Nada vient de s'engager auprès de plusieurs associations dans six wilayas du centre (Boumerdes, Blida, Tizi-Ouzou, Bouira, Béjaïa et Médéa), pour l'élargissement, dans les prochains mois, de l'utilisation du numéro vert 3033, à travers toutes ces régions. Nada vient de s'engager auprès de plusieurs associations dans six wilayas du centre (Boumerdes, Blida, Tizi-Ouzou, Bouira, Béjaïa et Médéa), pour l'élargissement, dans les prochains mois, de l'utilisation du numéro vert 3033, à travers toutes ces régions. Une année après avoir lancé le numéro vert 3033, le Réseau national pour la défense, la protection et la promotion des droits de l'enfant (Nada) vient de s'engager auprès de plusieurs associations dans six wilayas du centre (Boumerdes, Blida, Tizi-Ouzou, Bouira, Béjaïa et Médéa), pour l'élargissement, dans les prochains mois, de l'utilisation du numéro vert 3033, à travers toutes ces régions. Le président du réseau Nada nous a indiqué que cette nouvelle démarche s'inscrit dans la logique du réseau lui-même qui se veut un noyau de défense des droits des enfants. De point de vue technique, le siège du réseau continuera à abriter l'ensemble des appels provenant des différentes régions. Le même procédé de traitement de l'information sera appliqué, avant sa transmission au niveau des comités consultatifs qui seront érigés dans chaque association. Composé d'un psychologue, d'un juriste et d'un assistant social, le comité prendra la relève au niveau local pour la prise en charge immédiate des cas exposés. Interrogé par ailleurs sur un premier bilan d'une année d'utilisation du numéro vert, M. Abderrahmane Arar affirme que des cas d'une extrême urgence ont été traités tout au long de l'année. « Ce n'est pas facile, dit-il, lorsque les besoins exprimés ne dépendent plus du seul ressort du réseau, mais bien de l'implication de plusieurs autres acteurs institutionnels ». Il soulève par ailleurs les problèmes d'absence de structures d'enfants, adolescents particulièrement, dans le cas où ces derniers doivent être momentanément retirés à leurs familles. L'engagement du juge des mineurs à traiter directement avec le réseau est toutefois un acquis très considérable, sachant que le règlement de beaucoup de situations relève de la priorité de la justice. Pour ce qui est des cas les plus sensibles recensés à travers le 3033, ils touchent notamment le viol des jeunes adolescentes, avec en conséquence une grossesse indésirable, les fugues des enfants de leu milieu familial et depuis quelques semaines, des cas d'enfants drogués sont de plus signalés. Dans ce dernier cas, ce sont les familles qui lancent des SOS. Le réseau traite depuis quelques semaine avec le centre de désintoxication de l'hôpital de Blida, pour la prise en charge de ces cas. Le Conseil consultatif du numéro vert a ouvert également un dossier kafala pour s'occuper de l'adoption des enfants nés de viol. Une année après avoir lancé le numéro vert 3033, le Réseau national pour la défense, la protection et la promotion des droits de l'enfant (Nada) vient de s'engager auprès de plusieurs associations dans six wilayas du centre (Boumerdes, Blida, Tizi-Ouzou, Bouira, Béjaïa et Médéa), pour l'élargissement, dans les prochains mois, de l'utilisation du numéro vert 3033, à travers toutes ces régions. Le président du réseau Nada nous a indiqué que cette nouvelle démarche s'inscrit dans la logique du réseau lui-même qui se veut un noyau de défense des droits des enfants. De point de vue technique, le siège du réseau continuera à abriter l'ensemble des appels provenant des différentes régions. Le même procédé de traitement de l'information sera appliqué, avant sa transmission au niveau des comités consultatifs qui seront érigés dans chaque association. Composé d'un psychologue, d'un juriste et d'un assistant social, le comité prendra la relève au niveau local pour la prise en charge immédiate des cas exposés. Interrogé par ailleurs sur un premier bilan d'une année d'utilisation du numéro vert, M. Abderrahmane Arar affirme que des cas d'une extrême urgence ont été traités tout au long de l'année. « Ce n'est pas facile, dit-il, lorsque les besoins exprimés ne dépendent plus du seul ressort du réseau, mais bien de l'implication de plusieurs autres acteurs institutionnels ». Il soulève par ailleurs les problèmes d'absence de structures d'enfants, adolescents particulièrement, dans le cas où ces derniers doivent être momentanément retirés à leurs familles. L'engagement du juge des mineurs à traiter directement avec le réseau est toutefois un acquis très considérable, sachant que le règlement de beaucoup de situations relève de la priorité de la justice. Pour ce qui est des cas les plus sensibles recensés à travers le 3033, ils touchent notamment le viol des jeunes adolescentes, avec en conséquence une grossesse indésirable, les fugues des enfants de leu milieu familial et depuis quelques semaines, des cas d'enfants drogués sont de plus signalés. Dans ce dernier cas, ce sont les familles qui lancent des SOS. Le réseau traite depuis quelques semaine avec le centre de désintoxication de l'hôpital de Blida, pour la prise en charge de ces cas. Le Conseil consultatif du numéro vert a ouvert également un dossier kafala pour s'occuper de l'adoption des enfants nés de viol.