«L'Etat s'emploiera à faciliter l'exercice et la promotion de la profession pour améliorer l'action des différents organes de presse écrite et audiovisuelle …» «L'Etat s'emploiera à faciliter l'exercice et la promotion de la profession pour améliorer l'action des différents organes de presse écrite et audiovisuelle …» Le président de la République a rendu un hommage à la famille de la presse et, dans un message adressée à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, il n'a pas manqué, dans des termes élogieux, à mettre en exergue l'estime et la considération qu'il porte à l'ensemble de la corporation. Abdelaziz Bouteflika a ainsi exprimé ses salutations à tous ceux qui activent dans le champ médiatique national pour les sacrifices consentis durant toutes les étapes que notre pays a parcourues. Pour le chef de l'Etat « ce sentiment émane de la profonde considération à l'égard du rôle de la presse écrite et audiovisuelle, celui d'accompagner le passage de la société à l'étape de l'après terrorisme et pour l'importance de la fonction politique, sociale et culturelle des médias outre le rôle d'information qui est le leur ». Comme à son habitude en pareille circonstance, le Président Bouteflika a tenu à s'incliner « à la mémoire de ceux qui ont payé de leur sang, durant les années difficiles qu'a connues l'Algérie, convaincus qu'ils étaient du droit de dire haut et fort la parole libre et responsable, notamment lorsqu'il s'est agi de se dresser avec force, aux côtés de tous les citoyens honnêtes, contre le terrorisme et contre ceux qui appelaient à la discorde et prêchaient le mal ». Il n'a pas oublié de rendre aussi un hommage appuyé aux journalistes algériens se trouvant à l'étranger qui ont prouvé leurs grandes compétences professionnelles. le premier magistrat du pays, et c'est certainement à ce niveau que réside la quintessence de ce message, a une nouvelle fois appelé la presse à être au devant de la scène sur le front de la lutte contre les multiples fléaux qui rongent le pays. Il y a quelques jours seulement, à l'occasion de son discours d'investiture, Abdelaziz Bouteflika a formellement sollicité l'aide de la presse pour venir à bout de la corruption, du népotisme et bien d'autres maux aux nuisances avérées sur la stabilité du pays. La presse nationale, a t-il en effet indiqué dans son message, « ne doit marquer aucune hésitation à combattre les fléaux sociaux que sont la complaisance, le clientélisme, le régionalisme, la bureaucratie et la corruption . Elle doit orienter son combat contre tous les maux susceptibles de propager la culture du désespoir et de la délinquance ». Et d'ajouter que « la presse ne doit pas se complaire dans le rôle d'intermédiaire inerte ni accepter d'être un outil entre les mains de rentiers pour l'utiliser à des fins autres que celles servant la nation. ». Le chef de l'Etat, qui semble vouloir associer la presse dans la bataille qu'il compte certainement mener contre les tenants de la corruption, a indiqué, que « la liberté de la presse représente un socle solide dans notre projet démocratique et qu'elle aura tout notre respect et tout notre soutien. L'Etat s'emploiera à faciliter l'exercice et la promotion de la profession pour améliorer l'action des différents organes de presse écrite et audiovisuelle …». A ce titre, il a annoncé que le secteur est à la veille d'importantes réformes et c'est ainsi qu'il a réitéré son engagement à procéder « à une révision de la loi sur l'information qui doit effectivement être adaptée aux nouvelles donnes ». Appelant le gouvernement et les parties concernées, à savoir les représentants des professionnels de la presse, à approfondir l'examen des dispositions juridiques adéquates en vue de hisser la presse à un niveau de professionnalisme meilleur, Bouteflika a estimé que ceci peut être « le prélud'une politique nationale de communication à même de garantir la cohésion et la flexibilité entre les différents secteurs vitaux de la société ». Le président de la République a rendu un hommage à la famille de la presse et, dans un message adressée à l'occasion de la journée mondiale de la liberté de la presse, il n'a pas manqué, dans des termes élogieux, à mettre en exergue l'estime et la considération qu'il porte à l'ensemble de la corporation. Abdelaziz Bouteflika a ainsi exprimé ses salutations à tous ceux qui activent dans le champ médiatique national pour les sacrifices consentis durant toutes les étapes que notre pays a parcourues. Pour le chef de l'Etat « ce sentiment émane de la profonde considération à l'égard du rôle de la presse écrite et audiovisuelle, celui d'accompagner le passage de la société à l'étape de l'après terrorisme et pour l'importance de la fonction politique, sociale et culturelle des médias outre le rôle d'information qui est le leur ». Comme à son habitude en pareille circonstance, le Président Bouteflika a tenu à s'incliner « à la mémoire de ceux qui ont payé de leur sang, durant les années difficiles qu'a connues l'Algérie, convaincus qu'ils étaient du droit de dire haut et fort la parole libre et responsable, notamment lorsqu'il s'est agi de se dresser avec force, aux côtés de tous les citoyens honnêtes, contre le terrorisme et contre ceux qui appelaient à la discorde et prêchaient le mal ». Il n'a pas oublié de rendre aussi un hommage appuyé aux journalistes algériens se trouvant à l'étranger qui ont prouvé leurs grandes compétences professionnelles. le premier magistrat du pays, et c'est certainement à ce niveau que réside la quintessence de ce message, a une nouvelle fois appelé la presse à être au devant de la scène sur le front de la lutte contre les multiples fléaux qui rongent le pays. Il y a quelques jours seulement, à l'occasion de son discours d'investiture, Abdelaziz Bouteflika a formellement sollicité l'aide de la presse pour venir à bout de la corruption, du népotisme et bien d'autres maux aux nuisances avérées sur la stabilité du pays. La presse nationale, a t-il en effet indiqué dans son message, « ne doit marquer aucune hésitation à combattre les fléaux sociaux que sont la complaisance, le clientélisme, le régionalisme, la bureaucratie et la corruption . Elle doit orienter son combat contre tous les maux susceptibles de propager la culture du désespoir et de la délinquance ». Et d'ajouter que « la presse ne doit pas se complaire dans le rôle d'intermédiaire inerte ni accepter d'être un outil entre les mains de rentiers pour l'utiliser à des fins autres que celles servant la nation. ». Le chef de l'Etat, qui semble vouloir associer la presse dans la bataille qu'il compte certainement mener contre les tenants de la corruption, a indiqué, que « la liberté de la presse représente un socle solide dans notre projet démocratique et qu'elle aura tout notre respect et tout notre soutien. L'Etat s'emploiera à faciliter l'exercice et la promotion de la profession pour améliorer l'action des différents organes de presse écrite et audiovisuelle …». A ce titre, il a annoncé que le secteur est à la veille d'importantes réformes et c'est ainsi qu'il a réitéré son engagement à procéder « à une révision de la loi sur l'information qui doit effectivement être adaptée aux nouvelles donnes ». Appelant le gouvernement et les parties concernées, à savoir les représentants des professionnels de la presse, à approfondir l'examen des dispositions juridiques adéquates en vue de hisser la presse à un niveau de professionnalisme meilleur, Bouteflika a estimé que ceci peut être « le prélud'une politique nationale de communication à même de garantir la cohésion et la flexibilité entre les différents secteurs vitaux de la société ».