Ces pavillons ont subi une véritable métamorphose : crépissage, peinture, faux-plafonds, dalle de sol, faience, portes et fenêtres nouvelle génération, éclairage au diapason, équipements neufs. Selon Abdelaziz Ghedjati, directeur de l'hôpital Ibn-Zohr, une enveloppe de un milliard de centimes a été déjà consommée. L'opération de rénovation cible actuellement les services d'acupuncture, d'hygiène mentale, de cuisine, d'administration et autres. Ces pavillons ont subi une véritable métamorphose : crépissage, peinture, faux-plafonds, dalle de sol, faience, portes et fenêtres nouvelle génération, éclairage au diapason, équipements neufs. Selon Abdelaziz Ghedjati, directeur de l'hôpital Ibn-Zohr, une enveloppe de un milliard de centimes a été déjà consommée. L'opération de rénovation cible actuellement les services d'acupuncture, d'hygiène mentale, de cuisine, d'administration et autres. Edifié durant l'époque coloniale, l'hôpital Ibn-Zohr, implanté au centre-ville face à l'ancien tribunal et à la maison d'arrêt a une valeur "sentimentale" pour des générations de Guelmis(es) qui ont vu le jour dans sa maternité à présent transférée au sein du nouvel établissement hospitalier docteur Okbi. Cette infrastructure sanitaire, patrimoine de la ville, périclitait sous le poids des ans et offrait un aspect lamentable car ses murs étaient décrépis, ses plafonds fissurés, son carrelage usé, son étanchéité défectueuse, ses portes et fenêtres en mauvais état,etc. En dépit de cela, Ibn-Zohr est toujours fonctionnel puisqu'il abrite plusieurs services dont certains avaient été rénovés ces dernières années, à l'instar du centre d'hémodialyse, du laboratoire, de la médecine légale, et de l'imagerie médicale. La direction de cet hôpital avait entrepris une opération de restauration dès le début 2008 ayant ciblé, dans une première étape, deux pavillons primordiaux.Cette semaine, les responsables de ce secteur vital ont organisé une sympathique cérémonie à laquelle ont pris part les autorités locales et les correspondants de la presse locale. En effet, le service "Phtisio femmes " abritant cinq salles d'une capacité de 18 lits, vient d'ètre réceptionné ainsi que le service "Infectieux hommes" doté de 20 lits, de sept salles dont celles d'isolement et de réanimation. Ces pavillons n'ont rien à envier à ceux d'outre-Méditerranée car ils ont subi une véritable métamorphose : crépissage, peinture, faux-plafonds, dalle de sol, faience, portes et fenêtres nouvelle génération, éclairage au diapason, équipements neufs, nouvelle literie etc. Selon Abdelaziz Ghedjati, directeur de l'hôpital Ibn-Zohr, une enveloppe d'un milliard de centimes a été déjà consommée. L'opération de rénovation cible actuellement les services d'acupuncture, d'hygiène mentale, de cuisine, d'administration et autres car l'objectif assigné est de ressusciter cet établissement hospitalier dont l'impact est indéniable. Lors de la visite, le wali a particulièrement insisté sur l'amélioration des conditions de prise en charge, la qualité de l'accueil des malades et la préservation de l'état des lieux qui doivent ètre un modèle dans les volets hygiène, salubrité, environnement et quiétude. Edifié durant l'époque coloniale, l'hôpital Ibn-Zohr, implanté au centre-ville face à l'ancien tribunal et à la maison d'arrêt a une valeur "sentimentale" pour des générations de Guelmis(es) qui ont vu le jour dans sa maternité à présent transférée au sein du nouvel établissement hospitalier docteur Okbi. Cette infrastructure sanitaire, patrimoine de la ville, périclitait sous le poids des ans et offrait un aspect lamentable car ses murs étaient décrépis, ses plafonds fissurés, son carrelage usé, son étanchéité défectueuse, ses portes et fenêtres en mauvais état,etc. En dépit de cela, Ibn-Zohr est toujours fonctionnel puisqu'il abrite plusieurs services dont certains avaient été rénovés ces dernières années, à l'instar du centre d'hémodialyse, du laboratoire, de la médecine légale, et de l'imagerie médicale. La direction de cet hôpital avait entrepris une opération de restauration dès le début 2008 ayant ciblé, dans une première étape, deux pavillons primordiaux.Cette semaine, les responsables de ce secteur vital ont organisé une sympathique cérémonie à laquelle ont pris part les autorités locales et les correspondants de la presse locale. En effet, le service "Phtisio femmes " abritant cinq salles d'une capacité de 18 lits, vient d'ètre réceptionné ainsi que le service "Infectieux hommes" doté de 20 lits, de sept salles dont celles d'isolement et de réanimation. Ces pavillons n'ont rien à envier à ceux d'outre-Méditerranée car ils ont subi une véritable métamorphose : crépissage, peinture, faux-plafonds, dalle de sol, faience, portes et fenêtres nouvelle génération, éclairage au diapason, équipements neufs, nouvelle literie etc. Selon Abdelaziz Ghedjati, directeur de l'hôpital Ibn-Zohr, une enveloppe d'un milliard de centimes a été déjà consommée. L'opération de rénovation cible actuellement les services d'acupuncture, d'hygiène mentale, de cuisine, d'administration et autres car l'objectif assigné est de ressusciter cet établissement hospitalier dont l'impact est indéniable. Lors de la visite, le wali a particulièrement insisté sur l'amélioration des conditions de prise en charge, la qualité de l'accueil des malades et la préservation de l'état des lieux qui doivent ètre un modèle dans les volets hygiène, salubrité, environnement et quiétude.
