L'Espagnol Rafael Nadal, battu l'an passé à la suprise générale dès le 2e tour sur la terre battue de Rome après trois victoires de rang (2005, 2006, 2007), entend reprendre son titre au Masters 1000 qui débute aujourd'hui dans la capitale italienne. Il y a un an, le N.1 mondial s'était incliné face à Juan-Carlos Ferrero (7-5, 6-1). Mais sans rien enlever à la performance de son compatriote, le Majorquin avait surtout été vaincu par des ampoules qui, le matin du match, l'empêchaient de marcher normalement. D'ailleurs, la suite de sa saison allait confirmer que son élimination romaine n'était qu'un accident avec, notamment, son quatrième succès de rang à Roland-Garros ainsi que son premier à Wimbledon. Cette saison encore, "Rafa" se présente à Rome fort de ses sempiternelles et impressionnantes références sur l'ocre: il vient de remporter le tournoi de Monte-Carlo pour la cinquième fois consécutive, et il devait disputer la finale dimanche après-midi à Barcelone contre David Ferrer, également pour une cinquième victoire. Plus largement, il en est aujourd'hui à 141 victoires sur terre pour seulement 4 défaites depuis 2005. Au Foro Italico, ses plus sérieux rivaux seront ses trois poursuivants immédiats au classement mondial, Roger Federer, Novak Djokovic, le tenant du titre, et Andy Murray. Federer cependant, qui n'a plus brillé en Italie depuis sa finale en 2006 (défaite face à Nadal au terme d'un match extraordinaire long de 5 heures), reste sur une défaite en huitièmes de finale à Monte-Carlo face à Stanislas Wawrinka (6-4, 7-5), finaliste l'an passé. Il y a un an, le Suisse s'était incliné face à Djokovic, le plus habile à profiter de la défaite prématurée de Nadal. Le Serbe reste néanmoins sur sept défaites en sept matches sur terre battue face à l'Espagnol, la dernière en date en finale de Monte-Carlo (6-3, 2-6, 6-1). Enfin Murray, qui n'a jamais franchi le 2e tour en deux participations à Rome, manque encore de références solides sur terre battue mais a livré une demi-finale encourageante face à Nadal (6-2, 7-6), également à Monte-Carlo. L'Espagnol Rafael Nadal, battu l'an passé à la suprise générale dès le 2e tour sur la terre battue de Rome après trois victoires de rang (2005, 2006, 2007), entend reprendre son titre au Masters 1000 qui débute aujourd'hui dans la capitale italienne. Il y a un an, le N.1 mondial s'était incliné face à Juan-Carlos Ferrero (7-5, 6-1). Mais sans rien enlever à la performance de son compatriote, le Majorquin avait surtout été vaincu par des ampoules qui, le matin du match, l'empêchaient de marcher normalement. D'ailleurs, la suite de sa saison allait confirmer que son élimination romaine n'était qu'un accident avec, notamment, son quatrième succès de rang à Roland-Garros ainsi que son premier à Wimbledon. Cette saison encore, "Rafa" se présente à Rome fort de ses sempiternelles et impressionnantes références sur l'ocre: il vient de remporter le tournoi de Monte-Carlo pour la cinquième fois consécutive, et il devait disputer la finale dimanche après-midi à Barcelone contre David Ferrer, également pour une cinquième victoire. Plus largement, il en est aujourd'hui à 141 victoires sur terre pour seulement 4 défaites depuis 2005. Au Foro Italico, ses plus sérieux rivaux seront ses trois poursuivants immédiats au classement mondial, Roger Federer, Novak Djokovic, le tenant du titre, et Andy Murray. Federer cependant, qui n'a plus brillé en Italie depuis sa finale en 2006 (défaite face à Nadal au terme d'un match extraordinaire long de 5 heures), reste sur une défaite en huitièmes de finale à Monte-Carlo face à Stanislas Wawrinka (6-4, 7-5), finaliste l'an passé. Il y a un an, le Suisse s'était incliné face à Djokovic, le plus habile à profiter de la défaite prématurée de Nadal. Le Serbe reste néanmoins sur sept défaites en sept matches sur terre battue face à l'Espagnol, la dernière en date en finale de Monte-Carlo (6-3, 2-6, 6-1). Enfin Murray, qui n'a jamais franchi le 2e tour en deux participations à Rome, manque encore de références solides sur terre battue mais a livré une demi-finale encourageante face à Nadal (6-2, 7-6), également à Monte-Carlo.