Des carcasses d'immeuble R+5 sont, à l'abandon depuis les années 90 et offrent un spectacle désolant durant cette cruciale période de crise du logement. Des carcasses d'immeuble R+5 sont, à l'abandon depuis les années 90 et offrent un spectacle désolant durant cette cruciale période de crise du logement. Des milliers de prétendants à la recherche d'un toit décent, vivant un calvaire quotidien, sont perplexes face à la prolifération des chantiers de logements promotionnels à l'arrêt depuis plus d'une dizaine années et ils s'interrogent sur les raisons de cette triste situation qui pénalise les pères de famille et les futurs couples. Sur les hauteurs du chef-lieu de wilaya, sur un vaste site longeant le boulevard de la cité Gahdour- Tahar, des carcasses d'immeuble R+5 sont, à l'abandon depuis les années 90 et offrent un spectacle désolant durant cette cruciale période de crise du logement. A cette époque, l'entreprise nationale Geni Sider, avant entamé la réalisation de 30 logements promotionnels grand standing, essentiellement des F4 qu'elle se préparait de vendre cash à des émigrés, commerçants, médecins, avocats, etc… à l'image de sa fructueuse expérience initiée au quartier de Bab Skikda où des dizaines d'appartement cossus avaient été rapidement cédés. Néanmoins, cet ambitieux projet, qui avait suscité une totale adhésion au sein de la population, est à l'arrêt pour des raisons inexpliquées. Plusieurs carcasses de R+5 sont à l'abandon sachant que le taux de réalisation dépasse les 60%. Selon des sources crédibles, l'entreprise Géni Sider aurait été dissoute suite à un plan de restruction initié par les pouvoirs publics et ce lourd contentieux serait voué aux oubliettes ! Ce dossier sensible avait été, à maintes rouvert par les élus de l'APW et le mouvement associatif aux fins d'une solution heureuse qui permettrait d'enrichir le patrimoine immobilier de Guelma et répondre aux attentes des citoyens sachant que des centaines de milliards de centimes ont été investis sans contre-partie. A quelques dizaines de mètres, la plate-forme d'un immeuble et la carcasse d'un second ont été abandonnés par un promoteur immobilier qui a plié bagages depuis six ans. L'environnement est lugubre, le déversement des eaux pluviales et usées pénalise le cadre de vie des riverains. Les pouvoirs publics et le ministre de tutelle sont interpellés et doivent se pencher sur ce dossier sensible afin de parachever les projets en hibernation. Des milliers de prétendants à la recherche d'un toit décent, vivant un calvaire quotidien, sont perplexes face à la prolifération des chantiers de logements promotionnels à l'arrêt depuis plus d'une dizaine années et ils s'interrogent sur les raisons de cette triste situation qui pénalise les pères de famille et les futurs couples. Sur les hauteurs du chef-lieu de wilaya, sur un vaste site longeant le boulevard de la cité Gahdour- Tahar, des carcasses d'immeuble R+5 sont, à l'abandon depuis les années 90 et offrent un spectacle désolant durant cette cruciale période de crise du logement. A cette époque, l'entreprise nationale Geni Sider, avant entamé la réalisation de 30 logements promotionnels grand standing, essentiellement des F4 qu'elle se préparait de vendre cash à des émigrés, commerçants, médecins, avocats, etc… à l'image de sa fructueuse expérience initiée au quartier de Bab Skikda où des dizaines d'appartement cossus avaient été rapidement cédés. Néanmoins, cet ambitieux projet, qui avait suscité une totale adhésion au sein de la population, est à l'arrêt pour des raisons inexpliquées. Plusieurs carcasses de R+5 sont à l'abandon sachant que le taux de réalisation dépasse les 60%. Selon des sources crédibles, l'entreprise Géni Sider aurait été dissoute suite à un plan de restruction initié par les pouvoirs publics et ce lourd contentieux serait voué aux oubliettes ! Ce dossier sensible avait été, à maintes rouvert par les élus de l'APW et le mouvement associatif aux fins d'une solution heureuse qui permettrait d'enrichir le patrimoine immobilier de Guelma et répondre aux attentes des citoyens sachant que des centaines de milliards de centimes ont été investis sans contre-partie. A quelques dizaines de mètres, la plate-forme d'un immeuble et la carcasse d'un second ont été abandonnés par un promoteur immobilier qui a plié bagages depuis six ans. L'environnement est lugubre, le déversement des eaux pluviales et usées pénalise le cadre de vie des riverains. Les pouvoirs publics et le ministre de tutelle sont interpellés et doivent se pencher sur ce dossier sensible afin de parachever les projets en hibernation.