Un colloque international sur la promotion et la conservation du patrimoine archéologique et historique a été ouvert, hier, à l'université Larbi- Tébessi de Tebessa pour une durée de cinq jours. Cette rencontre sera l'occasion pour le recteur de cette université de présenter la ville de Tébessa, qui a été choisie pour abriter une telle manifestation de dimension internationale, pour «la grande richesse de la région en matière de vestiges archéologiques et préhistoriques». Une richesse, dit-il, «largement méconnue et souvent pillée et qui a besoin d'être sauvegardée». Cette rencontre sera également une oppotunité pour les participants de débattre autour de plusieurs thèmes. Ils concernent, notamment les moyens susceptibles d'assurer la préservation du patrimoine archéologique et préhistorique national ainsi que les différentes techniques utilisées en la matière, comme la télédétection, les diverses méthodes de datation, le magnétisme des roches, la sédimentologie et la palynologie. Ce colloque est rehaussé par la présence de chercheurs et d'archéologues italiens, français, allemands, hollandais, égyptiens, tunisiens, mauritaniens et marocains, venus de diverses universités et centres de recherche pour faire part de leurs expériences. Selon les organisateurs, cette manifestation vise également à «examiner les possibilités de signature d'accords de coopération en matière de recherche archéologique». Un colloque international sur la promotion et la conservation du patrimoine archéologique et historique a été ouvert, hier, à l'université Larbi- Tébessi de Tebessa pour une durée de cinq jours. Cette rencontre sera l'occasion pour le recteur de cette université de présenter la ville de Tébessa, qui a été choisie pour abriter une telle manifestation de dimension internationale, pour «la grande richesse de la région en matière de vestiges archéologiques et préhistoriques». Une richesse, dit-il, «largement méconnue et souvent pillée et qui a besoin d'être sauvegardée». Cette rencontre sera également une oppotunité pour les participants de débattre autour de plusieurs thèmes. Ils concernent, notamment les moyens susceptibles d'assurer la préservation du patrimoine archéologique et préhistorique national ainsi que les différentes techniques utilisées en la matière, comme la télédétection, les diverses méthodes de datation, le magnétisme des roches, la sédimentologie et la palynologie. Ce colloque est rehaussé par la présence de chercheurs et d'archéologues italiens, français, allemands, hollandais, égyptiens, tunisiens, mauritaniens et marocains, venus de diverses universités et centres de recherche pour faire part de leurs expériences. Selon les organisateurs, cette manifestation vise également à «examiner les possibilités de signature d'accords de coopération en matière de recherche archéologique».