Le 20 Août a été également une date propice pour attribuer certains locaux commerciaux au profit de jeunes au chômage. La suite des festivités s'est déroulée à Djaâfra, au nord de Bordj, où plusieurs invités de Béjaïa et de Sétif ont pris part à la cérémonie de réinhumation de 18 chouhada au cimetière de Chakbou. Le 20 Août a été également une date propice pour attribuer certains locaux commerciaux au profit de jeunes au chômage. La suite des festivités s'est déroulée à Djaâfra, au nord de Bordj, où plusieurs invités de Béjaïa et de Sétif ont pris part à la cérémonie de réinhumation de 18 chouhada au cimetière de Chakbou. Après la «fatiha» et le recueillement au pied de la stèle commémorative à Bordj, le 20 Août a été également une date propice pour attribuer certains locaux commerciaux au profit de jeunes au chômage. La suite des festivités s'est déroulée à Djaâfra, au nord de Bordj, où plusieurs invités de Béjaïa et de Sétif ont pris part à la cérémonie de réinhumation de 18 chouhada au cimetière de Chakbou, un village situé au fin fond de Djaâfra et qui a payé le plus lourd tribut : près de 1.000 chouhada pour que l'Algérie vive indépendante. Durant l'intervention animée par Meziane Ouchen, un cadre de l'éducation, une aproche entre l'aspect politique et l'aspect militaire de la rénovation, sans qu'aucune lutte de leadership n'ait lieu entre les dirigeants qui convergeaient tous vers le même objectif : l'indépendance de l'Algérie. Le conférencier a évoqué bon nombre de figures emblématiques ayant marqué la révolution, à l'instar du colonel Amirouche qui avait visité, plus d'une cinquantaine de fois, la région, Mohamed Saïd ou encore Krim Belkacem. Le conférencier a tenu à préciser qu'avant la Révolution, la crise de leadership était à son apogée, ce qui avait freiné le déclenchement de la guerre. Mais la date du 20 Août 56 aété un tournant décisif qui a précipité l'indépendance de l'Algérie et la fondation de son état moderne. Le 20 Août 56, a servi à faire le point sur les évènements, un an plus tôt, dans le Nord constantinois. Deux années auront ainsi suffi pour faire connaître la Révolution et faire entendre la voix de l'Algérie à l'ONU. Retour sur la région de Djaâfra, Meziane Ouchen a tenu à préciser que le Congrès de la Soummam avant de se tenir à Ifri, devait avoir lieu dans l'un des villages de Djaâfra. La localité de Djaâfra est connue pour ses forêts denses et ses chemins escarpés et difficiles d'accès où l'armée coloniale s'était cassé les dents. Voilà la géographie qui explique l'histoire chargée faite par presque près de mille chouhada. Après la «fatiha» et le recueillement au pied de la stèle commémorative à Bordj, le 20 Août a été également une date propice pour attribuer certains locaux commerciaux au profit de jeunes au chômage. La suite des festivités s'est déroulée à Djaâfra, au nord de Bordj, où plusieurs invités de Béjaïa et de Sétif ont pris part à la cérémonie de réinhumation de 18 chouhada au cimetière de Chakbou, un village situé au fin fond de Djaâfra et qui a payé le plus lourd tribut : près de 1.000 chouhada pour que l'Algérie vive indépendante. Durant l'intervention animée par Meziane Ouchen, un cadre de l'éducation, une aproche entre l'aspect politique et l'aspect militaire de la rénovation, sans qu'aucune lutte de leadership n'ait lieu entre les dirigeants qui convergeaient tous vers le même objectif : l'indépendance de l'Algérie. Le conférencier a évoqué bon nombre de figures emblématiques ayant marqué la révolution, à l'instar du colonel Amirouche qui avait visité, plus d'une cinquantaine de fois, la région, Mohamed Saïd ou encore Krim Belkacem. Le conférencier a tenu à préciser qu'avant la Révolution, la crise de leadership était à son apogée, ce qui avait freiné le déclenchement de la guerre. Mais la date du 20 Août 56 aété un tournant décisif qui a précipité l'indépendance de l'Algérie et la fondation de son état moderne. Le 20 Août 56, a servi à faire le point sur les évènements, un an plus tôt, dans le Nord constantinois. Deux années auront ainsi suffi pour faire connaître la Révolution et faire entendre la voix de l'Algérie à l'ONU. Retour sur la région de Djaâfra, Meziane Ouchen a tenu à préciser que le Congrès de la Soummam avant de se tenir à Ifri, devait avoir lieu dans l'un des villages de Djaâfra. La localité de Djaâfra est connue pour ses forêts denses et ses chemins escarpés et difficiles d'accès où l'armée coloniale s'était cassé les dents. Voilà la géographie qui explique l'histoire chargée faite par presque près de mille chouhada.