes statistiques. La participation à ce système prouve l'engagement à produire des données permettant le renforcement du système statistique», avant d'ajouter que «la participation de l'Algérie à ce dispositif permettra la production et la diffusion de statistiques des plus fiables et en temps opportun». Pour sa part, Mme Adelheid Bürgi-Schmelz, directrice du département des statistiques du FMI, a souligné que la participation de l'Algérie au SGDD est «une étape importante dans le développement de l'outil statistique du pays. Je suis convaincue que l'Algérie bénéficiera de l'aide du SGDD comme cadre permettant la poursuite du développement de son système statistique». Effectivement en décidant d'intégrer ce système de base de données, l'Algérie envoie un signe positif envers la communauté économique internationale. Mais bientôt, c'est aussi la qualité de la statistique économique algérienne qui sera soumise à l'appréciation internationale. L'Algérie qui n'en est pas moins consciente de son déficit en la matière a entreprit un vaste chantier de refondation de son système statistique à même de produire des données plus complètes pour servir principalement d'outils de prise de décision dans l'élaboration et la planification des différentes politiques nationales. Pour preuve, le Commissariat général à la planification et à la prospective, a entamé un travail pour la réhabilitation du Système national d'information statistique (Snis). Alors que l'Office national des statistiques (ONS) s'est tracé une «feuille de route statistique» pour la période 2008-2015, dans la perspective d'une stratégie nationale de développement de la statistique. Une modification progressive des indices se met en place, notamment à travers la révision des méthodes de calcul de l'indice des prix, de l'inflation sans compter les stratégies sectorielles s de développement de la statistique. L'Algérie devient le 95e pays membre du Fonds monétaire international (FMI) à intégrer le Système général de diffusion des données (General data dissemination system-GDDS) relevant de cette institution multilatérale, rapporte l'APS reprenant un communiqué de presse disponible sur le site Internet de l'organisation. Le communiqué du FMI explique que l'intégration au GDDS autorise «la publication d'informations complètes sur l'Algérie qui seront diffusées dans le FMI Bulletin Board réservé aux pays ayant adhéré à ce dispositif de statistiques». A travers l'entrée dans ce système, il sera possible aux autres membres de disposer de données statistiques actualisées sur l'économie algérienne. Autrement dit, l'Algérie fournit à ses partenaires actuels et potentiels un tableau de bord fait de statistiques récentes pour leur donner plus de visibilité, les aider à prendre les bonnes décisions et partant, piloter les relations socio-économiques sur des bases rationnelles. En effet, ce dispositif porte sur la publication des informations de chaque pays membre du SGDD portant essentiellement sur la comptabilité nationale, la production industrielle, l'indice des prix, le chômage, le secteur financier, la dette, les taux d'intérêt, la balance des paiements, le commerce extérieur et les données socio-démographiques (santé, éducation, pauvreté...). Pour l'institution de Bretton Woods, cette décision est «une étape majeure dans le développement de son système statistique ». Pour le gouverneur de la Banque d'Algérie, Mohammed Laksaci, «l'Algérie s'est engagée à se doter d'un système statistique national conforme aux meilleures pratiques internationales», est-il rapporté dans le communiqué du FMI. Le premier responsable de la Banque d'Algérie expliquera la participation de l'Algerie à ce système disant, «le SGDD du FMI constitue un excellent cadre pour le développement des systèmes statistiques. La participation à ce système prouve l'engagement à produire des données permettant le renforcement du système statistique», avant d'ajouter que «la participation de l'Algérie à ce dispositif permettra la production et la diffusion de statistiques des plus fiables et en temps opportun». Pour sa part, Mme Adelheid Bürgi-Schmelz, directrice du département des statistiques du FMI, a souligné que la participation de l'Algérie au SGDD est «une étape importante dans le développement de l'outil statistique du pays. Je suis convaincue que l'Algérie bénéficiera de l'aide du SGDD comme cadre permettant la poursuite du développement de son système statistique». Effectivement en décidant d'intégrer ce système de base de données, l'Algérie envoie un signe positif envers la communauté économique internationale. Mais bientôt, c'est aussi la qualité de la statistique économique algérienne qui sera soumise à l'appréciation internationale. L'Algérie qui n'en est pas moins consciente de son déficit en la matière a entreprit un vaste chantier de refondation de son système statistique à même de produire des données plus complètes pour servir principalement d'outils de prise de décision dans l'élaboration et la planification des différentes politiques nationales. Pour preuve, le Commissariat général à la planification et à la prospective, a entamé un travail pour la réhabilitation du Système national d'information statistique (Snis). Alors que l'Office national des statistiques (ONS) s'est tracé une «feuille de route statistique» pour la période 2008-2015, dans la perspective d'une stratégie nationale de développement de la statistique. Une modification progressive des indices se met en place, notamment à travers la révision des méthodes de calcul de l'indice des prix, de l'inflation sans compter les stratégies sectorielles s de développement de la statistique.