Les étudiants de la faculté de médecine de la wilaya de Tizi Ouzou ont organisé, hier, une marche pour soutenir leurs enseignants en grève depuis déjà quelques semaines. Ils étaient environ 4.000 à rejoindre la procession qui a démarré du campus Hasnaoua I, où se trouve la faculté de médecine, pour rejoindre le siège de la wilaya. Les manifestants ont, pour l'occasion, endossé leurs blouses blanches et scandé des slogans de solidarité avec leurs aînés. Pour rappel suite à un appel de leur syndicat autonome, les maîtres assistants de la faculté de médecine sont en grève illimitée pour demander l'amélioration de leurs conditions socio-professionnelles. Les étudiants qui qualifient de «légitime» ce combat ont tenu à afficher leur totale solidarité avec leurs enseignants. D'ailleurs, dans un communiqué rendu public, les étudiants écrivent : «Les futurs praticiens que nous sommes, avons conscience que les missions de médecins et d'enseignants de nos aînés ne peuvent s'accommoder des préoccupations matérielles et des conditions sociales désastreuses dans lesquelles ils se débattent». Ils estiment que les répercussions de cette situation sur la mission de praticiens et des enseignants ne «peuvent qu'être négatives» et de ce fait ils «demandent la satisfaction des revendications des praticiens et enseignants». Ils menacent également, dans cette même missive, de recourir à un mouvement élargi à l'ensemble des facultés de médecine au niveau national. Notons, en outre, qu'en sus de la faculté de médecine, des étudiants du campus de Oued Aïssi ont observé, hier également, un rassemblement devant le siège de la wilaya pour demander le rétablissement du transport interrompu depuis avant-hier suite à une grève des transporteurs qui demandent, eux aussi, l'amélioration de leur situation socio-professionnelle. De leur côté les étudiants de la faculté de droit à Boukhalfa sont depuis samedi en grève illimitée pour demander l'amélioration de la situation sécuritaire au sein du campus. Un mouvement déclenché suite à une énième agression contre un étudiant à l'intérieur de ladite faculté. Les étudiants de la faculté de médecine de la wilaya de Tizi Ouzou ont organisé, hier, une marche pour soutenir leurs enseignants en grève depuis déjà quelques semaines. Ils étaient environ 4.000 à rejoindre la procession qui a démarré du campus Hasnaoua I, où se trouve la faculté de médecine, pour rejoindre le siège de la wilaya. Les manifestants ont, pour l'occasion, endossé leurs blouses blanches et scandé des slogans de solidarité avec leurs aînés. Pour rappel suite à un appel de leur syndicat autonome, les maîtres assistants de la faculté de médecine sont en grève illimitée pour demander l'amélioration de leurs conditions socio-professionnelles. Les étudiants qui qualifient de «légitime» ce combat ont tenu à afficher leur totale solidarité avec leurs enseignants. D'ailleurs, dans un communiqué rendu public, les étudiants écrivent : «Les futurs praticiens que nous sommes, avons conscience que les missions de médecins et d'enseignants de nos aînés ne peuvent s'accommoder des préoccupations matérielles et des conditions sociales désastreuses dans lesquelles ils se débattent». Ils estiment que les répercussions de cette situation sur la mission de praticiens et des enseignants ne «peuvent qu'être négatives» et de ce fait ils «demandent la satisfaction des revendications des praticiens et enseignants». Ils menacent également, dans cette même missive, de recourir à un mouvement élargi à l'ensemble des facultés de médecine au niveau national. Notons, en outre, qu'en sus de la faculté de médecine, des étudiants du campus de Oued Aïssi ont observé, hier également, un rassemblement devant le siège de la wilaya pour demander le rétablissement du transport interrompu depuis avant-hier suite à une grève des transporteurs qui demandent, eux aussi, l'amélioration de leur situation socio-professionnelle. De leur côté les étudiants de la faculté de droit à Boukhalfa sont depuis samedi en grève illimitée pour demander l'amélioration de la situation sécuritaire au sein du campus. Un mouvement déclenché suite à une énième agression contre un étudiant à l'intérieur de ladite faculté.