Intervenant, hier, au cours du Forum sur "Le montage et les opportunités de financement des projets d'investissement", le ministre de l'Industrie, de la Promotion et des Investissements, a d'emblée fustigé ceux, qui de manière infamante, n'ont pas hésité un moment à le traiter comme le représentant du capital international en Algérie, pour vendre les fleurons de l'industrie aux étrangers…». Le ministre en présence d'hommes d'affaires et chefs d'entreprise, révélera à l'occasion les grands pans de la nouvelle stratégie industrielle concoctée par les services de son département. Une nouvelle approche plus pragmatique visant à propulser l'activité industrielle et la promotion de l'investissement afin de les mettre au diapason des nouvelles exigences du marché et de la croissance. Abordant la question du financement, nerf de la guerre économique, le représentant du gouvernement indiquera, que le secteur bancaire restera le secteur déterminant par lequel aboutira le processus du développement à ce propos il dira : "C'est la conviction de l'Etat algérien, aujourd'hui, ce secteur doit servir la promotion des investissements à caractère privés comme publics, tout en respectant les règles prudentielles et faire face au risque. Les banques doivent certes, soulignera-t-il, faire de l'argent et exister, c'est leur raison d'être, mais le risque ne doit pas constituer un handicap à la croissance économique du pays." Dans le même contexte, il exhortera le monde des affaires à harceler, s'il le faut, le pouvoir politique pour l'inciter à prendre en charge ses préoccupations concernant le développement. Abdelhamid Temmar insistera, dans la foulée ,sur le volet stratégique de la mise à niveau des entreprises algériennes aussi bien publiques que privées. "Nous ne pouvons continuer à ignorer les impératifs d'innovation et de compétitivité pour l'économie du pays dans nos relations économiques avec le monde extérieur, comme l'Union européenne ou l'Azal ( Zone de libre échange arabe)"… martèlera le ministre. Sur ce chapitre précis, il révélera, la maturation par l'Etat de grands projets de création de centres de recherche et de développement, qu'il faut mettre à la portée et au service des entreprises algériennes incapables par leur propres moyens d'investir dans ce créneau. Autre paramètre majeur intégré dans la nouvelle stratégie industrielle du département de M. Temmar, la gestion des zones industrielle qui nécessitent, estime le ministre, une refonte de fond dans leur conception et leurs objectifs. Le ministre a vivement critiqué l'état de la gestion cahoteuse et anarchique de ces infrastructures qu'il faut réhabiliter immédiatement pour en faire "des instruments adéquats au service du développement économique du pays". Intervenant, hier, au cours du Forum sur "Le montage et les opportunités de financement des projets d'investissement", le ministre de l'Industrie, de la Promotion et des Investissements, a d'emblée fustigé ceux, qui de manière infamante, n'ont pas hésité un moment à le traiter comme le représentant du capital international en Algérie, pour vendre les fleurons de l'industrie aux étrangers…». Le ministre en présence d'hommes d'affaires et chefs d'entreprise, révélera à l'occasion les grands pans de la nouvelle stratégie industrielle concoctée par les services de son département. Une nouvelle approche plus pragmatique visant à propulser l'activité industrielle et la promotion de l'investissement afin de les mettre au diapason des nouvelles exigences du marché et de la croissance. Abordant la question du financement, nerf de la guerre économique, le représentant du gouvernement indiquera, que le secteur bancaire restera le secteur déterminant par lequel aboutira le processus du développement à ce propos il dira : "C'est la conviction de l'Etat algérien, aujourd'hui, ce secteur doit servir la promotion des investissements à caractère privés comme publics, tout en respectant les règles prudentielles et faire face au risque. Les banques doivent certes, soulignera-t-il, faire de l'argent et exister, c'est leur raison d'être, mais le risque ne doit pas constituer un handicap à la croissance économique du pays." Dans le même contexte, il exhortera le monde des affaires à harceler, s'il le faut, le pouvoir politique pour l'inciter à prendre en charge ses préoccupations concernant le développement. Abdelhamid Temmar insistera, dans la foulée ,sur le volet stratégique de la mise à niveau des entreprises algériennes aussi bien publiques que privées. "Nous ne pouvons continuer à ignorer les impératifs d'innovation et de compétitivité pour l'économie du pays dans nos relations économiques avec le monde extérieur, comme l'Union européenne ou l'Azal ( Zone de libre échange arabe)"… martèlera le ministre. Sur ce chapitre précis, il révélera, la maturation par l'Etat de grands projets de création de centres de recherche et de développement, qu'il faut mettre à la portée et au service des entreprises algériennes incapables par leur propres moyens d'investir dans ce créneau. Autre paramètre majeur intégré dans la nouvelle stratégie industrielle du département de M. Temmar, la gestion des zones industrielle qui nécessitent, estime le ministre, une refonte de fond dans leur conception et leurs objectifs. Le ministre a vivement critiqué l'état de la gestion cahoteuse et anarchique de ces infrastructures qu'il faut réhabiliter immédiatement pour en faire "des instruments adéquats au service du développement économique du pays".