Depuis quelques années, la wilaya de Guelma est devenue, pour des raisons que seuls les climatologues sont en mesure d'expliquer, la région la plus chaude du nord du territoire national. A juste titre, la population appréhende la saison estivale car l'air est pratiquement irrespirable du lever du jour à la tombée de la nuit et ce sont les bébés, les personnes àgées, les asthmatiques, qui en pâtissent le plus. L'entame du mois sacré du Ramadhan est caractérisée par une atmosphère suffocante sachant que le mercure grimpe allègrement jusqu'à 44° C voire 46° C, ce qui indispose les jeûneurs et particulièrement les travailleurs manuels qui triment sous un soleil de plomb. Durant la journée, les enfants sont calfeutrés dans les appartements car les insolations sont fréquentes. La rentrée scolaire s'avère difficile pour les bambins dont la fragilité est exacerbée par ces chaleurs persistantes. Les maitresses de maison sont à plaindre car elles sont chargées de la préparation de la galette et du ftour dans des cuisines surchauffées et il est logique de leur rendre hommage. Dès la rupture du jeûne, chacun s'empresse d'avaler quelques cuillères de chorba au frik et d'étancher cette soif lancinante en buvant des sodas glacés et de l'eau très fraîche. Les jeûneurs délaissent les plats délicieux et les tadjines au profit des boissons désaltérantes. Les climatiseurs font désormais partie du décor car ils sont devenus indispensables et même les familles aux revenus moyens et modestes ont acquis ces équipements qui fonctionnent sans discontinuer. Les fidèles s'empressent de regagner les mosquées pour accomplir les prières d'El Icha et des tarawihs et réintègrent dare-dare leurs domiciles souvent climatisés. Pour des raisons évidentes, les soirées familiales sont privilégiées car les rues et les lieux publics sont désertés. Depuis quelques années, la wilaya de Guelma est devenue, pour des raisons que seuls les climatologues sont en mesure d'expliquer, la région la plus chaude du nord du territoire national. A juste titre, la population appréhende la saison estivale car l'air est pratiquement irrespirable du lever du jour à la tombée de la nuit et ce sont les bébés, les personnes àgées, les asthmatiques, qui en pâtissent le plus. L'entame du mois sacré du Ramadhan est caractérisée par une atmosphère suffocante sachant que le mercure grimpe allègrement jusqu'à 44° C voire 46° C, ce qui indispose les jeûneurs et particulièrement les travailleurs manuels qui triment sous un soleil de plomb. Durant la journée, les enfants sont calfeutrés dans les appartements car les insolations sont fréquentes. La rentrée scolaire s'avère difficile pour les bambins dont la fragilité est exacerbée par ces chaleurs persistantes. Les maitresses de maison sont à plaindre car elles sont chargées de la préparation de la galette et du ftour dans des cuisines surchauffées et il est logique de leur rendre hommage. Dès la rupture du jeûne, chacun s'empresse d'avaler quelques cuillères de chorba au frik et d'étancher cette soif lancinante en buvant des sodas glacés et de l'eau très fraîche. Les jeûneurs délaissent les plats délicieux et les tadjines au profit des boissons désaltérantes. Les climatiseurs font désormais partie du décor car ils sont devenus indispensables et même les familles aux revenus moyens et modestes ont acquis ces équipements qui fonctionnent sans discontinuer. Les fidèles s'empressent de regagner les mosquées pour accomplir les prières d'El Icha et des tarawihs et réintègrent dare-dare leurs domiciles souvent climatisés. Pour des raisons évidentes, les soirées familiales sont privilégiées car les rues et les lieux publics sont désertés.