Après s'être reposée à Alger durant une semaine, «La caravane socioculturelle de proximité», qui est un projet de l'Association SOS Bab el-Oued, en partenariat avec l'Association française d'Aubervilliers et l'appui du Programme concerté pluri-acteurs Algérie, a repris la route durant toute cette semaine à destination, cette fois-ci, de Constantine. Après s'être reposée à Alger durant une semaine, «La caravane socioculturelle de proximité», qui est un projet de l'Association SOS Bab el-Oued, en partenariat avec l'Association française d'Aubervilliers et l'appui du Programme concerté pluri-acteurs Algérie, a repris la route durant toute cette semaine à destination, cette fois-ci, de Constantine. La caravane, composée des jeunes des villes algériennes et d'Aubervilliers, a séjourné du 6 au 14 juillet dans la ville des Ponts suspendus. Au programme, des projections de films, de l'initiation aux techniques audiovisuelles, des formations à la citoyenneté et de la culture évidemment. Un rendez-vous qui s'est avéré très enrichissant et intéressant de point de vue de l'association SOS Bab el-Oued. Les jeunes constantinois qui, au préalable, ne connaissent rien au cinéma, se sont montrés, ont démontré des capacités d'imagination et de création qui n'étaient pas dans les attentes des formateurs et des cadres associatifs. «On dirait tous des comédiens, ces jeunes. Ils ne connaissaient pas les scénarios qui leur sont proposés mais ils ont joué les rôles comme s'ils étaient eux-mêmes cinéastes. C'est impressionnant !», nous a livré à chaud, Mlle Hamadache, cadre de l'association. L'objectif de cette caravane est de cerner les capacités des jeunes à être des acteurs et des vecteurs importants du développement local. Le but semble avoir été atteint. Savoir écouter ces jeunes, c'est aussi construire avec eux une société basée sur des valeurs justes. C'est le sentiment profond qui se dégage de cette expérience. Dans leurs travaux de restitution des différents ateliers, les courts métrages réalisés par ces jeunes talents, venant des quartiers défavorisés de Constantine, le message y est plus que jamais significatif. Les jeunes ont fait preuve de beaucoup de créativité en contrepartie de l'attention qui leur a été accordée. La caravane se posera à partir de ce vendredi, à Oran et ce, jusqu'au 25 du mois en cours, pour renouveler l'expérience. L. M. La caravane, composée des jeunes des villes algériennes et d'Aubervilliers, a séjourné du 6 au 14 juillet dans la ville des Ponts suspendus. Au programme, des projections de films, de l'initiation aux techniques audiovisuelles, des formations à la citoyenneté et de la culture évidemment. Un rendez-vous qui s'est avéré très enrichissant et intéressant de point de vue de l'association SOS Bab el-Oued. Les jeunes constantinois qui, au préalable, ne connaissent rien au cinéma, se sont montrés, ont démontré des capacités d'imagination et de création qui n'étaient pas dans les attentes des formateurs et des cadres associatifs. «On dirait tous des comédiens, ces jeunes. Ils ne connaissaient pas les scénarios qui leur sont proposés mais ils ont joué les rôles comme s'ils étaient eux-mêmes cinéastes. C'est impressionnant !», nous a livré à chaud, Mlle Hamadache, cadre de l'association. L'objectif de cette caravane est de cerner les capacités des jeunes à être des acteurs et des vecteurs importants du développement local. Le but semble avoir été atteint. Savoir écouter ces jeunes, c'est aussi construire avec eux une société basée sur des valeurs justes. C'est le sentiment profond qui se dégage de cette expérience. Dans leurs travaux de restitution des différents ateliers, les courts métrages réalisés par ces jeunes talents, venant des quartiers défavorisés de Constantine, le message y est plus que jamais significatif. Les jeunes ont fait preuve de beaucoup de créativité en contrepartie de l'attention qui leur a été accordée. La caravane se posera à partir de ce vendredi, à Oran et ce, jusqu'au 25 du mois en cours, pour renouveler l'expérience. L. M.