L'approvisionnement des citernes s'effectuera, par ailleurs, au niveau des forages recensés par le secteur de l'hydraulique. Cette autorisation de fourniture d'eau aux populations par des citernes mobiles est soumise à des conditions. Ces mesures ont été prises pour réglementer l'activité de distribution de l'eau potable par des moyens publics et privés, dans le but de mettre fin à l'anarchie qui caractérise ce créneau fort juteux. L'approvisionnement des citernes s'effectuera, par ailleurs, au niveau des forages recensés par le secteur de l'hydraulique. Cette autorisation de fourniture d'eau aux populations par des citernes mobiles est soumise à des conditions. Ces mesures ont été prises pour réglementer l'activité de distribution de l'eau potable par des moyens publics et privés, dans le but de mettre fin à l'anarchie qui caractérise ce créneau fort juteux. Les conditions d'approvisionnement en eau potable destinée à la consommation humaine par citernes tractées entre en vigueur aujourd'hui, a appris Midi Libre de sources proches du ministère des Ressources en eau. Le département de Abdelmalek Sellal est déterminé à appliquer le décret exécutif n°08-195 publié il y a de cela presque une année. Il est question d'encadrer l'approvisionnement en eau potable des localités ou des quartiers dépourvus de réseaux d'AEP. Désormais, les prétendants à cette activité doivent, au préalable adresser une demande d'autorisation aux services du secteur de l'hydraulique de la wilaya. Une phase procédurale qui a été menée durant la période moratoire d'une année accordée aux fournisseurs d'eau potable en citerne pour s'y conformer. L'approvisionnement des citernes s'effectuera, par ailleurs, au niveau des forages recensés par le secteur de l'hydraulique. Cette autorisation de fourniture d'eau aux populations par des citernes mobiles est soumise à des conditions. Les citernes mobiles utilisées pour exercer cette activité doivent être revêtues à l'intérieur d'une matière inoxydable et d'un revêtement extérieur de couleur verte pour la protection contre la corrosion ; elles doivent être aussi pourvues d'un robinet de puisage inoxydable et d'un dispositif de vidange ; elles doivent aussi avoir un couvercle étanche pour faciliter l'accès à l'intérieur de la citerne en cas de nettoyage et enfin la citerne doit être équipée d'un clapet anti-retour pour éviter tous les risques de contamination. La citerne mobile utilisée pour la vente de l'eau potable doit comporter toutes les indications inhérentes à la raison sociale y compris le nom du titulaire de l'autorisation et son numéro de recensement. Ces mêmes citernes à eau potable ne doivent en aucune manière servir au transport d'une eau non potable. La 1ère sanction qui sera prononcée à l'encontre des commerçants de l'eau potable en cas de manquement se résume à la suspension temporaire de l'exercice de vente avant la reprise de l'activité. Ces mesures ont été prises pour réglementer l'activité de distribution de l'eau potable par des moyens publics et privés, dans le but de mettre fin à l'anarchie qui caractérise ce créneau fort juteux, notamment en période de sécheresse que connaissent plusieurs régions du pays et permettre à des populations dépourvues de réseaux d'alimentation de bénéficier d'une eau de qualité garantissant une bonne qualité et un volume acceptable. A travers l'implication des directions de santé au côté de celles de l'hydraulique et des autres collectivités locales, les pouvoirs publics entendent mieux lutter contre les maladies à transmission hydrique, particulièrement en période estivale. Ces conditions concernent les 1.429 citernes tractables et camions-citernes, dont 1.142 appartiennent aux privés, 255 aux APC et 32 à l'Algérienne des eaux. Sur un autre plan, ces moyens qui ont comblé les besoins des citoyens à des périodes cruciales nécessitaient, cependant, une mise en ordre, notamment sur le volet tarifaire. Un business lucratif où la citerne de 3.000 litres, soit à peine 3 mètres cubes, se négocie entre 800 et 1.000 DA, alors que le prix administré de l'eau ne dépasse pas les 20 DA/m3. Les conditions d'approvisionnement en eau potable destinée à la consommation humaine par citernes tractées entre en vigueur aujourd'hui, a appris Midi Libre de sources proches du ministère des Ressources en eau. Le département de Abdelmalek Sellal est déterminé à appliquer le décret exécutif n°08-195 publié il y a de cela presque une année. Il est question d'encadrer l'approvisionnement en eau potable des localités ou des quartiers dépourvus de réseaux d'AEP. Désormais, les prétendants à cette activité doivent, au préalable adresser une demande d'autorisation aux services du secteur de l'hydraulique de la wilaya. Une phase procédurale qui a été menée durant la période moratoire d'une année accordée aux fournisseurs d'eau potable en citerne pour s'y conformer. L'approvisionnement des citernes s'effectuera, par ailleurs, au niveau des forages recensés par le secteur de l'hydraulique. Cette autorisation de fourniture d'eau aux populations par des citernes mobiles est soumise à des conditions. Les citernes mobiles utilisées pour exercer cette activité doivent être revêtues à l'intérieur d'une matière inoxydable et d'un revêtement extérieur de couleur verte pour la protection contre la corrosion ; elles doivent être aussi pourvues d'un robinet de puisage inoxydable et d'un dispositif de vidange ; elles doivent aussi avoir un couvercle étanche pour faciliter l'accès à l'intérieur de la citerne en cas de nettoyage et enfin la citerne doit être équipée d'un clapet anti-retour pour éviter tous les risques de contamination. La citerne mobile utilisée pour la vente de l'eau potable doit comporter toutes les indications inhérentes à la raison sociale y compris le nom du titulaire de l'autorisation et son numéro de recensement. Ces mêmes citernes à eau potable ne doivent en aucune manière servir au transport d'une eau non potable. La 1ère sanction qui sera prononcée à l'encontre des commerçants de l'eau potable en cas de manquement se résume à la suspension temporaire de l'exercice de vente avant la reprise de l'activité. Ces mesures ont été prises pour réglementer l'activité de distribution de l'eau potable par des moyens publics et privés, dans le but de mettre fin à l'anarchie qui caractérise ce créneau fort juteux, notamment en période de sécheresse que connaissent plusieurs régions du pays et permettre à des populations dépourvues de réseaux d'alimentation de bénéficier d'une eau de qualité garantissant une bonne qualité et un volume acceptable. A travers l'implication des directions de santé au côté de celles de l'hydraulique et des autres collectivités locales, les pouvoirs publics entendent mieux lutter contre les maladies à transmission hydrique, particulièrement en période estivale. Ces conditions concernent les 1.429 citernes tractables et camions-citernes, dont 1.142 appartiennent aux privés, 255 aux APC et 32 à l'Algérienne des eaux. Sur un autre plan, ces moyens qui ont comblé les besoins des citoyens à des périodes cruciales nécessitaient, cependant, une mise en ordre, notamment sur le volet tarifaire. Un business lucratif où la citerne de 3.000 litres, soit à peine 3 mètres cubes, se négocie entre 800 et 1.000 DA, alors que le prix administré de l'eau ne dépasse pas les 20 DA/m3.