La station de bus de Garidi 2, située dans la commune de Kouba, connait un afflux particulièrement important d'usagers se rendant vers les quatre coins de la capitale. Mais les lignes les plus sollicitées au sein de cette station restent, sans conteste, celles desservant Ben Aknoun et Chevalley, d'ailleurs le nombre de bus, activant sur ces lignes, est loin de pouvoir répondre à l'importante demande. Et comme pour toute chose, le phénomène de l'informel n'est jamais très loin et finit même, à la longue, à avoir force de loi et à s'imposer au mépris de toute réglementation. Ainsi les chauffeurs de "taxis clandestins" n'ont pas manqué d'exploiter cette situation et ont rapidement envahi les lieux, flairant ainsi le filon juteux. Ces "taxieurs" ont très rapidement squatté la station, disputant cet espace aux transporteurs en commun. Profitant de l'insuffisance des bus ils proposent sans vergogne leurs services, contre monnaies sonnantes et trébuchantes. Les travailleurs en retard ou les personnes devant se rendre à des rendez-vous médicaux ou cruciaux n'ont d'autre choix que de céder aux avances de ces "taxieurs". Après une longue attente stressante et épuisante, beaucoup de voyageurs finissent par céder à ces chants des sirènes, particulièrement onéreux, mais restant souvent l'unique recours, cela ces chauffeurs de "taxis" clandestins l'ont bien compris. Si certains citoyens sont plus ou moins satisfaits de pouvoir compter, en cas de force majeure, sur le recours aux véhicules de ces squatteurs, beaucoup de voyageurs n'hésitent pas à dénoncer leur présence envahissante. D'ailleurs des altercations ne manquent pas d'éclater régulièrement sur les lieux entre ces "clandestins" et les transporteurs en commun. Les agents de police sont intervenus à maintesreprises pour les déloger de cette station, mais comme de la mauvaise herbe ils reviennent toujours et ne veulent pas chasser prise. Ils arrivent ainsi à toujours tirer leur épingle du jeu en réalisent des recettes substantielles ayant bien compris que l'informel a encore de beaux jours dans la capitale. Y. B. La station de bus de Garidi 2, située dans la commune de Kouba, connait un afflux particulièrement important d'usagers se rendant vers les quatre coins de la capitale. Mais les lignes les plus sollicitées au sein de cette station restent, sans conteste, celles desservant Ben Aknoun et Chevalley, d'ailleurs le nombre de bus, activant sur ces lignes, est loin de pouvoir répondre à l'importante demande. Et comme pour toute chose, le phénomène de l'informel n'est jamais très loin et finit même, à la longue, à avoir force de loi et à s'imposer au mépris de toute réglementation. Ainsi les chauffeurs de "taxis clandestins" n'ont pas manqué d'exploiter cette situation et ont rapidement envahi les lieux, flairant ainsi le filon juteux. Ces "taxieurs" ont très rapidement squatté la station, disputant cet espace aux transporteurs en commun. Profitant de l'insuffisance des bus ils proposent sans vergogne leurs services, contre monnaies sonnantes et trébuchantes. Les travailleurs en retard ou les personnes devant se rendre à des rendez-vous médicaux ou cruciaux n'ont d'autre choix que de céder aux avances de ces "taxieurs". Après une longue attente stressante et épuisante, beaucoup de voyageurs finissent par céder à ces chants des sirènes, particulièrement onéreux, mais restant souvent l'unique recours, cela ces chauffeurs de "taxis" clandestins l'ont bien compris. Si certains citoyens sont plus ou moins satisfaits de pouvoir compter, en cas de force majeure, sur le recours aux véhicules de ces squatteurs, beaucoup de voyageurs n'hésitent pas à dénoncer leur présence envahissante. D'ailleurs des altercations ne manquent pas d'éclater régulièrement sur les lieux entre ces "clandestins" et les transporteurs en commun. Les agents de police sont intervenus à maintesreprises pour les déloger de cette station, mais comme de la mauvaise herbe ils reviennent toujours et ne veulent pas chasser prise. Ils arrivent ainsi à toujours tirer leur épingle du jeu en réalisent des recettes substantielles ayant bien compris que l'informel a encore de beaux jours dans la capitale. Y. B.