Le directeur général de la Sûreté nationale, Ali Tounsi, a annoncé, jeudi dernier à Alger, en marge de la cérémonie de sortie de la 11e promotion des agents femmes de l'ordre public qui a eu lieu à l'école de police de Ain Benian, qu'il n'y aura pas de dispositif spécial pour le mois du ramadhan. Le directeur général de la Sûreté nationale, Ali Tounsi, a annoncé, jeudi dernier à Alger, en marge de la cérémonie de sortie de la 11e promotion des agents femmes de l'ordre public qui a eu lieu à l'école de police de Ain Benian, qu'il n'y aura pas de dispositif spécial pour le mois du ramadhan. Dans une déclaration à la presse, le DGSN a indiqué qu'en ce qui concerne la préparation pour des interventions d'urgence, la police est « prête à intervenir à tout moment aussi bien durant le mois de ramadhan que durant les autres mois de l'année » ajoutant que « le mois de Ramadhan ne fait pas exception à la règle ». Par la même occasion, M. Tounsi a également souligné que les étrangers résidant ou travaillant en Algérie seront sécurisés au même titre que les nationaux. Le DGSN a en outre saisi cette occasion pour démentir formellement l'existence supposée d'un conflit de quelque nature qu'il soit, entre lui et le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni. Il est à souligner d'autre part que la Police nationale entend augmenter le nombre de femmes en son sein, comme l'a réaffirmé son premier responsable. Tout en saluant « le sens des responsabilités, la discipline et le dévouement qui caractérisent la femme policier », en mettant en exergue la contribution de celle-ci grâce à « sa compétence et son courage au développement du secteur », le DGSN a indiqué que le taux de la présence féminine dans le corps de la police est aujourd'hui estimé à environ 6%. « Soit, se félicite M. Tounsi, le meilleur taux sur le double plan arabe et africain ». Un pourcentage qui n'a pas atteint les taux réalisés mondialement, a toutefois signalé le DGSN qui a donc insisté sur l'impératif d'« augmenter » le nombre de femmes dans ce secteur pour atteindre celui des Etats pionniers. Ali Tounsi, a en outre révélé qu'entre 13.000 à 15.000 éléments sont recrutés annuellement au sein de la Police nationale, ajoutant que le corps connaît une « période de recrutement intense ». M. Tounsi a précisé que « le recrutement se poursuivra au sein de la police qui accordera un intérêt particulier à la qualité de la formation de l'agent de police dans le but de servir le citoyen ». Quant à la moyenne de la couverture sécuritaire actuelle dans le pays, estimée à un policier pour 400 citoyens, le responsable a affirmé qu'elle « est loin des normes internationales ». Il a assuré que la DGSN tend, à court terme, à atteindre une moyenne de couverture d'« un policier pour 300 habitants » car, a-t-il dit, « la sécurité du citoyen compte parmi les grandes priorités du gouvernement ». Selon M. Tounsi, la couverture sécuritaire atteindra « progressivement » les niveaux internationaux en axant les efforts sur l'amélioration de la formation pour atteindre l'objectif escompté dans les meilleurs délais. Dans une déclaration à la presse, le DGSN a indiqué qu'en ce qui concerne la préparation pour des interventions d'urgence, la police est « prête à intervenir à tout moment aussi bien durant le mois de ramadhan que durant les autres mois de l'année » ajoutant que « le mois de Ramadhan ne fait pas exception à la règle ». Par la même occasion, M. Tounsi a également souligné que les étrangers résidant ou travaillant en Algérie seront sécurisés au même titre que les nationaux. Le DGSN a en outre saisi cette occasion pour démentir formellement l'existence supposée d'un conflit de quelque nature qu'il soit, entre lui et le ministre de l'Intérieur et des Collectivités locales, Noureddine Yazid Zerhouni. Il est à souligner d'autre part que la Police nationale entend augmenter le nombre de femmes en son sein, comme l'a réaffirmé son premier responsable. Tout en saluant « le sens des responsabilités, la discipline et le dévouement qui caractérisent la femme policier », en mettant en exergue la contribution de celle-ci grâce à « sa compétence et son courage au développement du secteur », le DGSN a indiqué que le taux de la présence féminine dans le corps de la police est aujourd'hui estimé à environ 6%. « Soit, se félicite M. Tounsi, le meilleur taux sur le double plan arabe et africain ». Un pourcentage qui n'a pas atteint les taux réalisés mondialement, a toutefois signalé le DGSN qui a donc insisté sur l'impératif d'« augmenter » le nombre de femmes dans ce secteur pour atteindre celui des Etats pionniers. Ali Tounsi, a en outre révélé qu'entre 13.000 à 15.000 éléments sont recrutés annuellement au sein de la Police nationale, ajoutant que le corps connaît une « période de recrutement intense ». M. Tounsi a précisé que « le recrutement se poursuivra au sein de la police qui accordera un intérêt particulier à la qualité de la formation de l'agent de police dans le but de servir le citoyen ». Quant à la moyenne de la couverture sécuritaire actuelle dans le pays, estimée à un policier pour 400 citoyens, le responsable a affirmé qu'elle « est loin des normes internationales ». Il a assuré que la DGSN tend, à court terme, à atteindre une moyenne de couverture d'« un policier pour 300 habitants » car, a-t-il dit, « la sécurité du citoyen compte parmi les grandes priorités du gouvernement ». Selon M. Tounsi, la couverture sécuritaire atteindra « progressivement » les niveaux internationaux en axant les efforts sur l'amélioration de la formation pour atteindre l'objectif escompté dans les meilleurs délais.