Khaled Bounedjma fait face à une fronde orchestrée par des membres fondateurs de l'organisation qui l'accusent de tous les maux. Aussi, il a été décidé du retrait de confiance au premier responsable de l'Onec. Khaled Bounedjma fait face à une fronde orchestrée par des membres fondateurs de l'organisation qui l'accusent de tous les maux. Aussi, il a été décidé du retrait de confiance au premier responsable de l'Onec. Rien ne va plus au sein de l'Onec (Organisation nationale des enfants de chouhada). Son secrétaire général, Khaled Bounedjma fait face une fronde orchestrée par des membres fondateurs de l'organisation qui l'accusent de tous les maux. Toujours est-il que dans leur réunion d'hier, présidée par le député FLN, Moussa Labdi, il a été décidé du retrait de confiance au premier responsable de l'Onec. C'est du moins ce qui ressort du communiqué parvenu hier à notre rédaction et signé par ce parlementaire du vieux parti. Outre cette décision, le texte évoque les griefs retenus contre Khaled Bounedjma. Il apparaît, selon les rédacteurs du texte, que le secrétaire général de l'Onec met en avant ses intérêts personnels au détriment de ceux de l'organisation qu'il préside. Bien plus, les dissidents de l'Onec accusent Khaled Bounedjma de tenir des propos malveillants contre le FLN, référence historique du pays, et à l'encontre de son secrétaire général Abdelaziz Belkhadem. La conduite du premier responsable de l'Onec est mise à l'index par ses anciens camarades qui dénoncent «ses clowneries et son Don Quichotisme», qui ont nuit à la réputation de l'Organisation des enfants de chouhada. Une attitude qu'ils qualifient d' «irresponsable», engendrant l'exclusion de l'Onec des organisations impliquées dans le soutien à l'élection du président de la République à un troisième mandat. Pour redresser et remettre sur la bonne voie l'Onec, les rédacteurs du communiqué annoncent la naissance d'un organe national pour réformer la démarche de l'organisation et la décision d'un bureau national présidé par Moussa Labdi. La mission de ce bureau consiste à élaborer une feuille de route pour resserrer les liens entre tous les enfants de chouhada et établir une passerelle entre la famille révolutionnaire et les autres organisations nationale. La mission de ce bureau prendra fin à la tenue du congrès de l'Onec qui se tiendra dans les plus brefs délais, conclut le communiqué. Pour rappel, le secrétaire général de l'Onec est au centre d'une grande polémique. S'estimant diffamé, suite à un article publié par notre confrère En Nahar, Khaled Bounedjma, comme la loi sur l'information l'autorise, exigea une mise au point que le quotidien publie dans son intégralité. Ne se suffisant pas de cela, il traitera le directeur de la publication de "traître, de harki et d'être à la solde du DST (Service de renseignement français)". Outre ces injures, le secrétaire général de l'Onec en disgrâce auprès des membres fondateurs de l'Onec exigea des pouvoirs publics de sanctionner lourdement En Nahar et cela dans un délai de huit jours. Un ordre auquel les pouvoirs publics n'ont pas encore répondu et il certain que les désirs de Khaled Bounedjma ne seront pas satisfaits. Qu'a cela ne tienne ! Le bonhomme anticipe la réponse des autorités et va plus loin dans ses menaces. « Je brûlerai le journal », a-t-il fait dans le chantage. Rien ne va plus au sein de l'Onec (Organisation nationale des enfants de chouhada). Son secrétaire général, Khaled Bounedjma fait face une fronde orchestrée par des membres fondateurs de l'organisation qui l'accusent de tous les maux. Toujours est-il que dans leur réunion d'hier, présidée par le député FLN, Moussa Labdi, il a été décidé du retrait de confiance au premier responsable de l'Onec. C'est du moins ce qui ressort du communiqué parvenu hier à notre rédaction et signé par ce parlementaire du vieux parti. Outre cette décision, le texte évoque les griefs retenus contre Khaled Bounedjma. Il apparaît, selon les rédacteurs du texte, que le secrétaire général de l'Onec met en avant ses intérêts personnels au détriment de ceux de l'organisation qu'il préside. Bien plus, les dissidents de l'Onec accusent Khaled Bounedjma de tenir des propos malveillants contre le FLN, référence historique du pays, et à l'encontre de son secrétaire général Abdelaziz Belkhadem. La conduite du premier responsable de l'Onec est mise à l'index par ses anciens camarades qui dénoncent «ses clowneries et son Don Quichotisme», qui ont nuit à la réputation de l'Organisation des enfants de chouhada. Une attitude qu'ils qualifient d' «irresponsable», engendrant l'exclusion de l'Onec des organisations impliquées dans le soutien à l'élection du président de la République à un troisième mandat. Pour redresser et remettre sur la bonne voie l'Onec, les rédacteurs du communiqué annoncent la naissance d'un organe national pour réformer la démarche de l'organisation et la décision d'un bureau national présidé par Moussa Labdi. La mission de ce bureau consiste à élaborer une feuille de route pour resserrer les liens entre tous les enfants de chouhada et établir une passerelle entre la famille révolutionnaire et les autres organisations nationale. La mission de ce bureau prendra fin à la tenue du congrès de l'Onec qui se tiendra dans les plus brefs délais, conclut le communiqué. Pour rappel, le secrétaire général de l'Onec est au centre d'une grande polémique. S'estimant diffamé, suite à un article publié par notre confrère En Nahar, Khaled Bounedjma, comme la loi sur l'information l'autorise, exigea une mise au point que le quotidien publie dans son intégralité. Ne se suffisant pas de cela, il traitera le directeur de la publication de "traître, de harki et d'être à la solde du DST (Service de renseignement français)". Outre ces injures, le secrétaire général de l'Onec en disgrâce auprès des membres fondateurs de l'Onec exigea des pouvoirs publics de sanctionner lourdement En Nahar et cela dans un délai de huit jours. Un ordre auquel les pouvoirs publics n'ont pas encore répondu et il certain que les désirs de Khaled Bounedjma ne seront pas satisfaits. Qu'a cela ne tienne ! Le bonhomme anticipe la réponse des autorités et va plus loin dans ses menaces. « Je brûlerai le journal », a-t-il fait dans le chantage.