Après une semaine d‘effervescence musicale, lors de laquelle une pléiade d‘artistes venus de tous bords se sont produits au stade Bouzidi, la clôture de la 4e édition du Festival national de la musique actuelle devait se terminer en beauté : par le spectacle tant attendu de Sheryfa Luna. Mais les conditions météorologiques en ont décidé autrement. Des pluies torrentielles se sont abattues sur la région, accompagnées de vents violents et d‘éclairs d‘orage. Tous les ingrédients étaient là pour que le gala n‘ait pas lieu. Grande fut la déception du public, venu nombreux, avide de découvrir la «nouvelle venue à la chanson française» Sheryfa Luna, 19 ans. Une adolescente d‘Evreux qui a pu se faire une place artistique dans la jungle du show-biz parisien, preuve en est les 400.000 ventes de son premier album. Tout en s‘ouvrant à d‘autres influences, Sheryfa Luna conserve ses bases musicales (le R‘nb, la pop et le hip hop) et revendique fièrement ses origines algériennes et bordjiennes. Elle a manifesté un grand regret de ne pas pouvoir se produire devant le public. Lors de l‘avant-dernière soirée, Mohamed Allaoua avait enflammé la scène avec ses chansons juvéniles qu‘il n‘a eu de cesse de répéter, à la demande de ses fans. Après une semaine d‘effervescence musicale, lors de laquelle une pléiade d‘artistes venus de tous bords se sont produits au stade Bouzidi, la clôture de la 4e édition du Festival national de la musique actuelle devait se terminer en beauté : par le spectacle tant attendu de Sheryfa Luna. Mais les conditions météorologiques en ont décidé autrement. Des pluies torrentielles se sont abattues sur la région, accompagnées de vents violents et d‘éclairs d‘orage. Tous les ingrédients étaient là pour que le gala n‘ait pas lieu. Grande fut la déception du public, venu nombreux, avide de découvrir la «nouvelle venue à la chanson française» Sheryfa Luna, 19 ans. Une adolescente d‘Evreux qui a pu se faire une place artistique dans la jungle du show-biz parisien, preuve en est les 400.000 ventes de son premier album. Tout en s‘ouvrant à d‘autres influences, Sheryfa Luna conserve ses bases musicales (le R‘nb, la pop et le hip hop) et revendique fièrement ses origines algériennes et bordjiennes. Elle a manifesté un grand regret de ne pas pouvoir se produire devant le public. Lors de l‘avant-dernière soirée, Mohamed Allaoua avait enflammé la scène avec ses chansons juvéniles qu‘il n‘a eu de cesse de répéter, à la demande de ses fans.