Le poulet, qui s'était stabilisé depuis plus d'un mois à 220 Da le Kg, a, désormais, grimpé d'un seul coup, depuis jeudi dernier, pour atteindre 350 Da le Kg. Le poulet, qui s'était stabilisé depuis plus d'un mois à 220 Da le Kg, a, désormais, grimpé d'un seul coup, depuis jeudi dernier, pour atteindre 350 Da le Kg. «Les marchands affichent, tous, le même prix du poulet. Ils écartent toute forme de négociation avec le client. Contrairement à ces derniers jours, cette hausse des prix reste stable, même en fin de la journée», confie une vielle dame que nous abordons, à l'occasion. Alors qu'une grande frustration se manifeste chez les citoyens en spéculant l'augmentation des prix de légumes, marqués ces derniers jours par une remarquable baisse, voilà qu'ils se trouvent face à une flambée subite du tarif des produits avicoles, à quelques jours du mois de ramadhan. Au marché Amar El Kama, (ex Rue de la Lyre), les clients semblent très précis dans leurs choix. Une longue file de gens, se fixe chez différents commerces de légumes et fruits. D'autres clients pointent chez les marchands de poissons. Ces derniers semblent être plus accessibles que les produits avicoles, totalement boudés par les gens, hier. «A l'approche de chaque évènement, souvent durant le mois sacré de ramadan, les prix des produits alimentaires augmentent. C'est une coutume qui reste indécrottable. «Nous remarquons, aujourd'hui, un surenchérissement du poulet, de la dinde ainsi que les œufs. Nous préférerons nous procurer d'autres denrées alimentaire tout en espérant la baisse de prix de ces produits, dans les prochains jours», a estimé une jeune maman qui fait, dit-elle, les provisions de la semaine. Effectivement, un marchand annonce que les prix de ces produits ont, remarquablement grimpé par rapport à la semaine dernière. Il a précisé que le kg de dinde est passé de 450 DA à entre 600 et 700 DA, ainsi que le prix de l'œuf, estimé, il y a quelques jours à 8 DA, qui a été augmenté de 2 à 3 DA. Beaucoup de ménages semblent, à cet effet se passer des produits avicoles à cause de ce surenchérissement. «D'habitude, bien avant la fin de la matinée, les gens trouvent rarement des produits. Il m'arrive de vendre quotidiennement, 15 à 25 poulets mais avec la hausse des prix j'enregistre à peine une vente de 5 à 8 poulets par jour», souligne un de ces marchands d'Amar El Kama qui conclut que l'augmentation de ces prix est due au manque des produits avicoles dans les centres d'abattage. «Les marchands affichent, tous, le même prix du poulet. Ils écartent toute forme de négociation avec le client. Contrairement à ces derniers jours, cette hausse des prix reste stable, même en fin de la journée», confie une vielle dame que nous abordons, à l'occasion. Alors qu'une grande frustration se manifeste chez les citoyens en spéculant l'augmentation des prix de légumes, marqués ces derniers jours par une remarquable baisse, voilà qu'ils se trouvent face à une flambée subite du tarif des produits avicoles, à quelques jours du mois de ramadhan. Au marché Amar El Kama, (ex Rue de la Lyre), les clients semblent très précis dans leurs choix. Une longue file de gens, se fixe chez différents commerces de légumes et fruits. D'autres clients pointent chez les marchands de poissons. Ces derniers semblent être plus accessibles que les produits avicoles, totalement boudés par les gens, hier. «A l'approche de chaque évènement, souvent durant le mois sacré de ramadan, les prix des produits alimentaires augmentent. C'est une coutume qui reste indécrottable. «Nous remarquons, aujourd'hui, un surenchérissement du poulet, de la dinde ainsi que les œufs. Nous préférerons nous procurer d'autres denrées alimentaire tout en espérant la baisse de prix de ces produits, dans les prochains jours», a estimé une jeune maman qui fait, dit-elle, les provisions de la semaine. Effectivement, un marchand annonce que les prix de ces produits ont, remarquablement grimpé par rapport à la semaine dernière. Il a précisé que le kg de dinde est passé de 450 DA à entre 600 et 700 DA, ainsi que le prix de l'œuf, estimé, il y a quelques jours à 8 DA, qui a été augmenté de 2 à 3 DA. Beaucoup de ménages semblent, à cet effet se passer des produits avicoles à cause de ce surenchérissement. «D'habitude, bien avant la fin de la matinée, les gens trouvent rarement des produits. Il m'arrive de vendre quotidiennement, 15 à 25 poulets mais avec la hausse des prix j'enregistre à peine une vente de 5 à 8 poulets par jour», souligne un de ces marchands d'Amar El Kama qui conclut que l'augmentation de ces prix est due au manque des produits avicoles dans les centres d'abattage.