La protection des cheptels, ovins, bovins et caprins, se traduit chaque année par une campagne nationale de vaccination qui débute le 1er avril et se clôture le 15 juillet. A Constantine, selon des sources vétérinaires, cette opération préventive contre la rage, les fièvres aphteuses, et autres infections touchant les bétails, a mobilisé une soixantaine de professionnels. Le taux de vaccination, à l'issue de ses trois mois et demi d'intervention à travers toutes les localités agricoles et pastorales de la wilaya, même les plus reculées, avoisine largement les 90%. En termes de chiffres, ce sont 4.300 éleveurs qui ont été approchés. De ce fait, 183.000 têtes d'ovins ont été vaccinées, suivies par 31.000 bovins. A la lumière de ces statistiques, l'on saisit rapidement que Constantine n'est pas une région à grande vocation pastorale. Le secteur de l'élevage y est composé exclusivement de petits éleveurs, de surcroît disparates. D'ailleurs, beaucoup d'entre eux ne sont pas recensés auprès des services concernés. Et ceux là peuvent se monter, et les exemples sont légion, très réfractaires à toute vaccination, quand bien même gratuite. Pour preuve, la déclaration, il y a quelques jours, d'un cas de rage suspectée sur une vache, victime d'une morsure de chien malade. C'était dans la commune de Beni H'midene alors que la campagne nationale était déjà clôturée !! La vaccination dans cette localité aurait, ainsi, concerné plus de 2.000 bêtes… La protection des cheptels, ovins, bovins et caprins, se traduit chaque année par une campagne nationale de vaccination qui débute le 1er avril et se clôture le 15 juillet. A Constantine, selon des sources vétérinaires, cette opération préventive contre la rage, les fièvres aphteuses, et autres infections touchant les bétails, a mobilisé une soixantaine de professionnels. Le taux de vaccination, à l'issue de ses trois mois et demi d'intervention à travers toutes les localités agricoles et pastorales de la wilaya, même les plus reculées, avoisine largement les 90%. En termes de chiffres, ce sont 4.300 éleveurs qui ont été approchés. De ce fait, 183.000 têtes d'ovins ont été vaccinées, suivies par 31.000 bovins. A la lumière de ces statistiques, l'on saisit rapidement que Constantine n'est pas une région à grande vocation pastorale. Le secteur de l'élevage y est composé exclusivement de petits éleveurs, de surcroît disparates. D'ailleurs, beaucoup d'entre eux ne sont pas recensés auprès des services concernés. Et ceux là peuvent se monter, et les exemples sont légion, très réfractaires à toute vaccination, quand bien même gratuite. Pour preuve, la déclaration, il y a quelques jours, d'un cas de rage suspectée sur une vache, victime d'une morsure de chien malade. C'était dans la commune de Beni H'midene alors que la campagne nationale était déjà clôturée !! La vaccination dans cette localité aurait, ainsi, concerné plus de 2.000 bêtes…