L'Association "Aids Algérie" est, depuis une semaine, sur les plages de Béjaïa, pour sensibiliser les estivants, vacanciers, sur les risques du VIH-Sida. Une bonne initiative qui mérite encouragement et pérennité. Mais là n'est pas notre sujet. Les associations qui sont actives en cette période estivale seraient encore les bienvenues sur les plages, pour sensibiliser sur d'autres fléaux sociaux, cette fois-ci, qui ne cessent de dénaturer nos plages. Partir à la plage est devenu un projet pour les familles algériennes, en raison de l'absence d'hygiène. Si les sachets noirs ont disparu du paysage commercial, il est étonnant de les voir encore flotter en mer et sur les plages. Malgré la mise à pied d'un impressionnant dispositif de nettoyage des plages, celles-ci restent un ciel ouvert pour les ordures que les familles abandonnent sciemment en fin de journée. La question que l'on se pose est de savoir si ces mêmes familles, ces femmes et ces hommes, prennent le soin de jeter leurs ordures dans les poubelles avant de quitter leurs pénates. En général, c'est oui. Alors pourquoi ne font-elles pas de même, pour préserver la nature si gracieuse ? Les associations de protection de l'environnement, qui se sont mobilisées début juin pour l'opération appelée ‘'Eboueurs de la mer'', ont relevé que la première agression dont sont victimes nos plages est due au facteur humain. Peut-être qu'il ne faut pas attendre la fin de l'été pour sensibiliser ces estivants sur le code de conduite sur les plages et autres espaces de détente. L. M L'Association "Aids Algérie" est, depuis une semaine, sur les plages de Béjaïa, pour sensibiliser les estivants, vacanciers, sur les risques du VIH-Sida. Une bonne initiative qui mérite encouragement et pérennité. Mais là n'est pas notre sujet. Les associations qui sont actives en cette période estivale seraient encore les bienvenues sur les plages, pour sensibiliser sur d'autres fléaux sociaux, cette fois-ci, qui ne cessent de dénaturer nos plages. Partir à la plage est devenu un projet pour les familles algériennes, en raison de l'absence d'hygiène. Si les sachets noirs ont disparu du paysage commercial, il est étonnant de les voir encore flotter en mer et sur les plages. Malgré la mise à pied d'un impressionnant dispositif de nettoyage des plages, celles-ci restent un ciel ouvert pour les ordures que les familles abandonnent sciemment en fin de journée. La question que l'on se pose est de savoir si ces mêmes familles, ces femmes et ces hommes, prennent le soin de jeter leurs ordures dans les poubelles avant de quitter leurs pénates. En général, c'est oui. Alors pourquoi ne font-elles pas de même, pour préserver la nature si gracieuse ? Les associations de protection de l'environnement, qui se sont mobilisées début juin pour l'opération appelée ‘'Eboueurs de la mer'', ont relevé que la première agression dont sont victimes nos plages est due au facteur humain. Peut-être qu'il ne faut pas attendre la fin de l'été pour sensibiliser ces estivants sur le code de conduite sur les plages et autres espaces de détente. L. M