Les restaurateurs à Alger particulièrement ceux proposant des grillades n'ont jamais aussi bien travaillé que durant ces derniers jours précédant le ramadhan. Les familles affluent vers ces «hauts lieux de la gastronomie» dès le début de soirée et jusque tard dans la nuit... Les restaurateurs à Alger particulièrement ceux proposant des grillades n'ont jamais aussi bien travaillé que durant ces derniers jours précédant le ramadhan. Les familles affluent vers ces «hauts lieux de la gastronomie» dès le début de soirée et jusque tard dans la nuit... A la veille du ramadhan les rôtisseries d'Alger font le plein et constituent l'une des destinations privilégiées des familles. Ces restaurants n'arrivent plus à répondre à la forte affluence, sans précédent, d'une clientèle amatrice de viande cuite à la braise et arrosées de soda pétillant. L'affluence est la même aussi bien du côté des rotisseries à Staouéli qu'à Draria. Souvent les familles qui s'y rendent, relativement tard, ne trouvent, à leur grand dam, plus rien à se mettre sous la dent. Les rôtisseries étant prises d'assaut dès le début de soirée et jusque tard dans la nuit. La réponse faite aux retardataires est partout la même : «Désolé, on est sur le point de fermer, on n'a plus rien à servir». Des centaines de familles semblent s'être donné le mot pour se retrouver sur les mêmes lieux, il faut dire qu'avec la canicule ambiante déguster des brochettes assis confortablement en bonne compagnie en terrasse ou à quelques mètres des vagues de la grande bleue reste l'idéal pour les longues soirées algéroises. Ces derniers jours avant l'accueil du ramadhan, semblent avoir encore exhacerber l'engouement des Algérois pour les diners nocturnes en terrasse. Ce phénomène est en partie dû à deux principales raisons : ces quelques jours avant ramadhan représentent pour la majorité la dernière semaine de vacances maigrement exploitées à cause de leur durée écourtée. Outre ce facteur temps, il y a également la conjoncture du ramadhan lui-mê me qui représente pour certains un mois de «privations» puisqu'ils ne pourront plus s'adonner à leur gourmandise dans la journée et ainsi ils «emmagasinent» des reserves. Certains restaurateurs interrogés sur ce phénomène nous diront : «On n'a jamais reçu autant de monde depuis le début de l'été»... ce qui n'est pas pour leur déplaire. Les différents gérants de rôtisseries questionnés sur cet état de faits nous affirment qu'en dépit d'avoir doublé leur provision de viande, ils n'ont pas pu faire face à l'importante demande. Cela est d'ailleurs devenu une tradition chez nous où la semaine précédant le ramadhan est propice pour les restaurateurset autres commerçants de remplir leurs tiroirs-caisses. Les restaurateurs ne perdant pas le nord se sont d'ailleurs empressés d'augmenter leurs prix : la brochette a grimpé de 35 DA l'unité à 40 DA à Draria, ainsi d'ailleurs qu'à Staouli. À Alger tous les évènements sont synonymes de gains pour les commerçants, cela n'empêche nullement les familles de continuer à se faire plaisir, et finalement chacun semble trouver son bonheur dans le meilleur des mondes... A la veille du ramadhan les rôtisseries d'Alger font le plein et constituent l'une des destinations privilégiées des familles. Ces restaurants n'arrivent plus à répondre à la forte affluence, sans précédent, d'une clientèle amatrice de viande cuite à la braise et arrosées de soda pétillant. L'affluence est la même aussi bien du côté des rotisseries à Staouéli qu'à Draria. Souvent les familles qui s'y rendent, relativement tard, ne trouvent, à leur grand dam, plus rien à se mettre sous la dent. Les rôtisseries étant prises d'assaut dès le début de soirée et jusque tard dans la nuit. La réponse faite aux retardataires est partout la même : «Désolé, on est sur le point de fermer, on n'a plus rien à servir». Des centaines de familles semblent s'être donné le mot pour se retrouver sur les mêmes lieux, il faut dire qu'avec la canicule ambiante déguster des brochettes assis confortablement en bonne compagnie en terrasse ou à quelques mètres des vagues de la grande bleue reste l'idéal pour les longues soirées algéroises. Ces derniers jours avant l'accueil du ramadhan, semblent avoir encore exhacerber l'engouement des Algérois pour les diners nocturnes en terrasse. Ce phénomène est en partie dû à deux principales raisons : ces quelques jours avant ramadhan représentent pour la majorité la dernière semaine de vacances maigrement exploitées à cause de leur durée écourtée. Outre ce facteur temps, il y a également la conjoncture du ramadhan lui-mê me qui représente pour certains un mois de «privations» puisqu'ils ne pourront plus s'adonner à leur gourmandise dans la journée et ainsi ils «emmagasinent» des reserves. Certains restaurateurs interrogés sur ce phénomène nous diront : «On n'a jamais reçu autant de monde depuis le début de l'été»... ce qui n'est pas pour leur déplaire. Les différents gérants de rôtisseries questionnés sur cet état de faits nous affirment qu'en dépit d'avoir doublé leur provision de viande, ils n'ont pas pu faire face à l'importante demande. Cela est d'ailleurs devenu une tradition chez nous où la semaine précédant le ramadhan est propice pour les restaurateurset autres commerçants de remplir leurs tiroirs-caisses. Les restaurateurs ne perdant pas le nord se sont d'ailleurs empressés d'augmenter leurs prix : la brochette a grimpé de 35 DA l'unité à 40 DA à Draria, ainsi d'ailleurs qu'à Staouli. À Alger tous les évènements sont synonymes de gains pour les commerçants, cela n'empêche nullement les familles de continuer à se faire plaisir, et finalement chacun semble trouver son bonheur dans le meilleur des mondes...