Edifié au début des années 80 au sein du quartier périphérique de Oued-Maiz, l'hôpital Docteur-Okbi d'une capacité de 240 lits, se devait de répondre efficacement à la couverture sanitaire de la wilaya de Guelma, sachant que l'ancien hôpital Ibn-Zohr datant de la période coloniale, situé au centre-ville, était saturé. Cette importante structure sanitaire se débat dans de contraignantes carences, à savoir un manque crucial de médecins spécialistes dont des chirurgiens, des gynécologues, des orthopédistes, des neurologues, des cardiologues, des ophtalmologues, des néphrologues. Actuellement, cet établissement hospitalier fonctionne grâce au concours de quelques rares spécialistes, de généralistes et d'agents paramédicaux. Le pavillon des urgences évacue souvent vers le CHU de Annaba les accidentés graves de la circulation, les femmes en couches devant subir une césarienne, les malades nécessitant des soins lourds, etc. Cette situation, qui perdure depuis des années, a été fréquemment décriée par les représentants de la société civile et les élus locaux. Edifié au début des années 80 au sein du quartier périphérique de Oued-Maiz, l'hôpital Docteur-Okbi d'une capacité de 240 lits, se devait de répondre efficacement à la couverture sanitaire de la wilaya de Guelma, sachant que l'ancien hôpital Ibn-Zohr datant de la période coloniale, situé au centre-ville, était saturé. Cette importante structure sanitaire se débat dans de contraignantes carences, à savoir un manque crucial de médecins spécialistes dont des chirurgiens, des gynécologues, des orthopédistes, des neurologues, des cardiologues, des ophtalmologues, des néphrologues. Actuellement, cet établissement hospitalier fonctionne grâce au concours de quelques rares spécialistes, de généralistes et d'agents paramédicaux. Le pavillon des urgences évacue souvent vers le CHU de Annaba les accidentés graves de la circulation, les femmes en couches devant subir une césarienne, les malades nécessitant des soins lourds, etc. Cette situation, qui perdure depuis des années, a été fréquemment décriée par les représentants de la société civile et les élus locaux.