La prolifération des taxis clandestins à Alger inquiéte sérieusement les chauffeurs de taxis. En fait devant la demande sans cesse croissante des voyageurs, les propriétaires de véhicules ont vite fait d'exploiter ce créneau juteux dans le but d'arrondir leurs fins de mois ou pouvoir faire face à l'echéance de paiement de leur véhicule souvent acheté à crédit. Ces "taxieurs" clandestins définissent leurs prestations et fixent leurs tarifs comme bon leur semble. Certains petits voyous profitent de la confiance qui a fini par s'instaurer entre ces chauffeurs et leurs clients pour pouvoir commettre leurs viles agressions sur les voyageurs acceptant leurs services. Une fonctionnaire la trentaine environ nous affirme avoir été agressée et délestée de son sac par un de ces prétendus clandestins. L'Union nationale des chauffeurs de taxi (UNCT) est, aux dires de son président Hocine Ait Brahim, déterminée à mener une guerre sans merci pour l'éradication de ces taxis clandestins. M. Ait Brahim demande aux pouvoirs publics de prendre des mesures fermes contre ce phénomène. Les "clandestins" défendent eux leur position invoquant la cherté du carburant et des pièces de rechange ... L'UNCT demande également la révision des tarifs des taxis collectifs, toujours fixés à 20 DA, en plus de l'aménagement et de l'extension des espaces réservés à leur stationnement afin de permettre aux clients d'emprunter en toute sécurité leur taxi. La prolifération des taxis clandestins à Alger inquiéte sérieusement les chauffeurs de taxis. En fait devant la demande sans cesse croissante des voyageurs, les propriétaires de véhicules ont vite fait d'exploiter ce créneau juteux dans le but d'arrondir leurs fins de mois ou pouvoir faire face à l'echéance de paiement de leur véhicule souvent acheté à crédit. Ces "taxieurs" clandestins définissent leurs prestations et fixent leurs tarifs comme bon leur semble. Certains petits voyous profitent de la confiance qui a fini par s'instaurer entre ces chauffeurs et leurs clients pour pouvoir commettre leurs viles agressions sur les voyageurs acceptant leurs services. Une fonctionnaire la trentaine environ nous affirme avoir été agressée et délestée de son sac par un de ces prétendus clandestins. L'Union nationale des chauffeurs de taxi (UNCT) est, aux dires de son président Hocine Ait Brahim, déterminée à mener une guerre sans merci pour l'éradication de ces taxis clandestins. M. Ait Brahim demande aux pouvoirs publics de prendre des mesures fermes contre ce phénomène. Les "clandestins" défendent eux leur position invoquant la cherté du carburant et des pièces de rechange ... L'UNCT demande également la révision des tarifs des taxis collectifs, toujours fixés à 20 DA, en plus de l'aménagement et de l'extension des espaces réservés à leur stationnement afin de permettre aux clients d'emprunter en toute sécurité leur taxi.