Après trois mois d'enquête et d'intenses investigations sur la gestion des affaires de l'APC de Aïn El Berda, localité distante de 20 km du chef-lieu de la wilaya de Annaba, la brigade financière du Darak el watani, est arrivée à la conclusions que les accusations portées contre le staff municipal, ne sont nullement fondées. Ce que confirme la note d'information dont nous détenons une copie, adresée au P/APC de Aïn El Berda par le procureur de la République près le tribunal d'El Hadjar, qui souligne noir sur blanc «qu'au vue des résultats des enquêtes, et en l'absence de preuves tangibles et crédibles de dépassement et d'infraction à la loi, dans la gestion des affaires de la commune, le dossier relatif à cette affaire a été tout simplement clos et classé». La note du procureur n° 09/1694 innocente donc le P/APC Aïssa Yeza de tout "péché" ayant trait à des prévarications menées à l'encontre des directions de la commune de Aïn-Berda. Il faut sans doute rappeler que c'est suite à près de 400 lettres anonymes, selon le premier magistrat de la mairie de Aïn-Berda, que l'enquête de la gendarmerie, menée par deux équipes différentes, a été déclenchée. Le ou les corbeau (x) auteur (s) des lettres anonymes avait(ent) notamment accablé le maire de plusieurs accusations de corruption et de passe-droit dans la passation des marchés publics. Ce qui l'a obligé ainsi que quatre de ses collaborateurs, tous élus, eux aussi cités, à porter plainte contre «X». Selon des sources judiciaires, la gendarmerie, serait sur le point de démasquer les auteurs des lettres anonymes grâce à l'exploitation de certains indices qui se sont révélés "probants". Les soupçons, nous dit-on, se portent sur certains élus de l'APC même. Après trois mois d'enquête et d'intenses investigations sur la gestion des affaires de l'APC de Aïn El Berda, localité distante de 20 km du chef-lieu de la wilaya de Annaba, la brigade financière du Darak el watani, est arrivée à la conclusions que les accusations portées contre le staff municipal, ne sont nullement fondées. Ce que confirme la note d'information dont nous détenons une copie, adresée au P/APC de Aïn El Berda par le procureur de la République près le tribunal d'El Hadjar, qui souligne noir sur blanc «qu'au vue des résultats des enquêtes, et en l'absence de preuves tangibles et crédibles de dépassement et d'infraction à la loi, dans la gestion des affaires de la commune, le dossier relatif à cette affaire a été tout simplement clos et classé». La note du procureur n° 09/1694 innocente donc le P/APC Aïssa Yeza de tout "péché" ayant trait à des prévarications menées à l'encontre des directions de la commune de Aïn-Berda. Il faut sans doute rappeler que c'est suite à près de 400 lettres anonymes, selon le premier magistrat de la mairie de Aïn-Berda, que l'enquête de la gendarmerie, menée par deux équipes différentes, a été déclenchée. Le ou les corbeau (x) auteur (s) des lettres anonymes avait(ent) notamment accablé le maire de plusieurs accusations de corruption et de passe-droit dans la passation des marchés publics. Ce qui l'a obligé ainsi que quatre de ses collaborateurs, tous élus, eux aussi cités, à porter plainte contre «X». Selon des sources judiciaires, la gendarmerie, serait sur le point de démasquer les auteurs des lettres anonymes grâce à l'exploitation de certains indices qui se sont révélés "probants". Les soupçons, nous dit-on, se portent sur certains élus de l'APC même.