Rafael Nadal, le N.1 mondial invaincu sur sa surface de prédilection depuis 30 matches, reprend sa marche en avant vers Roland-Garros et un cinquième titre d'affilée inédit en s'alignant au Masters 1000 de Madrid, joué pour la première fois sur terre battue dès aujourd'hui. "Chaque tournoi est complètement différent. Mais jouer en Espagne me donne toujours une motivation particulière. La seule différence est l'altitude (900 m)", a analysé Nadal, qui a troqué sa raquette pour des clubs de golf après avoir conquis son quatrième trophée à Rome à cinq ans. Si Nadal, auteur d'un cinquième succès de rang à Monte Carlo et Barcelone et en quête d'un 16e Masters 1000, semble sans rival, l'ancien roi des courts, le Suisse Roger Federer se trouve dans l'obligation de faire un bon résultat afin de conserver sa place de N.2 mondial. Sur la terre battue en altitude de Madrid, Djokovic, le seul à réussir à prendre un set à Nadal à Monte-Carlo depuis 2006, va encore se sentir bien esseulé au moment d'affronter le "maître" des lieux. Le tenant du titre britannique Andy Murray, qui va supplanter Djokovic sur le podium mondial, apparaît encore un peu tendre, sa victoire l'an passé se déroulant en salle. Dans le tournoi féminin, privé de la championne serbe de Roland-Garros Ana Ivanovic, la Russe Dinara Safina va encore tenter de consolider sa première place mondiale. Battue à Berlin par sa compatriote Svetlana Kuznetsova, elle est confrontée à la même adversaire en finale du tournoi de Rome dimanche. La concurrence s'annonce en tout cas de premier plan avec les soeurs Venus et Serena Williams, la Russe championne olympique de Pékin Elena Dementieva ou encore la Serbe Jelena Jankovic, ancienne N.1 mondiale. Rafael Nadal, le N.1 mondial invaincu sur sa surface de prédilection depuis 30 matches, reprend sa marche en avant vers Roland-Garros et un cinquième titre d'affilée inédit en s'alignant au Masters 1000 de Madrid, joué pour la première fois sur terre battue dès aujourd'hui. "Chaque tournoi est complètement différent. Mais jouer en Espagne me donne toujours une motivation particulière. La seule différence est l'altitude (900 m)", a analysé Nadal, qui a troqué sa raquette pour des clubs de golf après avoir conquis son quatrième trophée à Rome à cinq ans. Si Nadal, auteur d'un cinquième succès de rang à Monte Carlo et Barcelone et en quête d'un 16e Masters 1000, semble sans rival, l'ancien roi des courts, le Suisse Roger Federer se trouve dans l'obligation de faire un bon résultat afin de conserver sa place de N.2 mondial. Sur la terre battue en altitude de Madrid, Djokovic, le seul à réussir à prendre un set à Nadal à Monte-Carlo depuis 2006, va encore se sentir bien esseulé au moment d'affronter le "maître" des lieux. Le tenant du titre britannique Andy Murray, qui va supplanter Djokovic sur le podium mondial, apparaît encore un peu tendre, sa victoire l'an passé se déroulant en salle. Dans le tournoi féminin, privé de la championne serbe de Roland-Garros Ana Ivanovic, la Russe Dinara Safina va encore tenter de consolider sa première place mondiale. Battue à Berlin par sa compatriote Svetlana Kuznetsova, elle est confrontée à la même adversaire en finale du tournoi de Rome dimanche. La concurrence s'annonce en tout cas de premier plan avec les soeurs Venus et Serena Williams, la Russe championne olympique de Pékin Elena Dementieva ou encore la Serbe Jelena Jankovic, ancienne N.1 mondiale.