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Sibari sort de sa solitude
Mila, Développement rural
Publié dans Le Midi Libre le 12 - 05 - 2009

Sibari, un petit hameau situé dans la commune de Grarem Gouga, après une marginalisation, qui aura durée plus de six ans, est en train de renaître de ses cendres et ce grâce à une poignée de citoyens, avec à leur tête Abdelhamid Boufas lequel a su transmettre les doléances de ses concitoyens aux responsables locaux (chef de daïra et P/APC de Grarem Gouga et permis à ces derniers d'avoir une idée précise, de tous les problèmes que vivent les habitants.
Pour rappel dans un passé récent Sibari avait été classé zone à fort risque de glissement et 54 familles ont été recensées comme sinistrées alors que réellement «seules 24 devaient l'être» a tenu à nous préciser L. Boufas. Vingt-quatre familles sur les cinquante-quatre dénombrées ont bénéficié de logements à Grarem Gouga et «certaines d'entre elles ne les ont jamais occupés», nous a affirmé M. Boufas.
Aujourd'hui, les Sibariens espèrent pour l'avenir des jours meilleurs, car ils aiment leur terre et ne veulent pas partir vivre ailleurs pour tout l'or du monde, ils veulent que l'Etat s'occupe d'eux et mette à leur disposition l'eau courante, l'électricité et le gaz naturel pour ne citer que ces commodités essentielles.
Les enfants scolarisés à Sibari, une fois qu'ils réussissent l'examen d'entrée en sixième sont orientés vers le CEM Anouche-Ali, situé à environ 2,5 km de leur village partcours qu'ils sont obligés de faire à pied. Ils souffrent le martyre, et à midi ils ne peuvent prendre qu'un léger en-cas ne pouvant pas rentre chez eux. Récemment le chef de daïra a sollicité la Direction de l'éducation pour l'ouverture d'une cantine et d'un demi-pensionnat pour lesquels il a reçu l'aval de sa tutelle.
Un riche programme est concocté par les autorités locales pour sortir Sibari de son isolement. Il se résume à l'aménagement de la rue principale du village qui va de l'arrêt des bus à la station d'épuration des eaux au projet de réalisation d'un pont est-ouest dont l'enveloppe est déjà fin prête, d'une route qui ralliera le village au cimetière de la route Siliana-Anouche Ali, du réseau d'assainissement des eaux usées, de l'adduction en eau potable et de la réhabilitation et aménagement de l'école Abdellah- Boudeghdjat. Les promesses seront elles tenues ? L'avenir seul nous le dira.
Sibari, un petit hameau situé dans la commune de Grarem Gouga, après une marginalisation, qui aura durée plus de six ans, est en train de renaître de ses cendres et ce grâce à une poignée de citoyens, avec à leur tête Abdelhamid Boufas lequel a su transmettre les doléances de ses concitoyens aux responsables locaux (chef de daïra et P/APC de Grarem Gouga et permis à ces derniers d'avoir une idée précise, de tous les problèmes que vivent les habitants.
Pour rappel dans un passé récent Sibari avait été classé zone à fort risque de glissement et 54 familles ont été recensées comme sinistrées alors que réellement «seules 24 devaient l'être» a tenu à nous préciser L. Boufas. Vingt-quatre familles sur les cinquante-quatre dénombrées ont bénéficié de logements à Grarem Gouga et «certaines d'entre elles ne les ont jamais occupés», nous a affirmé M. Boufas.
Aujourd'hui, les Sibariens espèrent pour l'avenir des jours meilleurs, car ils aiment leur terre et ne veulent pas partir vivre ailleurs pour tout l'or du monde, ils veulent que l'Etat s'occupe d'eux et mette à leur disposition l'eau courante, l'électricité et le gaz naturel pour ne citer que ces commodités essentielles.
Les enfants scolarisés à Sibari, une fois qu'ils réussissent l'examen d'entrée en sixième sont orientés vers le CEM Anouche-Ali, situé à environ 2,5 km de leur village partcours qu'ils sont obligés de faire à pied. Ils souffrent le martyre, et à midi ils ne peuvent prendre qu'un léger en-cas ne pouvant pas rentre chez eux. Récemment le chef de daïra a sollicité la Direction de l'éducation pour l'ouverture d'une cantine et d'un demi-pensionnat pour lesquels il a reçu l'aval de sa tutelle.
Un riche programme est concocté par les autorités locales pour sortir Sibari de son isolement. Il se résume à l'aménagement de la rue principale du village qui va de l'arrêt des bus à la station d'épuration des eaux au projet de réalisation d'un pont est-ouest dont l'enveloppe est déjà fin prête, d'une route qui ralliera le village au cimetière de la route Siliana-Anouche Ali, du réseau d'assainissement des eaux usées, de l'adduction en eau potable et de la réhabilitation et aménagement de l'école Abdellah- Boudeghdjat. Les promesses seront elles tenues ? L'avenir seul nous le dira.


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