Dans une lettre adressée à Ban Ki-moon le Président sahraoui Abdelaziz l'interpelle lui demandant d'intervenir en urgence pour «la libération immédiate et sans restrictions des prisonniers qui croupissent dans les prisons marocaines». Dans une lettre adressée à Ban Ki-moon le Président sahraoui Abdelaziz l'interpelle lui demandant d'intervenir en urgence pour «la libération immédiate et sans restrictions des prisonniers qui croupissent dans les prisons marocaines». Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a appelé, hier, le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), Ban Ki-moon, à intervenir d'urgence pour la libération du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, ainsi que tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines, a rapporté mercredi l'Agence de presse sahraouie (SPS). Dans une lettre qu'il a adressé à Ben-Ki-moon le président Abdelaziz l'interpelle pour intervenir en urgence pour «la libération immédiate et sans restrictions des ces prisonniers qui croupissent dans les prisons marocaines», a indiqué la même source. «Nous vous écrivons, une nouvelle fois, pour vous exprimer notre profonde indignation et notre inquiétude face à la persistance du gouvernement marocain dans les pratiques arbitraires contre les citoyens sahraouis dans les zones occupées du Sahara Occidental, au sud du Maroc et dans les universités marocaines», a écrit le président sahraoui. Rappelons que le défenseur sahraoui des droits de l'Homme, Ennaama Asfari, a été arrêté vendredi dernier dans la ville de Tantan au sud du Maroc par les forces de sécurité marocaine. Il a été maltraité et placé en prison, en raison de ses opinions politiques en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément à la légalité et au droit international, a précisé SPS. Le président sahraoui a rappelé dans sa lettre que le Sahara Occidental est «un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'Organisation des Nations unies, en attente de décolonisation» et que, sur cette base, «l'Onu ne peut pas rester immobile» face à des pratiques des autorités marocaines «contraires aux normes les plus élémentaires et au respect des droits de l'homme». A cet effet, il a averti que la politique menée par le gouvernement marocain envers les citoyens sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental et du sud du Maroc, «ne concourt pas à la création d'un climat propice pour la reprise des négociations sous les auspices de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'Onu, Christopher Ross, pour la solution du conflit». Rappelons que les prisonniers politiques sahraouis écroués à la prison marocaine d'Inzegan avaient entamé, durant le début du mois en cours, une grève de la faim de 24 heures, pour protester contre la détérioration de la santé de leur compatriote, Salama Charfi. «Le prisonnier politique sahraoui, Salama Charfi, a été évacué dans un état comateux, vers l'hôpital, à cause des grèves illimitées de la faim qu'il avait menées en compagnie de ses compatriotes, dénonçant les mauvais traitements et les dures conditions dont ils sont l'objet à l'intérieur de cette prison», avait indiqué le ministère sahraoui. Le président sahraoui, Mohamed Abdelaziz, a appelé, hier, le secrétaire général de l'Organisation des Nations unies (ONU), Ban Ki-moon, à intervenir d'urgence pour la libération du citoyen sahraoui Ennaama Asfari, ainsi que tous les prisonniers politiques sahraouis dans les prisons marocaines, a rapporté mercredi l'Agence de presse sahraouie (SPS). Dans une lettre qu'il a adressé à Ben-Ki-moon le président Abdelaziz l'interpelle pour intervenir en urgence pour «la libération immédiate et sans restrictions des ces prisonniers qui croupissent dans les prisons marocaines», a indiqué la même source. «Nous vous écrivons, une nouvelle fois, pour vous exprimer notre profonde indignation et notre inquiétude face à la persistance du gouvernement marocain dans les pratiques arbitraires contre les citoyens sahraouis dans les zones occupées du Sahara Occidental, au sud du Maroc et dans les universités marocaines», a écrit le président sahraoui. Rappelons que le défenseur sahraoui des droits de l'Homme, Ennaama Asfari, a été arrêté vendredi dernier dans la ville de Tantan au sud du Maroc par les forces de sécurité marocaine. Il a été maltraité et placé en prison, en raison de ses opinions politiques en faveur du droit du peuple sahraoui à l'autodétermination, conformément à la légalité et au droit international, a précisé SPS. Le président sahraoui a rappelé dans sa lettre que le Sahara Occidental est «un territoire se trouvant sous la responsabilité de l'Organisation des Nations unies, en attente de décolonisation» et que, sur cette base, «l'Onu ne peut pas rester immobile» face à des pratiques des autorités marocaines «contraires aux normes les plus élémentaires et au respect des droits de l'homme». A cet effet, il a averti que la politique menée par le gouvernement marocain envers les citoyens sahraouis dans les territoires occupés du Sahara occidental et du sud du Maroc, «ne concourt pas à la création d'un climat propice pour la reprise des négociations sous les auspices de l'envoyé personnel du secrétaire général de l'Onu, Christopher Ross, pour la solution du conflit». Rappelons que les prisonniers politiques sahraouis écroués à la prison marocaine d'Inzegan avaient entamé, durant le début du mois en cours, une grève de la faim de 24 heures, pour protester contre la détérioration de la santé de leur compatriote, Salama Charfi. «Le prisonnier politique sahraoui, Salama Charfi, a été évacué dans un état comateux, vers l'hôpital, à cause des grèves illimitées de la faim qu'il avait menées en compagnie de ses compatriotes, dénonçant les mauvais traitements et les dures conditions dont ils sont l'objet à l'intérieur de cette prison», avait indiqué le ministère sahraoui.