L'ancien président américain Jimmy Carter, en visite mardi à Ghaza, a dénoncé le blocus imposé depuis deux ans par l'occupation israélienne à ce territoire, et déploré l'agression militaire sioniste (27 décembre-18 janvier 2009) sur le territoire occupé, qui avait fait plus de 1.400 martyrs palestiniens. Arrivé à Ghaza le matin via le terminal d'Erez, M. Carter s'est rendu sur des sites détruits lors de l'agression militaire israélienne, et a visité notamment une école américaine totalement détruite par les raid aériens israéliens. M. Carter s'est dit "attristé" par les conséquences catastrophiques de l'agression israélienne sur la population de Ghaza, un territoire soumis depuis deux ans à un blocus économique et de la circulation implacable. "Je suis très affecté. Je dois retenir mes larmes en voyant la destruction qui a été infligée sur votre peuple", a notamment déclaré M. Carter. Lors de sa visite, Carter a eu des entretiens dans la ville de Ghaza avec des responsables de l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés palestiniens (Unrwa). L'ancien président américain a déploré le blocus israélien et la situation humanitaire à Ghaza décrite comme alarmante par des ONG internationales. "Tragiquement, la communauté internationale reste trop souvent indifférente aux cris de détresse" des Palestiniens, a-t-il dit. M. Carter a affirmé que "1,5 million de personnes (de la population de Ghaza) sont privées des besoins élémentaires de la vie", assurant que "jamais l'Histoire une aussi grande communauté n'a été brutalement dévastée par des bombes et des missiles et ensuite privée des moyens de s'en remettre". Face à cette situation, Carter a appelé la communauté internationale à plus d'efforts pour convaincre l'occupation israélienne d'autoriser l'entrée des produits de première nécessité à Ghaza. L'ancien président américain Jimmy Carter, en visite mardi à Ghaza, a dénoncé le blocus imposé depuis deux ans par l'occupation israélienne à ce territoire, et déploré l'agression militaire sioniste (27 décembre-18 janvier 2009) sur le territoire occupé, qui avait fait plus de 1.400 martyrs palestiniens. Arrivé à Ghaza le matin via le terminal d'Erez, M. Carter s'est rendu sur des sites détruits lors de l'agression militaire israélienne, et a visité notamment une école américaine totalement détruite par les raid aériens israéliens. M. Carter s'est dit "attristé" par les conséquences catastrophiques de l'agression israélienne sur la population de Ghaza, un territoire soumis depuis deux ans à un blocus économique et de la circulation implacable. "Je suis très affecté. Je dois retenir mes larmes en voyant la destruction qui a été infligée sur votre peuple", a notamment déclaré M. Carter. Lors de sa visite, Carter a eu des entretiens dans la ville de Ghaza avec des responsables de l'agence de l'ONU d'aide aux réfugiés palestiniens (Unrwa). L'ancien président américain a déploré le blocus israélien et la situation humanitaire à Ghaza décrite comme alarmante par des ONG internationales. "Tragiquement, la communauté internationale reste trop souvent indifférente aux cris de détresse" des Palestiniens, a-t-il dit. M. Carter a affirmé que "1,5 million de personnes (de la population de Ghaza) sont privées des besoins élémentaires de la vie", assurant que "jamais l'Histoire une aussi grande communauté n'a été brutalement dévastée par des bombes et des missiles et ensuite privée des moyens de s'en remettre". Face à cette situation, Carter a appelé la communauté internationale à plus d'efforts pour convaincre l'occupation israélienne d'autoriser l'entrée des produits de première nécessité à Ghaza.