Les trottoirs de la capitale sont squattés, à longueur d'année par toutes sortes d'énergumènes. Ils sont utilisés à toutes sortes de fins, à l'exception de leur vocation première qui reste, premièrement et avant tout, la sécurité du piéton. Les trottoirs de la capitale sont squattés, à longueur d'année par toutes sortes d'énergumènes. Ils sont utilisés à toutes sortes de fins, à l'exception de leur vocation première qui reste, premièrement et avant tout, la sécurité du piéton. Les trottoirs dans toutes les villes du monde sont conçus pour la sécurité du piéton, et sont réservés exclusivement aux personnes circulant à pied. Ces espaces sont situés de chaque côté des rues et sont dotés de caniveaux et de bordures délimitant la chaussée. Dans la capitale algéroise leur rôle est d'être aussi simple et tranchée, or lesdits trottoirs servent à toutes sortes de négoces et squats à tel point que le piéton n'a plus qu'à se rabattre sur la chaussée. Même si les trottoirs sont là pour lui le piéton est le seul à ne pas pouvoir emprunter ces espaces prévus pourtant pour sa sécurité. Les squatteurs de trottoirs sont nombreux et multiples à commencer par les jeunes Algérois qui aiment se poster sur les trottoirs, attendu qu'ils les accueillent pour d'interminables palabres et leur permettent, adossés aux murs, d'être aux premières loges pour admirer les filles qui passent sur la... "chaussée". Les commerçants ,eux, et dans l'espoir de voir leurs gains augmenter y étalent leur marchandise forçant les personnes de passage à y jeter un œil au passage et pourquoi pas s'arrêter pour effectuer un achat. Les mendiants élisent également domicile sur ces trottoirs, souvent des familles entières squattent ces espaces et accumulent, au fil du temps, un "barda" impressionnant et de ce fait empêchent le passage des piétons. Les SDF y ont également leur place mais celui qui se taille, incontestablement, la part du lion reste le commerce informel : vendeurs de galettes et "mhadjebs", jouets, cosmétiques, livres de cuisine, linge divers, chaussures, lunettes, chocolat... tout ce beau monde se côtoit dans ce grand bazar à ciel ouvert sur les trottoirs de la capitale. L'autre corporation des adorateurs de trottoirs est représentée par les possesseurs de véhicules, les conducteurs utilisent les trottoirs pour y garer "précieusement" leur véhicule en faisant fi, royalement, de la sécurité des piétons. Le plus incroyable, c'est que ces personnes, même en empruntant leurs véhicules laissent sur les lieux de leur "parking" improvisé un objet quelquonque pour y veiller à leur place: vieux pneu, cagette vide de légumes, etc) et gare à qui oserait déplacer ces sacro-saints objets. En fait nos trottoirs nous renvoient à notre triste réalité : l'absence totale et effrayante de tout civisme. Les trottoirs dans toutes les villes du monde sont conçus pour la sécurité du piéton, et sont réservés exclusivement aux personnes circulant à pied. Ces espaces sont situés de chaque côté des rues et sont dotés de caniveaux et de bordures délimitant la chaussée. Dans la capitale algéroise leur rôle est d'être aussi simple et tranchée, or lesdits trottoirs servent à toutes sortes de négoces et squats à tel point que le piéton n'a plus qu'à se rabattre sur la chaussée. Même si les trottoirs sont là pour lui le piéton est le seul à ne pas pouvoir emprunter ces espaces prévus pourtant pour sa sécurité. Les squatteurs de trottoirs sont nombreux et multiples à commencer par les jeunes Algérois qui aiment se poster sur les trottoirs, attendu qu'ils les accueillent pour d'interminables palabres et leur permettent, adossés aux murs, d'être aux premières loges pour admirer les filles qui passent sur la... "chaussée". Les commerçants ,eux, et dans l'espoir de voir leurs gains augmenter y étalent leur marchandise forçant les personnes de passage à y jeter un œil au passage et pourquoi pas s'arrêter pour effectuer un achat. Les mendiants élisent également domicile sur ces trottoirs, souvent des familles entières squattent ces espaces et accumulent, au fil du temps, un "barda" impressionnant et de ce fait empêchent le passage des piétons. Les SDF y ont également leur place mais celui qui se taille, incontestablement, la part du lion reste le commerce informel : vendeurs de galettes et "mhadjebs", jouets, cosmétiques, livres de cuisine, linge divers, chaussures, lunettes, chocolat... tout ce beau monde se côtoit dans ce grand bazar à ciel ouvert sur les trottoirs de la capitale. L'autre corporation des adorateurs de trottoirs est représentée par les possesseurs de véhicules, les conducteurs utilisent les trottoirs pour y garer "précieusement" leur véhicule en faisant fi, royalement, de la sécurité des piétons. Le plus incroyable, c'est que ces personnes, même en empruntant leurs véhicules laissent sur les lieux de leur "parking" improvisé un objet quelquonque pour y veiller à leur place: vieux pneu, cagette vide de légumes, etc) et gare à qui oserait déplacer ces sacro-saints objets. En fait nos trottoirs nous renvoient à notre triste réalité : l'absence totale et effrayante de tout civisme.